CHAPITRE 78

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" L'intelligence précoce de l'adolescent est un défaut margeur de sa maturité"

Des semaines déjà depuis l'annonce de la grève des enseignants venaient de s'écouler. Nous étions entré dans une aire, universitaire. Nous recevons des cours sur support numérique. Le libre arbitre nous avaient été donné directement. Chacun pouvait entrevoir d'étudier, ou de se laisser morfondre dans les délires, de délices de la vie. Soient les sorties nocturnes, les virés chopping, la saturation des réseaux sociaux donc Facebook, Twitter, Tik tok... Ou même les études sur les plateformes mobiles. De ce qu'il ressortait de notre salle, nos groupes fonctionnaient, on s'aventuraient à la résolution des épreuves d'examen officiel des années précédentes. Parfois, nous bloquons, simplement du fait que la totalité des cours ne nous avaient pas été divulguer. Il arrivait aussi, que nous étions en leurs possessions, mais rencontrons des difficultés à leur traduire à notre niveau de compréhension. La grève persistait, et nous, élèves, subissons de pleins fouets ses aspects négatifs. Pendant que nos enseignants, se prélassent à hairer dans les espaces libres de l'établissement. Aller à leurs rencontrés étaient un véritable faussés, vu qu'à chaque tentative, nous étions renvoyer.

Dans d'autres établissements, des élèves soutenaient la grève, et manifestaient pour qu'elle cesse à fin que nous reprenions le cour normal des choses. Aucun succès. Pour toute réponse de l'état, des débats télévisés et des promesses de paliers à leurs demandes. Ils étaient priés de regagner leurs classes et de continuer à exercer leurs fonctions. Pour que l'homme continue d'exercer sur cette terre, ne lui prive jamais de son gain. Une chose que tu lui doit pertinemment.

Les cessions de cour de soutien avec notre professeur de mathématiques, continuaient normalement. Vue que l'état n'y était pas directement rattaché, c'était sa propre initiative. Yann, Darelle, Ance, Salem et moi pouvons compter sur le professeur pour nous apporter des réponses, et le lendemain, nous revenons partager avec les autres. Flambel et Brayan, se chargeaient de faire pareil. Ils récupéraient de nouvelles données dans leurs groupes de répétitions le Grec, et venaient les partager avec la classe. On pouvaient dire qu'on avançaient, malgré qu'ils y avaient plusieurs élèves qui manquaient les cours. Ils s'étaient lassés de cet environnement de liberté, pour se terrir dans leurs demeures.

Deux mois que la grève dure, deux longs mois que les cours se sont vue stoppés. La face négative de cette grève, était qu'elle mettait en péril l'évolution des élèves ayants signés un contrat d'études avec les locaux de l'état. Tel que les lycées et les écoles publiques. Quant aux établissements privés qui trônent le pays, donc les collèges et écoles primaires privées, la grève ne les effloraient pas. Malgré que ses établissements regagnaient en son seins des professeurs et enseignants d'état, ceux-ci exerçaient pleinement leurs fonctions dans ses lieux. Car, au moins là-bas, le salaire et les indemnités étaient à jour. Nous avons fleurie au mois de Mars. Le mois de ma naissance. Pour ce mois particulier, j'ai opté à l'organisation d'un petit buffet pour la classe. Notamment des petits apéritif tel des petits fours et des boisons. Nous nous sommes réjouis et cela nous avaient permis de décontracté un peu l'atmosphère qui se voulaient stressant. Après celà, la reprise de nos révisions se vues plus intensément, car il ne nous restait plus que deux mois avant l'examen officiel dît, probatoire. Et nous étions encore loin d'être au top. Nous n'étions pas préparés psychologiquement et physiquement. Ils nous fallaient le soutien de nos encadreurs.

Après de longues demande et émeutes des élèves. L'état s'était en fin décidé à paliers au problème des enseignants. Ceux-ci regagnaient directement leurs fonctions, dès l'annonce du message de la finition de la grève. Les professeurs s'étaient certe remit à l'exécution de leurs tâches, mais l'esprit de chaque candidat était au point mort. Et le nombre de mois qui nous restaient n'étaient plus suffisant pour espérer recommencer les cours. Alors, nous avons enchaînés la résolution des épreuves après épreuves. Jusqu'à jour fatidique.

Il ne restait plus qu'une semaine avant l'examen officiel. Cette semaine, nous avaient été offert, pour nous préparer psychologiquement pour l'examen. Et comme à mon habitude, je fis frapper d'un grave paludisme, qui me fallut de me rendre en salle de composition avec un cathéter veineux au poignet gauche. Par chance le milieu m'étais familier, notre établissement était un sous centre. J'étais en stress, à chaque fois qu'une épreuves étaient lancées. Elles paraissaient adéquat, et l'état avait pris en compte, le temps de grève.

L'évaluation se passait sans encombres, dans le calme régnant.

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