CHAPITRE 13

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"Rencontre où prédestiné ? Coïncidence où destinée ? ...."

J'étais préoccupée par les paroles de Marie, oui, à ce qu'ont disaient d'elle, elle avait été la meilleure amie d'Ulrich pendant des années ! Sur supposition, elle pourrait bien connaître sa personnalité, car je pense que, si leur amitié a pû survivre pendant des décennies, celà voudrais dire qu'ils avaient un parfait liens fondé sur le respect, la connaissance de l'autre et une harmonie mutuelle. Et donc, forcément, elle pourrait bien le maîtriser que nulle autre ne le pourrais ! Je ferais mieux de comprendre et de mettre en pratique ses paroles !

Je sortais de la maison de ma Violetta, avec un air retardé, pensif, j'étais en pleine réflexion cartésienne, dont le but, serait la recherche de la vérité, que je ne me rendis pas compte du chemin que j'avais emprunté !

Tête en l'air, vent soulèvent de la poussière, nuage dans ma tête, reflet d'Ulrich dans mes pensées, perturbations dans mes émotions, des larmes de joie et de tristesse à flot dans mes paupières. 
Je marchais, sans savoir où j'allais, le but était de partir, partir loin à fin d'échapper à ses pensées...

- Fait attention où tu mets les pieds , et en plus elle ne s'excuse même pas !
- C'est à moi que tu t'adresses ?
- À qui d'autre le ferais-je ? Peut être à l'air ?. Où même au sol ?.

Je ne le voyais même pas, je n'étais même pas dans son champ oculaire.  J'avais d'abord mes problèmes qui me tracassaient et lui, il venais avec son air idiot me faire la morale !

- Tu poses des questions rhétoriques et tu t'attends à des réponses ?
- Mais c'est à toi que je m'adresse, insolente !
- Mais c'est qui, tu traites d'insolente ? Tu as vue ton enfant ici ? Apprends à respecter les gens ! Impolis !
- Mais...
- ( Francky ) Bobo !
- Quoi ! Quoi ? Qu'est-ce tu veux boy ?
Je voulais montrer à cette fille qu'elle doit respecter les gens !

- Qui de nous deux a commencé cette dispute sans sens ? 
- ( Franklin ) Ange, arrête !  calme-toi.
- ( Bobo ) Attend tu connais cette fille ?
- ( Francky ) Oui c'est notre nouvelle voisine ! Elle n'est pas d'habitude dans ses humeurs.
- ( Bobo ) je laisse passer cette fois, car ses vous les gars, si non ...

Mais où j'avais atterri ? Jusqu'au point de me prendre une correction, sans l'intervention de mes poteaux, je serais au point mort !
Ce garçon qui était-il ? Un de leurs amis ? Mais comment se fait-il que je ne le connaissais pas ? Et pourtant, moi qui croyais connaître tous sur mes poteaux, me voici bien leurrée !

Quand j'eus bien le temps de regarder mon oppresseur, je me rendis compte de son charisme envoûtant, et pendant même qu'ils étaient en pleine discussion, il me lançait des regards perturbateurs, j'aimais la façon dont il avait de se mordre la lèvre, c'est attirant, sexy et tentant. Son regard transperçait ma muraille et venait me toucher en pleine cœur ! Je ressentais un besoin incessant d'enfouir mes doigts dans sa chevelure épais, noirs, et longue !

Plus je le regardais, plus j'oubliais peu à peu ce qui la scène humiliante qui s'était lieu, et quant il me lançait un petit sourire, à cet instant je voulais avoir des ailles, Cupidon était dans la place ! J'étais aux anges ! Non plutôt au paradis !

" Ma petite reviens un peu sur terre, au dernier nouvelle c'est Ulrich qui te faisait cet effet là ! Mais qu'est-ce qui se passe là, j'ai loupée un évènement, où tu veux déjà faire ceux à quoi ta rase se donne don Hélas tu vaux mieux que ça ! Alors conduit toi tel ... "

Elle avait raison ! J'étais amoureuse de Ulrich ! Oui Ulrich, lui et lui seul ! Alors j'évitais les regards de Bobo et j'acourais pour échapper à la tentation !

- ( Francky ) Ange, attend nous !
- ( Franklin ) Tu ne connais pas le chemin, tu risquerais te perdre en cours de route !
- Depechez-vous, j'ai des choses à faire à la maison !

Dès lors que je franchis le seuil de la porte de ma maison, ma mère était assise au salon, un sac près d'elle, je saluais et alla me jeter contre le lit. Je repensais à cette rencontre et à ce mystérieux garçons au regard dévastateur, au visage angélique. J'étais sur le charme .
Et ma mère s'est appliquée à me faire revenir sur terre .

- Mon père !
- Mum' j'arrive, laisse moi le temps de m'échanger.

Je me retournais et vis une silhouette de femme, bien taillée, avec tous, où il faut. Une poitrine qui ferait rêve tout hommes sans exception, un ventre des plus aplati , une hanche dans les règles de l'art, un fessier de rêve ! Des jambes longues et des Mollets finement tracées, une peau noire, un noire des plus éclatant, alors je décidais de remonter la pente pour voir à qui appartenait cette scandaleuse beauté dont la nature avait été d'une telle grâce, et là ;

- Mais ! Que nous vaux l'honneur de ta visite en ses lieux ? As-tu perdue ton chemin, où tu confonds d'époque ? 

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