INSOMNIE

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Ce qui ne te tue pas te rend plus forte / plus fort ...!

























Quand je naquis, je fus appeler ange, or ma mère n'avais pas eu à chercher l'enfant pendant des années comme ce fut le cas pour d'autres femmes de ma famille et du monde .

Mon nom traditionnelle fut celui que mon grand père, père a ma mère portait jusqu'au jour de son décès . Celui de mon père fut inséré au milieu et je fus reconnue par celui-ci comme étant le fruit de ses entrailles.

Dès années après ma naissance, où plutôt trois ans après, mon petit frère naquit à son tour, Steve fut le prénom qu'ils lui donnaient, ensuite fut le tour du dernier de ma famille Prince.

Tél comme son prénom l'indique, il est née en prince, ma mère ne l'avais pas désire car la relation avec notre géniteur se dégradait déjà, et pourquoi mettre un enfant au monde dans ses circonstances ? Se demandait ma mère.

Elle avait voulu interrompre sa grossesse, mais n'eut pas le courage d'arrêter les battements de cœur de cet être qui n'a rien demandé, mais donc le destin était scellé.

Je n'avais que six ans, lorsque la marzi, fut une descente dans notre quartier Petit Marché Kumba situé à Douala Cameroun. 

En classe du CE1, je savais déjà comment écrire. 

Vue la situation de ma mère,car à cet époque, nous vivons ma mère et mes frères, sous le toit de ma grande mère Madeleine.

Une femme au caractère fort.
Elle pouvait être comparée à un homme en tenue, cette femme aimait la discorde et le mouvement.
Telle une vraie lionne.

Notre maison fut détruite, par les services de la Commune qui disait que ce terrain était propriété de l'état. Nous avons passé une semaine dans la rue, étalés à mains les goudrons, ma famille n'était pas la seule dans cette situation, non, bon nombre des habitants qui peuplaient ce quartier était dans la même situation et demandait hébergement chez des connaissances où membre de la famille, qui avait assez de quoi leurs entretenir eux et leur famille.

Face à celà, je me suis décidée à rédiger une lettre à ma tante qui vivait le quartier de Bonjongo toujours dans la même localité de Douala, à fin de permettre à ma mère de trouver un endroit à nous et où mes petits frères pourraient être dans leurs conforts.

Par chance, la réponse que je reçus, fut très favorable et les jours qui suivirent, j'allais débuter une vie de...

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