CHAPITRE 38

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C'est lorsqu'on ignore que l'on sait...

































À quel moment tout ceci à commencer ?

Quand et comment suis-je devenue cette personnalité ?

Depuis quand mon regard et mes pensées sont devenus si noir ?

Si cruels ?

Si infame ?

Et si dépriment ?

Elle est en larme devant moi !

Par mes faute, elle affiche ce côté de sa personnalité devant tous.

À cause de mes actes, elle est vulnérable.

Qu'est-ce qui a bien pu me passer par la tête ?

Son regard qui affichait de la joie, de l'enthousiasme, du rire, de la vie !

À quel moment est-il devenu si sombres, si méprisant, si colérique et si violant ?

- Pourquoi ? Pourquoi m'as-tu fais cela ?

Dis-je lorsque ma paume caresse toujours ma joue m'interdisant de couler la moindre larme, pour être honnête, elle ne m'a pas râté.

Ça fait un mal de chien. Je crois que j'ai les yeux aussi rouge que les siens à cet instant, à la différence près.

Ma douleur, n'est pas comparable à la sienne.

Je comprends mieux, ce sentiment, le même qui m'a turlupiné toute cette matinée, c'était ça, pour éviter tout ceci.

Mais je n'ai pas sûrs lire entre les lignes, et comment aurais-je pû ?

Le destin est incompréhensible !

- Tu me demandes pourquoi ? Attends c'est réellement ce que tu veux savoir ? Je croyais que tu étais mon amie ! Ma sœur, ma meilleure amie, mon journal intime, mon coffre fort. Mais en fait, tu es une vipère à deux têtes ! Tu es une traîtresses, à vrai dire je ne te croyais pas hypocrite, mais à cet instant, dans tes yeux je vois de l'hypocrisie ! Mais comment as-tu pû me faire celà Ange ? Tu croyais que je n'allais jamais le savoir ? Tu te disais sûrement que cette idiote ne saura jamais rien ; vue qu'elle est retardée de réflexion, une pauvre fille, que je peux manipuler sans complaisance, elle ne saura jamais rien ! Ça fait si mal d'être trahir pas ça meilleur amie, par sa sœur ! En fait c'est vraiment cet amitié qui nous tue ! Quelle amitié diabolique, infâme, maladive, amère, je veux te détester, te répudier, mais je n'arrive pas ! Tu m'as brisée, tu m'as détruite, tu m'as tuée et enterrée... Comment, comment as-tu pû sortir avec mon petit ami ? Comment as-tu pu te l'approprier ? Tu savais qu'il sortait avec moi, tu connaissais nos problèmes et les difficultés que nous rencontrions, à croire que tu étais le facteur de tout, la cause de différents dans mon couple ! À croire que tu étais ma conseillère, mais en fait, tu détruisais pour mieux t'approprier ! Je te déteste, tiens prends les preuves ! Prends le...

En me rendant mon téléphone ! Quelle conne j'ai fais, j'ai complètement oublier de supprimer nos conversations téléphoniques entre bobo et moi ! Maintenant comment vais-je faire ?

- Il aurait put me dire stop arrêt toi là, mais il m'a laissé faire, dans cet histoire on a tous les tords . Je ne cherche pas à justifier mes actes, je suis fautive, mais si je l'ai fait c'était d'abord pour toi, pour te démontrer qu'il était pas fait pour toi...

- Je ne te l'ai jamais demandée, il fallait me laisser m'en gouffrée dans le gouffre, et tôt où tard je me serais rendue compte qu'il était pas la bonne personne, mais non ! Madame voulais juste se taper mon mec ! Je sais que tu avais le regard suis lui, mais je ne me serais jamais doutée que tu aurais pu me trahir de la sorte... Je n'ai plus rien à te dire.

Elle s'en alla, les larmes aux yeux, le regard et les sentiments perturbés !

- Les filles occupées vous d'elle, laissez-moi, elle a plus besoin de vous que moi j'en ai besoin, allez-y !
- On y vas...

Comment ? Quand ? À quel moment tout a viré aux cauchemars ? Est un rêve ? Une illusion ? Suis-je peut-être en dormir ? Si c'est le cas, j'aimerais bien m'eveiller ! Au secours, aidez-moi, je vous en prie....

- Qu'est-ce que nous avons là ? N'est pas la sainte ni touche ? La cheffereisse de classe ? La fille du surveillant général ? La sainte Maria ? La Juda ? Elle n'a même pas honte de se taper le petit amis de sa meilleure amie ? Que dis-je de sa sœur ? Que du gâchis, à vrai dire ma petite, les gros poissons comme moi, dévore les petits poissons insignifiants comme toi, donc méfie-toi de moi !

- Très chère, ne te mêles pas des choses qui te sont supérieurs ! Si la judaiste que je suis n'a pas hésité à vendre Jésus, à sortir avec le petit de sa meilleure amie qui plus est sa sœur, imagine ce que je peux te faire, donc méfie-toi des petits poissons de la mer, car le poison contenu dans nos morsures sont très mortels pour les gros de ton espèce ! Je vais te confier un petit secret, ton petit amis, je l'ai dans le creux de ma main, il suffit d'un seul mots de ma part, pour qu'il devient mon larbin, donc pour plus de sécurité, méfie-toi de moi, pauvre conne !

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