CHAPITRE 45

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" L'illusion de la vie, c'est de croire que tout va bien ... "

Des études scientifiques ont démontrés que plus une personne est à cour d'idée, plus celle-ci sombre dans la dépression, et chez-nous autre, une personne dépressive est cela, qui se noie dans l'alcool.

Je ne comptais plus les verres, encore moins les bouteilles vidées, ce qui m'importais, l' échappatoire, je cherchais désespérément un moyen de justifier mes actions, mais à quoi bon ? Pourquoi chercher expressément une justification ? Une réponse à mes agitations ?

- Va y doucement avec ça ! Devant la loi c'est un délit de laisser ainsi boire abusivement un mineur ! Tu m'entends ?

Mais qu'est-ce qu'il raconte ? Est-ce qu'il m'aime ? Pourquoi il ferait une telle erreur ? Ne sait-il pas que je ne suis pas ce, ce genre de fille qu'on peut désirer ?

- Il est clair que tu as complètement péter un câble, du coup, je te ramène, l'alcool pour toi suffir pour cette soirée, tu en as forcément trop pris... Allez Cathïde, ne me rends pas la tâche plus difficile que ça.

Il me soulève de force, m'arrache la bouteille des mains, par chance j'avais encore un petit verre en dessous de la table. Dès qu'il me laissa quelque instant pour régler l'addition, je me laisse porter sous l'effet de mon point incontrôlable vers le sol ! Je récupère je ne sais par quel miracle le verre et me remet a ingéré avec rapidité et sans contrôle le contenu. C'était très pétillant, et commençait à agir dans mon cerveau, je ne contrôlais plus mes mouvements, je n'avais plus aucun contrôle sur mon moi pensent et mon moi agissant ! J'entendis notamment deux voix se disputées, je les distinguais vaguement, mais j'étais persuadée, les connaître, mais étaient vraiment des connaissances ? Ou serait mon inconscient qui me joue des tours ?

- ( Ulrich ) Laisse moi la ramener, il est clair que tu en as trop fait pour la soirée, regarde dans quel état tu l'as mise !
- ( Franck ) Quel état ? N'est pas de ta faute, si Cathïde est dans cet état ?
- Tu n'as aucun droit de me mettre ça sur le dos, de ce que j'ai vue, elle est arrivée avec toi, tu lui as offert le premier verre, ainsi c'est suivis le suivant, puis après... Maintenant tu as le toupet de rejeter la faute sur moi ? Je vois, je suis l'accusé parfait !
- Ulrich pourquoi tu t'en portes ? À ce que je sache tu n'as rien à foudre d'elle ? Tu penses que je ne suis pas au courant de tes agissements au Polyvalent ? Tu penses que tu n'étais pas à la vue de tous ? Je sais que tu vois une autre ! Regarde là, admire là bien , et répond moi sincèrement, qu'est-ce qu'elle n'a pas, que ta Mireille possède ?

La soude que j'étais, me jette dans les d'Ulrich ! Je n'avais absolument rien compris, rien décelé de leurs disputes, pour moi, du moins de ma vue, il était là, à quelques centimes près, je le voulais, son visage angélique m'avait terriblement manqué, je voulais juste le senti près de moi, jurant et oeuvrant pour moi

- Ulrich, je ... Je t'aime, je veux demeurer tienne, jusqu'à ce que la mort nous séparer...
- ( Ulrich ) Je ne me vois pas dans l'obligation de répondre à des accusations non fondées, et puis ce que l'œil vois, peut-être refoulé. Et de sur quoi, elle a fait son choix, elle me veut moi !

Il passa son bras autour de ma taille, me ramène près de son torse musclé, m'aide ou devrais-je dire, me rééduque sur la façon de marché ! Dans ma tête, élongation de joie, palpitations cardiaques dans mon cœur, érection au Pays-Bas, tremblotte de l'infine partie de mon être ! La mort serait un supplice acceptable et passif face à cette situation !

Il avait beau parler, je répondais à chaque fois, "je suis très heureuse avec toi, quelque soit ta décision, je t'aime et t'aimerai "  je n'écoutais absolument pas, même si je le voulais, comment aurais-je pu le faire ? La plupart de mes sens avaient été modifiés par l'alcool ! J'étais un corps à vide.

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