CHAPITRE 67

14 2 1
                                    

" Le berceau de l'amour est éphémère.."

Je me rappelle de ma rencontre avec lui, j'étais tombée par hasard sur lui, par hasard je m'étais intéressée à lui, par le même hasard je me suis attachée, au point ou, j'y suis hasardement tombée sur le charme... Le hasard en a fait des choses entre Ulrich et moi. Et maladroitement, je me suis mise à expérimenter d'autres horizons, par la même maladroiteté, j'ai épuisement changer, je suis devenue froide, distante et actuellement, mon comportement me conduit à être seule.

- Tu as mis du cœur cathide.
- Je ne pense pas l'avoir fait Nath.

Il prit place face à moi, à première vue, il paraissait lucide, mais, lorsque tu l'accorde plus d'importance, il est saoule. L'alcool avait pris le déçu sur ça personne, et jusqu'à là, il continue à boire,

- Nathan, tu devrais arrêter, tu n'es plus sobres, et j'aurais du mal à te transporté jusqu'à ta maison.
- Tu ne connais même pas ma maison, encore moins la sienne.

Il avait raison, en cinq années de relations passer au ralenti avec Ulrich, je ne connaissais pas son lieu de résidence. Oui, ça maison m'étais inconnu, je ne me suis pas intéressée à celà.

- Je demanderais mon chemin, j'aurais qu'à dire que je suis à la recherche de la maison de l'ex-président de l'APEE du lycée bilingue de bekoko. Si ça ne marche pas toujours, je dirais, la maison de l'acteur...

Il s'approche de moi, et Viens prendre place plus proche de moi. Ses mains passent de mes genoux en remontant par le chemin de mes cuisses,

- Tu sais qu'avec moi, tu ne souffriras pas. Regarde, il n'est même pas, il laisse une aussi belle fille pour aller...
- Pour aller ?
- Est-ce que tu l'aimes ?

Est-ce que je l'aime ? Cette question n'a pas de réponse, elle ne devrait pas exister. L'amour est éphémère, autrefois, j'aurais répondu oui, sans faillir, mais avec le temps, les circonstances, ce ressentir à son égard avait fané, tel une fleur qui se braise par le soleil chaque jour. Je ne l'aimais plus, mais j'essayais de me persuader que je l'aime, par pure égoïsme. Oui, il m'appartient, je suis sa propriétaire et lui ma propriété... Ma réponse ne venait pas, et il entreprit de continuer son défilé sur mon corps.

Les petits mouvements de rotation sur mes cuisses me procuraient un plaisir inuit, je jouais à l'idée qu'il avance, en fin de toute cette soirée, c'est cet instant qui me fait passer une vraie fête de Noël. Dans l'embarras de mes petits réjouissement qui se faisaient assourdir par le bruits infernales de la musique, il continue à exercer, au point ou, nos visages n'étaient plus qu'à des millimètres près, nos respirations sarcardées étaient en accord, je ressentais son plaisir, et son envie de me dévorer les lèvres, et lui, il prenait un plaisir, à savoir que je partageais ses envies. Il s'approchait de plus en plus, réduisant les millimètres, à des nanomètres, je voulais qu'il en finisse avec ce supplice de passion, qu'il s'arcade mes lèvres avec les siennes, mais à l'instant où, nos deux lèvres allaient s'accoupler, je fus projeter à l'arrière et rattraper par un bras. Nathan se levait instinctivement, voulant me récupérer, mais il fut rejeter à son sur son siège. L'alcool qu'il avait ingurgité ne lui permettait pas de riposter . Il restait docile sur son siège, et mon assaillant, Ulrich, me retire le chapeau de Nathan sur la tête, et le lui jette au visage. M'entraîne par la suite , rageusement sur sa table, où, résigne Junior, et Rubain. Il me projette assise sur l'une des chaises et quand je voulus articulée, il se Jetta agressivement sur moi, avec des paroles.

-...
- Ferme ! Ta bouche.
- Il est saoule et le laissé dans cet état n'est pas approprié...
- Je t'ai demandé de la fermée. Tu te taies. Ne dis plus rien.

Je reste docile, il a l'aire vide, mais rageux à la fois. Mais pourquoi ? N'est-ce pas lui, qui m'a laissé seule ? Si une autre personne vient pour me tenir compagnie, ou se trouve le problème ? Le seul à blâmer c'est lui, pas moi. Il prit place, à sa mains, résigne une bouteille de booster, qui ingurgite sans ménagement. Sa rage me faisait froid au yeux, il ingurgite encore et encore, jusqu'à ce que , le liquide contenus dans la bouteille, soit vider à son quart. Il entreprit maintenant de me faire face, en retournant sa chaise, face à la mienne. Les yeux dans les yeux, je ne pouvais plus entretenir ce regard visuel, alors je baisais la tête,

- Qu'est-ce que vous faisiez ?
- On entretenaient une conversation.
- Avec cette proximité, tu veux me faire croire que vous étiez simplement dans une causette ? Ses mains sur tes cuisses, faisaient aussi partie du processus de conversation ?
- Si tu ne m'avais pas laissée seule, cette conversation n'aurais jamais eu lieu.
- Ne change pas de sujet.
- À quoi je te sers ? Tu ne m'as jamais considéré, tu m'appelles simplement quand tu as besoin d'un service, ou simplement une épaule où te reposer.
- Je t'ai dit que j'allais gérer un business.
- Un business, où, tu te donnes à des attouchements illicites avec d'autres ?
- Tu m'as suivis ?
- Pourquoi j'aurais pris la peine ? Vue que tu avoues sans aucun ménagement.
- J'étais allé pour vendre mon téléphone. Voilà, je veux acheter un nouveau téléphone, et la fille à qui j'ai fait un câlin , c'est ma cousine.
- Ta cousine ! Le comble.
- Tu peux demander à Rubain ou même à junior.
- Pourquoi le ferais-je ? Ils affirmeront tes dires. Se sont tes amis, normal qu'ils te soutiennent dans ta bêtises.
- Bon sans Ange ! Je t'aime.
- Tu m'aimes ?
- Oui, depuis toujours. Depuis le temps, tu aurais déjà sûr me maîtriser, mais tu te laisses toujours guidé par ton instinct stupide.
- Je m'excuse, je ne sais pas trop ce qui m'a prise.

Il ne dit rien, se contente simplement de retourner sa chaise, et de se rasoir. Regardant les personnes qui défilent devant nous, cirotant toujours le liquide de sa boisson. Je le lance des regards, et c'est maintenant que je me rends compte, qu'il a changé, physiquement son corps c'est embellit , son visage charmeur d'autre fois, a pris des formes masculines plus prononcées. Le vocabulaire de charismatique lui va à ravie. Il me jette des regards, et je détourne le visage. Mais pourquoi ? Je ne l'aime plus, mais on dirait que j'essaie, moi-même de me persuader que je ne l'aime plus... Qu'est-ce qui se passe ?

- Pourquoi tu me détails du regard ?
- Pourquoi rien, je me disais simplement, que tu as l'air différent...
- C'est normal, on a fait pratiquement plus de six mois sans se voir.
- Tu es devenu encore plus beau, qu'au paravent...
- Au fil du temps, tu deviens plus appétissante, mon désir grandi de plus en plus quand je te voir, j'ai juste une seule envie quand je te regarde...

AMOUR LYCÉENS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant