CHAPITRE 40

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L'homme est un pauvre égoïste ?
Non, à vrai dire , on agit tous par pure intérêt...

























Le cour est terminée, la journée remplie d'émotions négativement passionnantes.

Les épreuves remises, c'est avec la plus grande appréhension que j'ai remis ma copie, bien-sûr je n'ai portée que sur cette dernière mon nom et trois questions répondu à la hâte.

Pas que je ne savais rien, non juste je n'étais pas simplement d'humeur à écrire.

À peine la sonnerie annonçant la fin de la journée retentit que je me précipite vers Nadie pour essayer de me faire justice.

Même ci, les jurés, et le juge ont déjà portés leurs décisions, ma parole peut être je l'espère changer la donne, comme les cris d'un nourrisson fait changer le coeur de nos diamentaires mère.

Alors un pas en avant, je m'éssouffle pour essayer d'arranger les choses, si notre amitié est vouée à l'échec, elle doit notamment se conclure sur une attente commune.

Par chance, je lui rattrape au portail et pose ma main sur son épaule.

Une main qu'elle se précipite d'enlever comme si je transmets la peste.

Je ne m'attarde pas et essaie de retrouver mon souffle sous son regard impatient.

- Nadie attend, laisse moi juste quelques minutes, avant de porter ton jugement ! Je sais, oui je reconnais avoir déconner, même si mon acte était porté d'une bonne action, il est clair que je t'ai fait souffrir, tu croyais avoir trouvée un système sans faille, mais ça n'existe pas ! Même si t'aura beau écrit de multiples algorithmes pour protéger ton système, même si tu a débloquée le meilleur pare-feux, l'un des plus grands antivirus du monde, il existera toujours, un petit programme malveillant pour mettre tout tes efforts à néant ! Je sais que ça n'a aucun sens ce que je dis là, mais du moment où tu m'écoutes, où tu me laisses te faire part de mes ressentis, me fait très plaisir....

- Arrêt ! Arrêt tu veux bien ? Je suis fatiguée de t'entendre ! Tu n'es qu'une utilitaristes, qui pense à chercher son bonheur dans le bonheur des autres, et ton hédoniste. Ce que tu crois me démontrer de pitié, d'excuse et tout ce tralala, n'est purement qu'égoïsme. Sais-tu non seulement le signification de la morale ? Non bien-sûr, je te prie de me laisser ! Parce-que là, je réponds encore de mes émotions, j'en ai assez de tes airs de sainte ni touche, j'en ai ma claque que les professeurs et toutes cette paperasses te prennent pour un modèle, Ange est si, elle est ça, vous devez vraiment prendre comme idol cette personnalité... S'ils peuvent voir en toi, comme je le vois ! Quel dégoût, tu me répugne.

Dit-elle avant de s'en aller, me laissant là, comme une égarée, une perdue.

En fait, j'en ai ma claque. Je suis là, à m'excuser et visiblement je ne fais qu'envenimer la situation plus j'essaie de la décanter.

C'est frustrant de se faire autant rabaisser, simplement pour obtenir le pardon d'une personne.

Pourquoi courir après d'elle ?

Si elle veut s'en aller, qu'elle s'en aille, est-ce t'elle qui possède mon souffle de vie ?

Je ne vais pas me rabaisser à ce point pour une amitié, si c'est la fin, alors qu'elle se termine !

C'est vrai que ça été ma meilleure amie depuis la cinquième, comme quoi, toutes relations sont voués à prendre fin tôt où tard !

Pour la nôtre que ça soit aujourd'hui où demain, elle avait déjà pris fin, dès l'instant où, j'ai acceptée ce pari débile et du moment où elle savait mes ressentis vis-à-vis de son mec, mais qu'elle n'a rien fait pour tuer tout celà.

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