CHAPITRE 32

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" Aucun être humain ne peut cacher ses secrets, ceux dont les bouches sont fermés, les font savoir par leurs mains..."

La journée était très bien chargée, mais malgré tout, nous avons assurés, comme toujours ! Seulement cinq heures de cours, nous ont paru une année ! Que dis-je, plus de cinquante ans !

J'avais finie, il me fallait dont aller voir le professeur, à fin de récupérer les divers supports de travail !

- Bonsoir monsieur, Voici le nom et les divers groupes formés.
- Tenez ! Je vous conseille de commencer le travail maintenant, car je récupère les exposés la semaine prochaine !
- Ne vous inquiétez pas monsieur, nous allons le terminés à tant ! Bonne fin de soirée monsieur .

J'allais directement en salle, et distribuais les sujets d'exposer.

- Voici vos sujets ! Le groupe 1 ! Qui est le chef du groupe 1 ? Je répète qui...
- Arrête de jacassée ! Tu me fais mal à la tête, avec ta voie de vipère !

S'approche de moi..
- Si ça tenait qu'à moi, je...
- (Pharel ) Dégage, tu nous fais de l'ombre et en plus, tu m'empêches de respirer !

Elle s'en alla, et avec elle le reste de la classe. Il ne restait plus que mon groupe et moi pour commencer les premiers débats sur notre terme LA CRISE ÉCONOMIQUE DE 1929 !

- Alors par quoi on commence ?
- ( Farida ) On peut commencer par définir le concept !
- ( Nadie ) Oui, je suis du même avis, après, nous pourrions chercher et développer les grands titres !
- ( Fabiola ) Comme grand titre, je propose les causes ! On sait déjà qu'elle est survenue suite à la chute des bourses !
- ( Marie ) Et il y a aussi ce truc avec les sociétés capitalistes et...
- Vous trois, vous ne pensez pas qu'on va faire le travail à vos places et puis après vous allez endosser les notes sans avoir participé ! Nous ne sommes pas vos secrétaires, encore moins vos servantes, alors bougez-vous ! Sinon...
- ( Tores ) Sinon quoi ? Attend, tu crois que nous allons travailler alors qu'il ya déjà cinq cerveaux sur un sujet ? Ou est la différence si l'on ajoute encore trois ou s'il l'on restreint trois ou est la différence ? Non franchement les filles vous exagérées !
- ( Donald ) Après tout la place de la femme c'est dans ses fourneaux !
- ( Marie ) Nous ne sommes pas des femmes !
- ( Pharel ) Mais des filles immatures ! Vous devez être soumises aux mâles comme nous ! Vous deviez même baissées la tête quant on vous parles !
- Arrêt de prendre tes airs d'hommes et redescend sur terre gamins !
- ( Tores ) Mec elle t'a cassée ! Dis un truc pour égaliser.
- ( Marie ) Arrêtez ça ! Grandissez un peu ! C'est quoi ce comportement d'enfants ? Dans tous les cas, j'ai un petit creux ! Qui m'accompagne à la cantine ?
- ( Farida, Fabiola, Nadie ) Moi !
- ( Tores ) On devrait les accompagner, il ne faut pas qu'elles se cassent un oncle !
- ( Donald ) Ou qu'on les viols sans que je n'ai goûté ma part !
- ( Nadie ) Pervers ! Tout pour toi c'est le sexe ! Tu n'as que Dieu pour ça !
- ( Tores ) Normalement, s'il ne te regarde pas, celà signifie que ça ne va pas chez lui, tu devrais être heureuse, qu'un aussi beau garçon te fasse la cour !
- ( Nadie ) Désolée pour lui, j'ai déjà un beau mec ! Et il est doué pour me faire la cour!
- ( Marie ) On y vas !
- ( Fabiola ) Tu viens ange ?
- Avancer vous, je vais mettre sur papier les données déjà recueillies !
- D'accord, et toi Pharel ?
- Je vais l'aider, comme ça elle ne dira pas que je n'ai pas participé.
- Ne tardés pas trop .

Ils s'en allaient, je voyais leur sourire, ils débataient mais sur quel sujet ? J'étais entrain d'écrire lorsque subitement, Pharel se saisit de mon stylo,

- Que fais-tu ? Je dois prendre les notes ! S'il te plaît, rend moi mon stylo, et puis tu ne me sert à rien là présentement ! Donc tu peux aller avec les autres, ça ne me dérange pas !
- Donc tu veux dire, que je ne te fais aucun effet ?
- Quoi ? de l'effet ? Mais d'où sorts-tu avec des âneries pareille ?
- Je t'ai posé une question, c'est simple, répond par oui ou non !
- À vrai dire, non tu ne me fais pas d'effet !

Je me lève subitement,

- Je préfère m'en allée, reste dont ici !

Il se saisit de moi par mon bras gauche, me propulsa vers le mur, il se tenait face à moi, les yeux dans les yeux, sa respiration entra en harmonie avec la mienne, à cet instant nous ne faisons plus qu'un !

Il glissa sa main sur mes cuisses, les caressaient doucement mais sûrement, montaient peu à peu jusqu'à arriver à mon entre jambes ! Où, il s'arrêta, me regarda...

- Alors, maintenant, est-ce que je te fais de l'effet ?
- Je... Je... Je...
- Je... ? Quoi ?

Il continua, mais cette fois, il me déboutonne la chemise, me regarde, regarde ma poitrine et sur son visage j'appercue un sourire qui me laissait sans voix ! Je ne pouvais plus résister face à autant d'attirance à mon égard, ses caresses, ses baisers sur mon cou ne me laissait pas indifférente ! Mes hormones étaient en alertes ! Mon cœur battait à cent à l'heure ! J'étais transportée dans une telle passion et désire que j'oubliais le lieu où je me trouvais. Et lorsqu'il advient au niveau de mes lèvres, il se stoppa !

- Bon j'y vais, étant donné que tu ne veux pas me voir ici, je veux plus insister ! Donc à demain ma poupette..

AMOUR LYCÉENS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant