AMOUR LYCÉENS

CHAPITRE 12

" Le cœur a ses raisons que la raison en elle même ignore...."

Je venais de me bourrer l'esprit avec trois heures de mathématiques et par chance, nous n'avions plus de cours pour cette journée. Les trois heures restantes étaient la permanence !

Alors, avec les filles pour ne pas perdre cette journée à rôder dans les couloirs du lycée, nous avons décidées de nous faire la mâle.
Nous sommes sortis par la porte des réfugiés, un petit passage fait dans l'un des murs du lycée, et  améliorer par les grands Bad boy du lycée, pour fuir les cours aux moments où ceux-ci ont lieux !

Nous sommes allées au refuge. Le refuge est en fait la demeure de Fabiola. Étant donnée qu'elle vie juste avec sa mère, et que cette dernière vie du travail, elle sort le matin et rentre très tard dans la soirée, le reste du temps, c'est Fabiola qui gère la maison, et nous autres, avons fait de la maison, notre refuge, notre laboratoire, notre journal intime.

La maison est très grande, avec un salon luxueux qui comprend la salle à manger à l'intérieur, quatres chambres dont deux pour les invités, une pour ma Violetta, car c'est ainsi que moi je l'appelle et une autre pour sa mère. Une douche dans chacune des chambres et une autre pour les invités au fond du grand couloir. Un écran trente six pousse, pour voir en HD, ce qu'elles adoraient regardées ! Car moi, je suis plutôt du style mangas, BD , roman, enquête policière, émission chirurgicale, car la chirurgie et toutes les branches de la médecine me passionne. Mais aussi la musique et l'information, l'écriture, les garçons...

Au contraire de mes meilleures amies, elles préféraient plutôt des séries à l'eau de rose.  Où l'amour est au centre de tout et  tout y est possible si on y croit !
"
Il faut que tes copines redescendent sur terre, car l'amour n'est pas fait que de rose, douce, aux parfums rafraîchissant et tout... Mais aussi, cette rose qu'elles touchent sont remplis d'épines et son parfum aussi toxiques que celui de la belladone ! "

J'avais tendance à être paranoïaque ! Mon esprit prenait très parfois le dessus sur moi, alors que je suis, et je demeure mettre de mes émotions, je n'avais pas besoin, qu'une voix, une toute petite voix, aussi insignifiante qu'elle soit vienne me faire la morale ! Moi, une créature divine !

- Ange , qu'est-ce ce que tu en penses ?
- Au sujet de quoi ?
- ( Fabiola)  Tu veux dire que depuis que nous débattons, tu n'es même pas dans cet espace temps ?
- Non, juste qu'il y'a quelques choses qui affectent mes pensées ces derniers temps !
- ( Marie )  Ulrich ?
- Mais non , pourquoi quand je pense, ça doit forcément être à lui, je ne peux pas penser à autre chose ?
- ( Fabiola ) Qui peux le savoir ? C'est dans ta tête que tout se passe ! Mais pour dire vrai, je pense que tu es un peu trop dans le par rapport d'Ulrich ! Et en plus j'ai des doutes sur lui, et son ressenti envers toi.
- Pourquoi ? Pourquoi vous vous mettez de tel hypothèse dans la ciboule ? Je n'arrive pas à vous cerné.
- ( Marie )  Écoute, elle essaie de te faire comprendre que, tu devrais plus faire attention à toi et non toujours à ce qu'il pense de toi, et puis si on ressent de l'amour envers une personne, c'est que celle-ci a su nous captiver, elle a su susciter en nous un sentiment que nul n'a pu le faire, alors l'on devrait être en mesure de l'aimer sans se soucier de son apparence physique...  Ok ? Et en plus qui nous dit qu'il est fidèle ? Qu'il ne voit pas autre que toi ? C'est vrai qu'il est attentionné, doux et tout... C'est d'abord mon ami avant d'être ton petit ami, donc si je te dis que les mecs comme lui, c'est bien, et que demain c'est mauvais forcément je serais fautive car je t'aurais emmenée les bras ouverts vers ce qui sera ta chute !  Ne mets pas trop le cœur sur lui.

- Les filles je dois rentrer !
- ( Fabiola ) Tu t'en vas juste à cause de ses paroles ?
- ( Marie ) Ne te fâche pas, si je te fais par de mes doutes, c'est première pour te protéger toi et ta santé émotionnel. Et aussi pour ta santé mentale. Car l'amour sa détruit, il faut juste se pencher sur le côté pour être témoin de ses œuvres, alors ne te fâche pas sur ma personne et sa parole.
- Les filles, je sais que vous le faites pour mon bien, c'est pour celà que je ne suis pas fâché, et puis tes paroles sont vraies, donc je ne peux pas me fâcher ! Je dois rentrer, car le matin en sortant maman n'allait pas bien, donc forcément elle n'a pas pû assurer quelques tâches, je dois les faire et profitez pour cuisiner à mes petits frères !
- ( Fabiola )  Si ce n'est que ça, alors je ne vois pas de soucis, on se dit dont à demain ?
- Oui oui passer une très belle fin de journée, bisous

On se fait des bisous à la joue et je me revêtues de ma chemise, puis remets à mes pieds mes chaussures, un tour devant le grand miroir, je récupère ensuite mon sac, et je m'en allais dans la buée ensoleillé

- À demain les filles.