" Ce que l'on pense, on le devient. Ce que l'on ressent, on l'attire. Ce que l'on imagine, on le crée...."
L'amour connait quatre étapes : L'attirance, L'attachement profond, La crise de la relation et La perte. Il est aussi fait de hasard et de chance. À une bretelle de la vie, il est là, offrande sur le chemin. S'il est sincère, il se bonifie avec le temps. Et s'il ne dure pas, c'est que l'on c'est trompé de mode d'emploi... La majorité de l'être humain le connait au moins une fois dans sa vie.
Auprès de lui je l'avais connue, Oui ! Les sourires idiots, les pertes de la notion du temps, la fatigue psychologique de suite des pensées prédominante sur ta personne, les fantasmes continues et répétées des nuits qui auraient dû être les nôtres, des lueurs de jalousie et d'espoirs, des crises d'angoisse suites à des retards d'éventuelles réponses à mes messages, le regard palpitant, cette joie qui animait mon être à chacun de tes sourires, de tes tendresses, édifié à ma personne : le véritable amour c'était après de toi Ulrich.
À cet heure, l'instant présent, cette relation tant chérie, cette même relation pour laquelle je m'étais battue avait atteint son apogée et déclinait peut à peux à ce qui paraît être son déclin... Ceci résultant de mes mauvaises décisions, agitations, de mes précipitations, et à mon immaturité... J'ai conduit à sa perte, ce qui devrait être le plus beau trésor de mes années lycéennes.
L'année touchait à sa fin, Farida avait décelée mon état mental. Et c'était empressée de trouver des mesures adéquates pour y incorporer dans cet être des instances de joie.
- Je sais ce qui ne va pas !
- Et quoi donc ? Je suis sur la touche...
- T'inquiète, le meilleur médicament contre les peines de coeur, c'est de s'envoyer en l'air avec le premier venue...
- ( Fabiola) Si jamais un Imam était témoin des amnésies qui déclinées de tes paroles, il ferait une crise d'hypoglycémie, car les cellules insulines arrêterons de produits de l'insuline...
- Ne m'embrouille pas avec un cour de sciences tu veux bien ! Et je tiens à te rappeler que je suis libre de mes agitations de sur quoi, je pense ce que je dis et je dis ce que je pense.
- Merci les filles, mais je ne peux pas faire cela car...
- ( Nadie ) Car tu aperçois cela comme une tromperie, une trahison et tu ne veux plus être infidèle à Ulrich... Tu nous as sortie cette excuse des milliers de fois. Je ne dis pas que la proposition de Farida tu devrais vraiment l'accepter encore moins le faire, mais dans un sens elle a raison.
- ( Marie ) Ulrich est notre ami, toi à titre pareil, mais on te considère tous comme une sœur. Qui nous dit qu'il pense toujours à toi ? Qu'il ressent toujours un sentiment particulier envers toi ? Après tous c'est lui qui a mit fin à votre histoire même si, sa décision sur un point est compréhensible...
- ( Nadie ) Sans oublier que les vraies fautives de l'histoire c'est vous.
- J'y réfléchirais.
- Ne pense pas trop car les deux beaux gosses à l'entrée son des amis. Ce sont les gars de terminale scientifique. Avec qu'eux c'est sans engagement, logiquement parce-qu'ils finissent le lycée cette année, du coup avec le temps qu'il reste pour la fin du semestre, tu pourrais t'amuser avec et c'est parfait pour ton état actuel. Vous ne pensez pas ?
- ( Fabiola ) Du moment où l'un d'eux arrive à la faire sourire, je ne vois aucun inconvénients et vous ?
- ( Marie) Pareil !
- ( Nadie ) Ce n'est pas la plus pire des initiatives, comme les autres, je pense que tu devrais ne plus réfléchi et t'amuser au maximum, le lycée c'est une seule fois dans la vie, autant en profiter.Je m'étais lancée dans l'inconnue, mais aucun d'eux n'avaient un détin particulier à mon égard. L'un JACQUES avait le béguin pour Charonne, il parlait constamment d'elle et ça devenait lassant de l'entendre répétés les même bêtises à longueur des journées qui, me devait être consacré. Après tous c'était un rencard et non un rendez-vous chez son psychiatre. L'autre DEWILY, admirait avec adoration, passionnément et amoureusement ma Violetta. Je laissais défilé, me contentant d'èrer dans les nuances nocturne et glacial des fragments des souvenirs des jours heureux auprès de celui qui, actuellement répudie ma personnalité.
Le semestre avait défilé à une vitesse constante et acheminant vers sa fin. Comme à mon habitude, le premier rang m'étais destinée, présentement l'intérêt d'être première ou dernière ne vallaient plus la peine... À quoi bon ? Marie suivie mon rang, car on jouaient à un passement de jambes or paires.
J'avais été envoyée en classe de première C, les filles en D de suite de mes très bonnes prestations sur les matières à caractère scientifique et elles, suites à leurs dévouement pour l'anatomie humaine.
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AMOUR LYCÉENS
Roman pour AdolescentsLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...