CHAPITRE 39

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Un honnête homme est un habile comptable, avant d'agir il calcule d'abord son intérêt...































Notre dispute a notamment amassée une grande foule, tel un dernier déballage dans un marché, l'extase du bruits créés par des élèves immatures, insensés et vraiment sprinteurs n'a laissé indifférent les surveillants du lycée.

Nadie semble avoir tout découverts, elle croit détenir le fin mot de l'histoire, la vrai vérité mais elle est vraiment ignorante sur le comment et le pourquoi de la chose, elle s'est emballée tel un môme devant un paquet de friandises.

Et je n'arrive toujours pas à croire, j'ai été dévoilée, mise à nue, condamnée alors que ma seule motivation a été justement de démontrer, maintenant je suis jugée pour un crime qui, pourtant n'en est pas un !

Ce sont vraiment les inocents qui se retrouvent derrière les barreaux.

En voulant jouer à la justicière, je me suis lamentablement condamné, j'ai damné l'amitié que j'ai pourtant mis du temps et de l'énergie à construire, tout ceci pourquoi ?

Un mec !

L'homme est vraiment la base de tout les conflits existentiels.Ne serait-il pas mieux d'éradiquer la race humaine ?

Ce n'est pour autant que le vacarme s'estompe. Au contraire, il prend de l'ampleur.

D'ici à là de la classe, les cris, des gens qui reportent tout en ajustant nos paroles pour un plaisir audio de taille.

L'audimat monte en flèche, et je me sens que je vais perdre pied.

Tous ses cris, j'ai l'impression de me trouver au centre d'un cyclone, les voix se mêlent dans ma tête, j'aimerais qu'ils cessent de dire du n'importe quoi.

Qu'ils arrêtent de me montrer du doigt, de me regarder en parjure, j'ai fais une erreur ; ne dit-on pas que l'erreur est humaine ?

Suis-je peut-être la seule humaine de cette classe ?

Je suis condamné, j'ai le cœur qui bat, les yeux qui picotent, car je sais, que si sa continue, les barrières que je me suis efforcé à construire vont une par une cédées sous ses multiples assauts.

Arrêter

Arrêter

Arrêter

Ne me regarder pas comme ça.

Ne me condamner pas

Je suis désolée de ce que j'ai fais

J'aime simplement voulus aider mon amie

Je voulais simplement te préserver

Me condamne t'on pour mon aide apportée ?


Les bruits s'estompent comme pas enchantement.

Le calme retrouve sa place, face à mon petit peuple, comme au devant de la scène, je les admire retrouver leurs sièges d'origine et de se tuent.

Qu'ai-je bien pû dire pour qu'ils retrouvent leurs civilisation ?

Je sens une respiration à l'arrière de ma nuque et je me retourne instinctivement.

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