CHAPITRE 68

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" C'est un choix de tomber amoureuse, mais tu n'as aucunement le droit de choisir la personne donc tu tombe amoureuse..."

L'amour est comme le soleil en saison de pluie, le jour ou tu l'attends impatiemment, il ne t'offre pas sa présence, mais lorsque, tu as besoin de sombrer dans les ténébreuses éclaires des pluies, il te fait don de sa présence. Comme un arc-en-ciel, il t' ilumine de ses rayons à la fois brûlants et adoucissants.

Nous étions là, assis, se lançant des regards à tout bout champ, je n'arrivais pas à croire, qu'au bout de six mois, il est pû changer de la sorte, physiquement, on aurait dit la réincarnation du dieu Apollon, d'autant plus que ça beauté était d'un charme diaboliquement attirant... Évidemment, il a été frappé de la malédiction du charisme, il y'a que cette réalité qui peut être acceptable. Je comprends mieux, maintenant pourquoi il est si réclamé par le genre féminin. Et dire qu'il me fait don, à moi, d'être celle là, qui profiterait de lui... Le contact visuel entre-nous ne se perdait pas, parfois agaçant de se regarder sans rien dire, et parfois, c'était la meilleure des choses à faire, juste se regarder, mémoriser chacun des traits de nos visages, stocker dans sa mémoire les émotions de l'un en présence de l'autre. Il entreprit de restreindre cet échange visuel, en articulant des paroles,

- Ça te dis d'aller se déhanché ?
- Je veux juste que tu m'embrasses.
- Quoi ? Là ? Maintenant ?
- Oui,
- Je ne veux pas que ta première fois soit de cette façon, tu mérites mieux comme premier baisers. On n'a qu'aller chez-nous ?

" Qui dit maison fait référence à quatre murs. Et qui fait allusion à quatre murs, met en évidence une intimité. L'intimité donne lieu à des caresses, qui suit des embrassades passionnés et inévitablement un déshabillement. Après viens le plaisir, une jouissance majestueuse et en fin le regret ! Tu es sûre de vouloir cette réalité ? Es-tu prête pour cette vie ? " Ma conscience ne le souhaite pas, mon corps lui, dit autre chose. " Cathïde, je peux supporter, d'autant plus que c'est toujours se qu'ont avaient voulus, le corps d'Ulrich suant contre le nôtre dans un plaisir indescriptible... Oui, t'inquiète pas, je peux supporter " . Je suis en désaccord avec moi même ! Il était toujours là, à attendre une réponse venant de moi.

Ma tête effectue des hochement allant du haut vers le bas pour un oui catégorique. Mais ma bouche articule un non ferme. À vue d'œil ma réponse l'avait déçu. Il ne dit plus rien, se contente de se retourne, et de donner face aux passants. Je m'en voulais terriblement, mais il aurait pû lire entre mes lèvres, entre mes mouvements... Mais non, il n'a pas encore atteint cet état d'âme, pour pouvoir me comprendre moi. On demeurent ainsi, pendant plusieurs minutes, pour ne pas parler d'une heure. Il avait déjà terminé d'ingurgiter le liquide contenu dans sa bouteille, il se contente simplement de balancer la bouteille d'un simple revêt de la main et de se lever.

- Je dois rentrer.
- Déjà ? Si c'est à propos de ma réponse, je suis désolée, je...
- Ne te justifie pas ! On faira toujours comme tu voudras.

Il n'attendait même pas que j'ai le temps de le souhaitez une bonne soirée, qu'il s'en alla, sans ménagement. Je demeurais encore seule. Comme toujours, ses acolytes d'amis l'avaient suivis. Ma solitude se voir de courte durée, lorsqu'un mec, vient prendre place à ma table. Il a l'air charismatique, mais pas assez, je n'accorde pas d'importance à ses dires, mais j'écoute tout de même.

- Comment peut on laisser une aussi belle demoiselle seule ?
- Circonstances de la vie.
- En plus d'être belle, ça voix est d'une divinité exquise.
- Merci, je dirais pareil pour la vôtre.
- Venant d'une déesse comme toi, je ne peux que l'accepter. Peut on trouver un endroit plus calme pour mieux faire connaissance ?
- Cet endroit ne te vas pas ?
- Trop bruyant à mon goût, et surtout je ne veux pas paraître bruyant à mon tour. Qu'est-ce que tu en dis ?
- Au point où j'en suis, je ne vois pas pourquoi je refuserais, je te suis.

Il ouvrit la marche avec un empressement qui me laissait perplexe. " Règle numéro une dans la vie, ne jamais suivre un inconnu dans la rue. En plus avec cet attroupement de vêtement que tu abords, il pourrait se suivre un viol et des regrets. Regagne ta table."  Je m'arrête et rebrousse chemin, sans que mon mystérieux assaillants n'est le temps de me visualiser. Je retrouve la table et feancklin y est installé.

- Je croyais que tu allais le suivre .
- Tu es arrivé depuis ?
- Assez pour te voir suivre un inconnu.
- N'exagère pas, je ne l'ai pas suivi. Je marchais.
- Si tu le dis.
- Les petits sont où ?
- À la maison, je ne pouvais plus les trembalés avec moi à onze heures du soir.
- Tu as raison, c'est pas une évidence. Bon tu m'achètes à boire ?
- J'allais te proposer,

À peine de temps qu'il faut, la table était déjà rempli de bières et de whisky. Tout autour mes potes avaient prit place, Nadie avait fait réapparition toujours au compagnie de bobo, Fabiola, Dewily, Brice, Jacques, Radivine. nous étions tous là, à ciroter des boissons alcooliques, malgré nos âges mineurs.

La fête battaient son comble, je me sentais bien, malgré qu'il m'avait menti qu'il rentrait, au lieu de ça, il était à déhancher avec des filles dans cette salle qui puait l'alcool, la sueur et le sexe.

C'est à deux heures du matin que feancklin et moi prirent le large, comme toujours, il me dépose chez nous, avant de rentrer chez lui.

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