AMOUR LYCÉENS

CHAPITRE 37

L'homme est généralement bon, mais ce qu'il croit être bon est en fait la réincarnation du cruelle...

Pour ma meilleure amie

Depuis ma tendre enfance, l'on nous révèle à travers les bouquins, les débats télévisés, les grandes thématiques que le monde est malade.

Qu'il se fait attaquer par des virus au nom, des tares sociaux.

À cet effet nombreux sont les organismes créent à fin de les éradiqués, les sensibilisations d'ici et d'ailleurs faites à fin de prevenir la jeunesse...

Mais à quoi bon ?

Lorsqu'on sait pertinemment qu'ils font partis intégrant de nous, depuis notre tendre enfance.

Ils ont toujours été avec nous, pour nous et pour vous.

Prenons le cas de la corruption !

Que dire ?

Nous sommes corrompus ?

Évidemment que oui, revenons de quand nous étions petits, nos parents et grands frères, n'achetaient-ils pas notre silence en nous offrant des friandises lorsque ses derniers avaient commis des fautes où seul témoin était nous ?

N'acceptons-nous pas ?

Personnellement je me reconnais dans cet attitude. 

Le temps a évolué, les années se sont écoulées, et depuis tout absolument tout a évolué en plus grand, en plus beaux et en plus simple !

Aujourd'hui comme avant le silence s'achete, il ne vaut plus les miettes de pain, mais la peau des fesses.

{******}

Ce matin, tout comme la veille avant que je ne somnole, je me réveille avec cet arrière goût dans le creux du ventre.

Comme si cette journée ne me présage rien de bon.

D'aucuns penseront que je suis limite folle ou juste une grosse paranoïaque.

Soyons réaliste quelques instants, y'a des symptômes de nos corps qui ne trompent pas, du style légères douleurs au bas-ventre, signe annonciateur de nos règles dans les prochains jours ; nausées et vomissements dans quelques cas la grossesse, fatigue et manque d'appétit, au pire un contrat de paludisme...

Mon corps aujourd'hui est farde, bizarre, une sensation de ... le terme m'échappe, tout ce que je sais, c'est que je me suis levée ce matin sans réellement être dans moi.

Et c'est avec cette même appréhension que j'ai effectué mes tâches quotidiennes, que j'ai pris ma touche, que je me suis conformes en tenue scolaire.

Ce même parfum qui me colle à la peau que j'ai pris mon téléphone, avec hésitation, sans toute fois tenir compte de cette dernière, je l'ai rangé dans mon sac.

Au galop comme une jument, j'ai pris la route, sans toute fois être rassuré.

Est-ce que j'ai chopé une grossesse de vierge ?
N'importe quoi, même le seigneur ne pourrai pas faire cette erreur
N

oté le sarcasme.

Comme promis à Nadie de l'apporter mon téléphone à fin qu'elle puisse snaper et scroller dans le net, celui-ci reposes dans mon cartable.