" La connaissance n'est acquise que lorsque l'homme se résigne à l'accepter..."
En Afrique, la croyance au superstitions dépassent toutes les attentes . Chacun est libre de croire à la malchance ou même à la chance. Le karma c'est toujours prouvé réel, ou, serais-ce la perception de notre psychisme ? En tant que africain, européen ou même asiatique, nous nous devons de croire à quelle chose... D'aucuns croiront aux mythes, à une vie après la mort, à l'existence d'un être supérieur aux nôtres, aux idoles...
Je venais à peine d'ouvrir les yeux, que cette journée s'avérait déjà être un supplice. C'était Noël. Et comme les années précédentes, nous nous devons de faire un petit festin, réceptionner les invités qui sont très souvent les enfants du voisinage, les neuves et cousins éloignés qui ont fait le déplacement, principalement et simplement pour cette journée. Dès que trois heures du soir sonne, mes petits frères entrepris de se préparer pour les festivités. Ils vêtis les vêtements acheté expressément pour cette journée, ainsi que les accessoires qui y vont avec. Après ce défilé de nouveautés, ils se dirigent Chez toto, le plus grand snack bar de danse du quartier, aux compagnies de leurs amis.
Moi, évidemment, j'attendais que sonne sept heures du soir pour envisager une sortie, et quand cet heure fut arrivée, je vêtis une combinaison panthère moulante, qui dévoile mes formes moins prononcées, mais tout de même généreuse, des escarpins du même type au pied, un petit sac à mains en accord avec mon thème panthère, et sur ma chevelure, reposait un tissage de mèche. À cet heure, les enfants ont déjà dû libéré la place de fête, pour nous laisser place. Quand j'y arrive, je retrouve sur les lieux, Nadie et ses sœurs, Fabiola et la bande de bobo, Brice, Franck, Jacques, Flambel, Francky. Franklin devait arriver plus tard, comme toujours il se devait de promener ses petits frères dans les lieux les plus joiatif de la ville. Et comme je me doutais, mon vêtement fit l'effet que j'attendais, les regards m'étaient destinés, ce sentiment d'être toujours sur les feux de projecteur, me procurait un bien fou.
Deux grands bras viennent prendre possession de mon tour de reins, signalant que j'étais sa propriété et que les autres devraient se contenter d'admirer. Personnellement, son comportement ne m'avait pas déplu, mais étant donnée que je n'appartient à personne, et que je veux toujours demeurer un électron neutre, je m'empresse de défaire son étreinte sensuelle et de le faire face,
- Tu es à croquer ce soir. Je ne sais pas si, j'arriverai à me retenir cathide.
- Ne me dit pas que mon vêtement fait tant d'effet, Dewily.
- Tous te lancent des regards dévorant... Et, je ne sais pas si, je devrais t'enlever et te conduire où, je serais le seul, à avoir un accès visuel sur ce corps.
- Tu devrais peut-être t'éloigner de moi, ta petite amie ne va pas accepter que tu fleutes avec une autre.
- Je...
- D'autant plus que, tu m'avais dis que j'étais là seule, mais visiblement tu m'avais mentir. Tu voulais jouer sur deux tableaux, et par chance pour moi, ta petite amie est la grande sœur à mon meilleur amis, du coup, tu aurais dû te douté, que j'apprendrais tôt ou tard la vraie vérité des choses. Et crois moi, je ne t'ai pas encore pardonné de t'être jouer de moi, et de mes copines. Maintenant si tu veux, j'ai des amis à rencontrer.Je quitte de son champ visuel, en croisant sa petite amie, à qui je lance un jolie sourire, sur le reflet de l'un des sacs à mains d'une personne que surpasse, j'aperçois son reflet, il enlace sa petite amie sans scrupule en me lançant des regards. J'arrive à la table ou est assis Nadie, Fabiola, Ruth, Radivine et la petite sœur de Nadie.
- Salut les filles,
- ( Fabiola) Alors, il y'a un truc entre toi et Dewily ?
- Pas le moins du monde, vous savez toutes sur qui je flache...
- ( Nadie) Lorsqu'on parle du loup, on voit toujours sa queue.Je me retourne à ça réplique, en croyant au plus profond de moi, entrevoir Yann. Secrètement, je me disais qu'il m'aurait choisir moi, et non sa petite amie, mais malheureusement pour moi, ou devrais-je dire heureusement pour moi, je tombe sur Ulrich et ça bande Nathan, Rubain, kiff et junior. Junior avait l'air différents, on dirait presque qu'il fut frapper de la malédiction de la beauté, je me voyais intérieurement le maté avec dévotion...
- Ne te prive pas !Cette parole m'éveille aussitôt, visiblement tout le monde avaient remarqués ma convoitise, pour ne pas paraître une vraie obsédée, je détourne le sujet à la guise, comme je sais le faire,
- Désolée, j'étais prise par mes pensées.
- ( Nadie) Visiblement, tu es toujours à l'ouest c'est dernier temps.Nous nous mettons à rire, et sur le coup, je croise le regard d'Ulrich, mais celui-ci semble me fuire. Et son bonsoir me laissait perplexe. Il ne présentait aucune émotion particulière, pas d'amour, pas de passion ou même de désire, c'était comme s'il s'adressait à une parfaite inconnu, mais je ne suis pas une inconnue... Le serais-je ?
- ( Ulrich) J'arrive, j'ai un petit business à gérer,
- D'accord, je t'attends ici.Il s'en alla et avec lui, ça troupe d'amis. Quelques heures après, bobo, fût entraîner Nadie, je ne vois pas pourquoi elle le suit encore, vue qu'elle a déjà des engagements avec un certain La Loi. Ruth et Flambel, on m'avait parlé de ses deux, mais j'ai toujours cru, que Flambel ne pouvait pas s'en donner au relation, visiblement je me suis gouré. La sœur de Nadie me quitte à son tour, puis, Radivine, qui se fait appeler par sa grande sœur. Je me retrouve seule sur cette table, à siroter mon verre. Jamais je n'ai aussi été insignifiante... Pourquoi ?
Un chapeau viens de poser sur ma tête, me faisant sortir de cette transe,
- Cathide, tu as mis du cœur.
VOUS LISEZ
AMOUR LYCÉENS
Teen FictionLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...