CHAPITRE 17

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si gagner de l'argent était Source de bonheur, tout les hommes seront heureux ...



























La fin des vacances a sonnée. Laissant ainsi place à la rentrée scolaire, dans mon pays, la rentrée scolaire est plutôt colérique.

Car on se plaint d'ici et par-là de la rareté de l'argent !

Ceci s'expliquerait par le chômage, exorbitantes sommes des produits sur le marché, les marchands qui se plaignent du faible prix d'exportation et de la monté de l'économie des importations.

L'argent et toujours l'argent, même les hommes les plus influents pleurent l'argent.

Ne peut on pas vivre sans argent ?

Pourquoi certains ont fait de l'argent leurs dieux ?

L'argent serait il à l'origine de la pauvreté ?

Les hommes et femmes n'ont qu'un seul mot à la bouche, un seul mot qui pendent leurs lèvres, l'argent ! 

De mon côté, moi , je m'apprête à débuter une nouvelle année scolaire, une nouvelle classe, un nouveau départ avec mon Ulrich, que, je n'ai pas vue pendant trois mois, trois long mois, qui se sont avérés être trois mille ans au enfers, même le dieu des enfers voulais que la rentrée débuté vite, car disait il 

Je suis fatigué de cette âme, qu'on me débarrasse d'elle...
C'est de l'amour où de l'obsertion ?


Ma mère s'est débrouillée comme elle pouvait, et nous a assurés une place dans nos salles respectives, car mon frère, Junior, a réussit son entré en sixième.

Donc, il devenait un vrai élève, plus, un bambins du primaire, il est maintenant au secondaire, dans l'un des lycées le plus déranger.

Je vais entré en troisième espagnol et Ulrich, lui en Allemagne ainsi que Steve allias Bobo et ma best Friends forever Nadie.

Quant à Marie, Fabiola et Francky, ils ont été transféré dans la troisième espagnol II et moi j'ai jeté comme une vielle chaussette à la I ! Sans aucune épaule, sans mes copines, toute seule.

J'ai eu vraiment la flemme quand j'ai vue le classement dans les listes ce matin, j'avais le morale à zéro et j'étais vraiment dans une de ces humeurs à tout cassés, à tout détruire je voulais vraiment aller dans le bureau de ce proviseur lui flanqué mon point dans la figure .

Et risqué une exclusion définitive ?
Que ton nom soit bafoué dans tout les lycées ?
Mais t'es carrément folle ange !
Et puis voir le bon côté des choses, tu ne seras pas gêne et puis ta meilleure rivale est allé à la II ce qui te laisse le champ libre pour la première place du classement.
Et tu oublies qu'il t'a laissé ton best Friends Franklin ? "

C'est vrai ma petite cervelle a raison, il ne m'a pas enlevé l'essentiel, Franklin était toujours là, et je n'aurais plus à bataillé la première place avec Marie.

Oui , pour une fois le proviseur a eu raison pour ce classement débile.

Après son discours de bienvenue de chaque année, il nous laisse libre cours de choisir entre la cantine et nos classes, moi je fais le choix direct d'aller prendre un banc stratégique, une place que le professeur me remarquerait directement, mais aussi une place où sa ligne de mire serait limité.

En fin même si j'aime la couleur de la craie, que j'aime la vue du tableau noir, je préfère mieux y aller de mon initiative que j'y être envoyé de force.

Alors mon dépourvu c'est jetté sur le premier banc, de la première rangée, à droite de l'entrée , elle me laisse libre recours entre fait cours ou les séchés !

Mais aussi la ventilation est parfaite, pas trop froide ni trop chaude juste à la température normal, de plus, j'ai accès illimité à la fenêtre et un éclairage parfaitement réglé.

La nouvelle année s'annonce déjà bien, un bon banc, une bonne rangée, une voisine des plus tôt accueillante et charmante, Radivine est son prénom.

Une visite d'Ulrich avec un beau paquet, pour me démontrer à quel point je l'ai manqué, un petit baiser sur le front, et aucune concurrence.

L'année parfaite...

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