CHAPITRE 60

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" L'ignorance est un aveuglant sélectif, la croyance est un éclairage ondoyant..."

Les semaines avaient défilées, je m'étais rendue compte de mon insociabilité et de la perte peut à peux de ma personne, alors, je me suis promis d'y remédier. Je devais absolument et instinctivement retrouver celle que j'étais, je devais redevenir cathïde. La vraie, celle qui mène sa vie sans lendemain, la belle et séduisante, qui laisse le reflet d'une insouciante, peureuse, fragile, ignorante à tous ses attrayants.

Les premiers évaluations ont été un supplice, pour la toutes premières fois, j'étais persuadée que mon niveau n'en vallait pas la peine, je m'étais rendue compte que j'étais faible, mon niveau de réflexion était très bas, comparé à celui d'avant, bien auparavant, avant que je ne devienne celle que je suis. Comme à son habitude, la vie que j'ai décidé de mené, m'avait conduite à rencontrer CHRISTIAN, un redoublant de la salle de classe, et l'un des meilleurs. Parfois, je me demande bien pourquoi l'échec, a été prononcé sur son nom... À croire que ce système est erroné. Par la suite MÜLLER, qui m'avait littéralement adopté, celà ne se cachait pas que je lui faisais de l'effet, ceci suivi de mon nouveau groupe de potins YANN, SALEM, FLANBEL, BRAYAN, SIEDFREID, DANIELA, YMELE, JOËL.

Avec leurs compagnies, j'étais persuadée de relevé mon niveau, d'atteindre leurs siens, par la suite, leur surpassés. Après tous, je ne suis pas ce genre de fille à flanchir, je me sers de ce qui est utilisable, et après avoir user leurs ressources, je leurs rejette comme des vieux détriment.

Malgré leurs attachements à mon égard, et les multitudes d'heures d'études que nous faisons, j'étais toujours animée par se stress inexplicable, il me fallait à tous pris Pharel, je désirais qu'il m'imprègne de ce feu ardant, à fin que celui-ci consume tous autres émotions de mon être.

Toujours dans ma réflexion, je n'ai pas suivi ce mouvement qui me ramène vers un endroit sombre, à cet instant, je savourais déjà cet instant, après tous, il ne m'avait pas oublié.

- J'ai cru que tu t'étais lassé de mon corps !
- Comment le pourrais-je ? Alors que je n'ai pas encore parsemer, ses parcelles de tendresses, dressé et entretenus pour mon plus grand plaisir...

Ses paroles s'accompagnait de délicate va et viens de mes cuisses vers mes genoux, des reniflement de mon odeur allant de mon cou, vers ma poitrine. Sa deuxième mains, servait à me caler contre le mur, à fin que je ne puisse opéré des mouvements.

- Pharel...

Dans un moment de savourement, je relâchais quelques gémissements de son prénom, à l'écoute, il opérait quelques baisés sur mon cour, entrepris le déboutonnement de ma chemise, laissant visible, un demi body noir, le sourire aux coins des lèvres, il defila ses doigts, voulant les imprégner de son ora sensuel, mais je le stoppais net.

- Pas cette partie.
- Et pourquoi pas ?
- J'ai dit non !
- Je vois, tu te delattes, de mes tendresses, tu aimes bien quand je transporte hors du commun, mais quand je veux plus, tu te defiles...
- J'ai été clair, tu as le droit de voir, mais sans toucher. Et tu n'as pas accès à mes lèvres, mais mon cou si, pas à mon entre jambes, mais mes cuisses, savourent-les.
- Tu me donnes accès à des parties superficiels de ton corps, alors qu'il a droit à toutes ? Tu me désires seulement quant à libido est aux maximus et que tu as besoin d'un larbin pour la faire baisser ! Cathïde, je veux plus, si tu ne peux pas me donner, on arrêtera ce petit scénario.
- Je t'aime Pharel !
- Seulement quand tu es en manque, quand tu veux perdre le temps, quand tu veux oublié Ulrich, c'est à cet instant que tu m'aimes.
- Je ne suis plus en couple avec Ulrich ! Il m'a quittée...
- Seulement Parceque tu t'es entiché avec son meilleur amis.

Ma main défilait vers sa joue, mais il l'a stoppe sans problème,

- Tu n'es qu'une pauvre profiteuse, toujours à croire que tu es l'idéal, tu te sers des personnes qui tiennent à toi pour tes propres fins, tant que ça te profite, c'est bon ! Tu sais quoi ? J'arrête tous, et oui, je me suis lassé de ce corps...

Je repris le contact, et m'en alla, les larmes aux yeux, mais pas efforts de mon égo, je n'en coulais aucune, il ne mérite aucune de mes sanglots. Après tous, il n'était qu'un passe temps ! J'ai déjà une nouvelle proie en vue...

J'arrive devant la salle de mes copines, la première D, au contraire de ma salle de classe, celle-ci est plus grande et présente plusieurs élèves.

Il m'avait été rapportée que Nadie, avait déjà un nouveau petit ami, qui se prenommais La Lois. Un mec assez banal, du tiens chocolat noir, les pieds légèrement arrondie, une taille fine, assez élégant à vue d'œil, mais pas assez pour me faire ressentir quoique ce soit.

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