" vivre sans amour est supplice, mais un amour à sens unique est une vie meurtrie... "
La femme est le reflet d'un circuit électrique. Car, tout comme celui-ci, la femme a la faculté d'être une conductrice opère, et une insolente de choc. Elle peut conduire un sexe opposé au sein ou même compatible à opérer des tendresses édifiées à sa personne, à faire des pires folies juste pour essayer de la combler, satisfaire, de l'attendrie . Par ailleurs son côté rancunière, furtif et dangereuse isoles toutes menaces d'elle.
Les premières semaines ont été d'un supplice psychologique. Les cours se succedaient, les pauses paraissaient très courtes et parfois inexistente. Plus incroyables encore, il m'était difficile d'assimiler tous les cours, la pression montait. Pour la toute première fois, j'avais la peur de l'échec scolaire. Les cours m'étaient incompréhensibles, l'incompréhension totale régnait dans mon esprit, mon psychime intellectuelle prenait de points fouet ma faible... J'étais à bout de nerf, fatiguée intellectuellement, le stress et le surmenage des cours divulgués par les professeurs qui paraissaient incompréhensible à mes oreilles aboutissaient l'être de chaire que je suis.
Il me fallait décompresser, je devais trouver un moyen qui me permettrait non seulement de détressée, mais aussi, de mieux me concentrer... Subitement, je levais les yeux, je tombais sur ce corps d'Apollon qui m'avait tant marqué et donc les carresses, et tyrannie sur ma personne me procuraient un bien fou. Affreusement, il ne m'accordait aucun intérêt,
"Logiquement, actuellement ton belle Apollon c'est déjà constitué un bel harem, il sait lassé de toi, tu ne l'accordais aucun intérêt "
Si les hommes peuvent se constitués des harem ? Pourquoi moi je ne le pourrai pas ? Cette réflexion planait mon esprit ! Le vrai semblable serait de dire simplement, Cathïde tu t'es bien foutue de tous les mâles qui sont approchés de toi, tu as joué avec leurs propres cœur, pulsions, et désire... Un harem ! Tu l'avais déjà, mais tu l'as détruis. Ce bout de moi, avait une logique réaliste, elle avait vue juste, ou, dans un sens j'avais vue juste, après tout c'était le moi pensant qui s'affirmait.
- Salut !?
Je levais la tête, ce que je vis, me laissait stupéfaite. Il avait les yeux marron foncé vue de loin, l'on pourrait l'attribuer à un noir profond. Une barbe de quelques jours, légèrement taillée mais se laissant entrevoir, la chevelure au raie comme le veux le règlement, mes yeux continuaient leurs défilés passionnel sur ce corps taillé par le travail sportif. La chemise était bien repassé, les traits archaïques du fers à repasser y étaient encore visibles, la vue sur son pantalon laissait visiblement entrevoir des jambes fines et longue...
- Tu n'es pas très bavarde à ce que je vois !
- Je peux me montrer très bavarde si je le veux.
- Moi c'est CHRISTIAN et...
- Cathïde, c'est mon prénom
- Je...Il fut stopper par un autre élève de la salle de classe, qui paraissait apparemment plus jeune, à contraire de Christian, son mystérieux interlocuteur était de taille moyenne, un visage tout aussi angélique, mais présent des yeux brièvement noir, en parfait symbiose avec Celui de son teint, une chemise à moitié ouverte du moins aux trois quarts des boutonnières. Il s'avança vers nous, et comme hypnotisé, je poursuis son avancement vers nous.
- Toujours entrain de faire le joli coeur.
- Il ne fessait rien de tel, juste les salutations.
- Ceci dit, depuis le début du semestre, tu restes reconquévir dans ta bulle, oubliant le reste du monde.
- C'est le but de m'avenue près d'elle.
- Désolée d'avoir laissé paraître mon insociabilité ! Moi c'est Cathïde et toi ?
- MÜLLER pour vous servir.
- Maintenant qui fait le joli coeur ?Leurs paroles me laissaient perplexe, c'est vrai, depuis le début de ce semestre, je reste pliée à moi même, insociable, isolé, comme si, l'humanité m'était écoeurant... Et pourtant, dans mes habitudes, je suis plutôt animée, vivante, enthousiasme, drôle et vaseuse.
- Nous étions entrain d'aller à la cantine ! Tu voudrais nous accompagner ?
- Oui bien-sûrJe repliais mes cahiers entre eux, j'y ai passée toute ma journée à vouloir assimilé ses cours, mes rien à faire, c'était quasiment impossible... Alors soit, la vie ne tient qu'à un fil, alors autant en profiter aux maximum. Après tous nous ne sommes qu'à trois semaines de la rentrée scolaire.
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AMOUR LYCÉENS
Roman pour AdolescentsLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...