CHAPITRE 71

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" Qui sauve une vie, sauve le monde.."

La vie, est un souffle divin comme le prétendent d'autres, elle paraît aussi être un phénomène biologique explicable, donc le doute plane encore. Prendre une vie, serait stopper le déroulement des évènements, la fin des projets qui pourraient, développer le monde à son apogée. Car tout homme est appelé à accomplir quelques choses d'extraordinaire dans la société, d'après des dires. Qu'il soit le plus insignifiant être, ou, celui donc le terme significatif lui est requis, il est indispensable à la société.

L'interruption des cours pour le compte du premier semestre venait de s'achever. La reprise des cours s'était fait imminente pour le premier lundi. Comme toujours, je me vêtis de ma tenue scolaire et une chaussure fermée trônant sur mes pieds. Inlassablement ma coiffure scolaire qui s'étant de la naissance de mon cuir chevelu, vers son apogée. La petite classe que j'aborde depuis septembre, m'asphyxiais déjà, dès l'instant où, mon regard percutait le sien, immédiatement, la salle se voyait renouveller d'oxygène. J'avais mal, le voir me sourire, me détruits, le savoir me conseiller pour une personne, qui est lui me consumais. Comment l'avouer, pourquoi le faire part ? Va t'il me rejeter ? C'est très probable, il a madame, et ça façon d'être ne laisse pas entrevoir, qu'il pourrait une seule fois, faillir et embrassé une autre chaire qui n'est pas la sienne.

Je souhaite qu'il me regarde pas seulement avec des regards qui ne signifient qu'amitié, mais avec ceux qui réveillent de l'amour, de la passion, de la dévotion. Je veux être son péché charnel, son agonie du sexe, qu'il voit en moi, une femme, une vraie, pas une petite fille, à qui l'on souris bêtement pour l'épargner les réalités de la vie. Je suis mature, mon corps est déjà adapté à le recevoir, mon cœur occulte des battements incontrôlables à son insue. Ma peau se fige à son contact, mon sourire reprend vie, lorsqu'il daigne me sourire, mes émotions son éjection lorsqu'il atteint le seuil d'attention requis à me faire planner... Je t'aime, je n'ai qu'une seule envie, celle de te le dire, en fin, je me libérerai de ce fardeau qui me pèse le cœur et qui contamine peut à peu mes sentiments, les faisant passer de l'amitié à l'amour. Est-ce une réalité ? L'amitié entre deux personnes de sexe opposé ne serait à tout jamais qu'un simple mythe ?

- Tu es toujours entrain de le maté, à ce que je vois. Et moi qui croyais que tu flachais sur moi. Cath !
- Le cœur a ses raisons, que la raison en elle même ignore mon cher Müller.
- Tu lui as fait part ?
- Avant qu'il me regarde encore avec ses yeux d'amitié ?
- ( Siefried) Je savais que vous étiez entrain de tramé quelques choses de chelou.
- ( Müller ) Il y'a rien de chelou ici. Et puis qui t'a invité ?
- C'est bon, il est au courant. Je lui ai tous raconter.
- ( Siefried) Et oui, je suis son journal intime. Mais pourquoi tu ne m'aimes pas ?
- ( Müller) Simplement parceque tu n'es pas aussi charismatique que Yann.
- ( Siefried) Et toi tu l'aies ?
- ( Müller) Évidemment, ça ne se voir pas assez ?
- ( Siefried) J'ai bien peur que c'est fictive. Ta beauté n'est qu'une simple illusion d'optique. Pense à changer ton miroir pour avoir un véritable reflet de toi et la petite de troisième, elle est vraiment à déplorer.

Nous nous mettions à rire, à pleines dents, sans même se préoccuper du professeur en salle. Jusqu'à ce qu'il intervienne avec une voix, des plus agressive.

- Nous nous tuons à la tâche, pour que vous soyez des personnes respectable de demain, mais hélas, pour vous c'est un jeu, un simple jeu ? Mais où va t'on ? Une sous-chef de classe, celle qui devrait inclus les règles est la même personne qui organise un désordre sans paraître. Mademoiselle cathïde, celà me déçoit de vous. On dit de vous, être une bonne élève, assidue, respectueuses, celle sur qui, on peut toujours compter pour remettre les devoirs à l'heure et au jour dit... Mais ce que je vois de vous, est le contraire de ce qu'il paraît. Pour peine, vous allez me recopier dans un cahier de trente deux pages, et avec des couleurs d'encre divers, je ne profanerai plus le désordre au cours de mathématiques. Vous avez jusqu'à la prochaine entrevue pour me remettre votre cahier.

Et comme cela ne suffisait pas, il  ajouta que je devrais corriger chacun des exercices trônant sur ce chapitre. Je sais très bien, que ceci n'est pas une punition, plutôt un honneur, en corrigeant chacun des exercices de ce chapitre, j'aurais la faculté de le maîtriser et je serais vraiment en mesure de dire que, suis douée. Mais hélas, j'ai été distraite toutes la durée du cours. Pensant d'abord à Yann et la façon par laquelle je pourrais le fait voir en moi ce qu'il visionne sur cette fille, par la suite, le détour avec mes potes et en fin Ulrich et à sa trahison avec cette Mireille... Et miraculeusement, une idée me vient à l'esprit. Je n'avais pas encore savourer mon cadeau de Noël, il serait tant, ma petite Mireille, tu vas bientôt être prise dans un torrent incontournable de vent. J'espère tu t'es apprêtée, car, je suis vraiment contrariée que tu puisses touché à mon gain. Ma chose et mon homme.

Malgré tout, il m'appartient, il est miens, et je suis sa première et lui mon premier et juste à cette évocation, je suis très jalouse qu'une autre se saisisse aussi facilement de lui, alors que moi, j'ai galéré à l'avoir

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