DÉPRESSION

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" C'est dans l'absence que l'on mesure l'importance de ta présence.... " Pour ma mère

Après mon arrivée précipiter et harmonieuse chez ma tante Saturine. J'étais vraiment contente, qu'elle n'accepte, afin d'alléger la charge de ma mère, car cette dernière de trente un ans s'occupait seule de quatre enfants, elle était à la fois le père et la mère, l'homme et la femme, l'éducatrice et l'éléveuse. Ma mère était un homme, un vrai homme, elle avait cette force, ce courage, cette détermination, cette ambiguïté, ce devoir, une vraie mère poule. Ma mère est plus qu'une mère, pour dire vrai elle est devenue une vraie divinité à mes yeux, elle surpasse de loin ce qu'une femme normal devrait faire, c'est vraiment une femme diamantaire.

Mes débuts chez ma tante était chargée d'émotions, je fesais tout ce qu'elle m'ordonnait de faire et cela sans discuter.
À cet époque, je venais de faire mes débuts au Cour Élémentaire deux, en abrégé CE2. J'avais été inscrite dans une école non loin de la maison, c'était LE COMPLEXE SCOLAIRE LES MADAS. ils étaient les deuxièmes Lieder du département en terme scolaire et de formation d'élèves pour les études secondaires. La pension scolaire était très abordable, même si c'était un complexe privé, elle privilégiait quand même les personnes aux bats de l'échelle.

Mon oncle était un homme très occupé, donc il était presque jamais à la maison, il pouvait passer les deux à trois semaines hors de la ville, car pour lui son travail était le plus important, car celà lui allait le permettre d'assurer un meilleur avenir à sa progéniture, à sa femme, sa famille et pour lui. Après tout un homme, un vrai, c'est celui qui sait se sacrifier pour les siens.

De mon côté, je vivais un enfer, j'étais comme au purgatoire, ma vie avait basculé du jour au lendemain. Une semaine après mon arrivée, ma tante avait totalement changée, elle était quittée de cette femme pleine de sourire,de tendresse, de tolérance, d'amour, à une femme méconnaissable. Elle était devenue stricte, intolérable, très avares, insensible, une vraie démon. Elle me traitait comme ça servante, je devais me lever très tôt, parfois vers les deux à une heure du matin, pour pouvoir faire la lessive, la Versailles, la cuisine, apprêter ses enfants, leurs petits déjeuners. Aller les accompagner à leurs écoles respectives, revenir à la maison, faire les lits, servire ma tante, et après toutes cette paperasse, je pouvais songé à aller m'apprêtée pour l'école, et elle ne pensait même pas à me donner de quoi pouvoir me remplir le ventre pendant les pauses déjeuner au campus scolaire.

Et cela je l'encaissais, c'est vrai que c'était dur, mais bon, ma mère devait trouver un nouveau endroit où nous devons vivre, chacun devaient faire un sacrifice, et mon sacrifice était celui çi.

Je n'avais pas le droit de m'asseoir sur l'un des canapés de la maison, elle disait que " je n'étais pas digne, ni même que je n'étais pas de la même classe qu'eux, donc je devais me contenter du sol, après tout, je n'avais jamais vécu dans une maison en dur, les planches étaient jusqu'à la les seules demeures que je connaissais " ma tante n'avais pas de cœur, elle était allée jusqu'à n'interdit l'accès sur le lit, je devais dormir à mains le sol, même la cuisine que je faisais, je n'avais pas le droit de me servir à manger à moins qu'elle m'en donne l'ordre, et c'est ordre, je pouvais bien l'attente à vain !

Je passais mes nuits à travailler au compte de ma tante et celà sans rémunération, et mes journées à l'école, à dormir. Quel ironie du sort, cela même, la même femme qui venait très souvent à la maison et je voyais en elle un ange, une femme parfaite, très parfaite même pour mon oncle, était maintenant celà qui me tuait à petit feu.

Je passais mes journées et mes soirées à pleurer, je regrettais pourquoi j'avais écrit cette lettre, je regrettais mes décisions trop pressées, je voulais fugée ! Mais pour aller où ? Je ne connaissais personne, personne dans cette localité, et de ce qui était de ma mère, une fois, je l'avais fait un appel et avait oublié d'effacer le contenu des appels, cette soirée là, j'avais faillit frôlé la mort...

AMOUR LYCÉENS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant