" Est-ce que chaque homme est un animal ?..."
La connaissance d'une personne passe par plusieurs processus, qui peut être l'amitié, le quotidien de tous les jours. Mais cette connaissance s'avère être abstrait, au vue du caractère ondoyant de l'homme. L'homme est un animal qui s'adapte à un train de vie qui lui paraît favorable, Celui-ci ne juge bon, catégoriquement que, ce qui lui est util. Il se considère divinité, au vue de ses récentes découvertes et transformations. Or, il n'est que fait de chaire et d'ossements. L'homme, n'est qu'en réalité un propre mythe pour lui-même. Son raisonnement et sa faculté d'adaptation sont des faits qui réclament une lanterne et un point d'honneur, à fin d'être par lui-même élucidé.
Cette fille donc je faisais passer pour mon deux, était en réalité la première sur la marche du podium. Elle a réussi à me démontrer que ma maîtrise de la manipulation laissait à désirer. Je n'avais plus besoin d'aucun indice, cette fille valait la peine d'être détruite, elle s'est fraillée une zone dans mon subconscient, elle s'y est installée et elle a commencée à jouer avec mes neurones, au point de me faire croire que j'étais celle qui manipulait le pantin or, j'étais le pantin et elle, la marionnettiste. Pour une énième fois, je relisais le mail, dans un souhait de trouver une faille, mais aucune, elle avait jouée carte sur table, et comme au poker, elle devait encaisser les billets, si jamais mon jeu ne serait favorable. Sauf que, les billets dans cette partie, c'est Ulrich, et lui, c'est mon gain, il m'appartient et je ne laisserai personne l'avoir, au cas contraire, ce sera une nulleté des deux camps.
- Tu t'avoue déjà vaincu ? Dommage Cath, je croyais pouvoir m'amuser encore un cour instant avec toi, faut croire que les rumeurs sur ta personne sont juste des Balivernes. Bon, étant donnée que tu es dans l'incapacité de faire un second round, on n'a qu'à dire que j'ai gagnée et maintenant, je ne veux plus jamais te voir traîné autour de lui, ne serait dans un périmètre de cent mètres. Tu l'avais mais tu n'as pas sûr être digne de lui, encore moins le conservé. Tu as eu ta chance et tu l'as inlassablement laisser passer. Maintenant ne reviens plus.
- Tu n'as aucun droit sur lui, encore moins, celui de me donner des ordres.
- Tu crois ça ? Je suis plus douée que toi, sur tous les domaines. Faudrait qu'un jour, tu vois par tes propres yeux la façon qu'il a de me dévorer du regard, du toucher. Comme ça, tu comprendras qu'il est miens. Et que toi, tu es du passé et le passé, on l'oublie facilement. Très facilement.Pour qui elle se prenait cette fille, pourquoi je me retiens de la mettre à sa place ? Est-ce la réaction d'Ulrich que je redoute ? Non, ça ne peut pas être ça ! Alors quoi ? Serais-ce sa supériorité à moi qui me cloue le becque ? Elle paraît si intouchables, mais aucun être humain n'est intouchable, pas même le président de la république. Il y a et aura toujours une faille, elle commettra sûrement une erreur et je pourrais me saisir de cet occasion pour la mettre à terre, une seule fois pour toutes. Actuellement, je devrais peut-être accepter ma défaite... Non ! Cathïde ne perds jamais, je ne lui donnerais jamais cet honneur, elle ne mérite pas que je me plie ainsi, je ne l'a laisserais jamais me dominer.
- Bon, assez jouer avec toi, j'ai d'autre chatons à fouetter.
Je ne répondais rien à sa réplique. Je laissais ma masse corporelle se tomber en arrière, mon corps fût rattraper par les mousses du canapé, malgré la petite douleur, comparer à celle que cette Mireille venait de m'attribuer, elle était agréable et supportable. Qu'est-ce qu'Ulrich pouvait bien la trouver ? S'agit-il peut-être de ses atouts corporelles ? Je ne pense pas, ou serais-ce son côté Bad ? Et pourtant je suis Bad, mauvaise. Je n'arrêtais pas de me torturer l'esprit avec ses questions absurdes et idiotes. Et soudainement, je me demandais pourquoi me torturer le schisme alors que je pourrais directement poser la question au dû. Je sors de la page conversation avec Mireille et défile l'écran, jusqu'à celle d'Ulrich. J'entame l'écriture d'un bonsoir, très rapide et transfert le mail. Sans qu'il ne me fasses attendre, son mail s'affiche à son tour sur mon écran.
- Oui bonsoir Cath.
- Alors comme ça, tu m'as trompé. Tu as crû que je n'allais rien captée. Tu parles avec une certaine Mireille, mais moi je m'appelle ange !
- D'ou tu sors ses conneries de tromperies ? Je ne suis pas d'humeur pour répondre à tes âneries.
- Tu ne nie rien ! Tu l'as connais, et tu n'as même pas honte.
- Honte de quoi ? Dit-moi pourquoi je devrais avoir honte ? Et puis comment tu connais son existence ?
- Tu croyais pouvoir me la caché plus longtemps ? Rappel toi que j'ai mes sources !
- En parlant de tes sources, se ne serais pas par hasard, aller jouer de tes atouts de charmes à mon meilleur ami ? Je ne sais pas comment j'arrive à supporter celle que tu es devenue. Tu te prélasses bien avec mes potins, mais quand je voudrais à mon tour, ne serais-ce qu'un peu d'attention venant de toi, ma petite amie, tu te goure et tu me sors le système, je ne suis pas encore prête. Alors tu penses bien, que je me tue à t'avoir, mais toi tu te tuais à avoir mes potes. Je suis allé voir ailleurs, c'est simple. On aurait pû profiter de chaque seconde, mais tu as dit non. Actuellement ça te fait l'effet du bombe quand je suis allé voir une autre. Maintenant tu te ronges les ongles, tu vas juste te contenter de getter mes stories.Alors, tu crois pouvoir t'en sortir de cette façon, personnes ne m'envoie de tel balle et n'en reçoit pas en son tour. Non personne. Tu vas me payer, elle paiera à son tour. Vous deux, vous allez me le payer très chère...
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AMOUR LYCÉENS
Teen FictionLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...