CHAPITRE 72

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" Un mensonge ne l'ai plus lorsqu'il est considéré comme véridique..."

Cette journée ne pouvait pas plus être pire, il fallait que je tombe sur ce dépravé de Miguel. Je restais indifférente à ses avances comme toujours, il arrivera à se lasser, quant il verra que je n'ai rien à foudre de lui... Mais celà fait déjà un ans que j'ignore ses avances, mais il percevait, comme s'il croyais que je pourrais, qu'il pourrait avoir une réalité où, je le verrais non pas comme un adolescent impulsif mais un homme. Une véritable personne réfléchis qui agit en sachant les conséquences. Bien que, il y'a des journées que j'ai vaguement l'impression d'avoir déjà vécue, d'avoir dis et redis avec exactitude les même phrases, avoir articulée de la même façon mes mots, d'avoir agit exactement... Vivons-nous dans une boucle temporelle ? Où serais-ce un début de follie ?

- Eh, Cath !

Je me retourne et marque un demi tour sur moi-même, tombant face à lui, il est à noter que sa grande taille ma toujours fait frissonner, sa peau noir entré en parfaite résonnance avec la mienne, son aire idiot arrive toujours à me faire lâcher des sourires, son corps môle pourrait bien devenir celui d'une divinité grecque avec un travail acharné et répété. Peut être dans d'autres circonstances tu m'aurais fait de l'effet, c'est une certitude. Mais hélas, il te faut encore du chemin.

- Qu'est-ce que tu veux ? Tu n'aies pas fatigué de me courir après ? Tu ne te lasses jamais ?
- As-tu déjà vue un homme se lasser quant il souhaite obtenir une chose ? Et surtout quand celle-ci l'esquive ou même paraît résisté. Alors elle devient son obsession, car personne ne veut s'avouer vaincus, tous veulent être vainqueurs, marché en hauteur, mais si nous marchons tous en hauteur, que deviendra le monde ? Il faut équilibré les balances, il doit avoir les faibles et les forts. Les riches et les pauvres. Les employeurs et les employés, c'est le système de vie.
- Tu es moins irréfléchi que tu paraît être.
- Il est conseillé de demeurer faible à la vue de tous, et de brandis ton bras pour prendre ce qu'ils n'arrivent pas à voir à cause de leurs supériorité. Alors tu veux bien sortir avec moi ?
- C'est vraie qu'il ne vaut jamais croire à ce que l'on voit. Il y'a quelques secondes, je tombais littéralement sur le charme de tes mots, mais bon, on ne change pas un homme du jour au lendemain, apprends à draguer et reviens me voir, quand tu penseras avoir Percé le rythme et j'en jugerais pas moi même. Mais pour l'heure tu es tellement médiocre.

En le tapotant le torse, j'articulais et dès mon spich terminé, et toujours sous son regard, je pris congé de lui, je l'entendais me profané des injures, soit disant pour qui je me prenais, que je joue de mon charme, alors qu'ils existent des centaines de filles qui aimeraient l'avoir... Mais moi, personnellement je ne lui rien demandé, le seul fautif dans l'histoire, c'est son cœur, au lieu de pomper du sang et de le diffuser dans l'ensemble du corps humain, il se détourne pour s'attacher à une femme. Alors qu'elle est plus qu'un serpent. Peut être sans le sexe féminin le monde irait loin, sans elles et les guerres qu'elles engendrent, les hommes auraient déjà sûrs compenser la destruction de la couche d'ozone, auront-ils stopper le pillages du sous-sol qui servent à réaliser des bijoux pour son effigie ? Hélas, elles sont nombreuses dans le monde et ils sont peu, il existera toujours se déphasage.

Mon chemin pris fin lorsque j'arrivais chez-nous. J'allais dans ma chambre et dévêtir mes vêtements, je passe ma chemise sous un cintre et l'accroche à son emplacement habituel, puis autour de ma jupe, je la laisse descendre jusqu'au sol et la récupérer, puis la passe sous un autre cintre, que je place dans l' armoire. Au tour de mon soutient gorge, personnellement je ne comprends pas comment des femmes font pour demeurer toutes une journée avec cet objet de tortures sur elles, c'est pénible. Nos ailleurs n'en possédaient pas, et pourtant, leurs poitrines étaient tous de même généreusement et ne retombaient presque jamais... Serais-ce la cause de l'alimentation ? De la boisson ? Du climat ?... Je vêtis un chiot rouge vif et un demambré gris. Je récupère mon téléphone et mon plat de pâtes, me mets à me nourris et à défiler sur l'un des réseaux sociaux le plus incontournable, Facebook.

Les réseaux ont tendance à nous influencé sur notre rythme de vie, d'alimentation, dîtes notre personnalité et nos habitudes. De ma part, j'avais une toute autre identité que celle que j'affiche au lycée, et celle que je fais don à mes parents et à notre entourage. Je suis bipolaire, mais ma bipolarité, ne vient pas d'un éventuel événement, non, je le suis, car c'est mon identité. Ce n'est pas un traumatisme, simplement la vie que j'ai décidé de menée, celle qui me correspond le mieux. C'est lorsque je tombe sur une publication d'Ulrich, une photo, sur laquelle il pose avec une fille, dont il a eu à flouter le visage, et mise en description, on n'affiche pas très souvent la titulaire simplement parceque l'on ne veut pas se la faire volé. Mais nos passe temps, sont misent en statut et publié très souvent, car ils n'ont rien d'important. Je faillis m'étouffer à cette lecture. Alors c'est vraie, j'essayais de me persuader du contraire, mais c'est la triste vérité. Ce corps avec une rondeurs moins prononcé n'est pas le miens, cette poitrine naissance avec gracieuté n'est pas la mienne, elle ne peut qu'appartenir à une seule et unique personnalité : Mireille.

Je quitte de juste l'application et plonge sur mes contacts, je tape avec acharnement sur la barre de recherche son prénom et son contact s'affiche aussitôt. Là, je n'ai plus aucune excitation, je saisis un salut, avec un emojis souriant, alors que, la rage déforme les traits de mon visage, qui est affectueusement souriant. Elle ne mérite pas que je joue la comédie pour elle !

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