CHAPITRE 76

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" Les secrets sont les poissons les plus nocifs..."

La création de l'humanité relève d'un secret, celle de la mentalité de l'homme, encore plus. Le monde qui nous entoure, n'est que secret et confinement. Sans ce coffre fort qui bloque l'homme, peut-être, aurions-nous atteint l'intouchable...

Ulrich venait de me livrer le poignard qui me fallait, afin de remettre cette petite antiche de Mireille sur les rails de la peur. Elle devrait me craindre, voir en moi, son plus grand cauchemar. Au lit de ça, elle s'amusait avec moi, comme si je n'étais qu'une rediculise et minable flamme de rien du tout. Hors, c'est la flamme qui brûle et non le brasier tout entier. Je me lève du canapé donc mon fessier y avait déjà passé des heures, et renouvelle ma posture. J'opte pour une assise plus prononcée et avec la plus grande confiance en moi, je saisis un message, sur la page mails de Mireille.

- Aurais-tu encore du temps à m'accorder ?

Elle ne tarda pas à me répondre. Sa réponse était pleinement d'assurance. Dans sa tête, la victoire y était déjà. Je pouvais voir à travers son message, la luminosité brillante et pétillante de l'éclat de ses rétines. Ils brillaient de mille feux. Elle croyait m'avoir abattu, que je revenais simplement l'écrire, pour ne pas perdre la face. J'aime cet état d'âme sur chacune de mes victimes, elles croient toutes m'avoir vaincus, mais il ne faut jamais vendre la peau de l'ours sans l'avoir tué au préalable. Elles avaient toutes commises cette erreur. Elles avaient criées victoire trop vite. Je suis comme un phénix, à chaque fois que je suis meurtri, je renaîs toujours de mes cendres. Et celles-ci s'avère être plus brûlantes, qu'un four préchauffé à plus de mille degrés.

- Le petit chaton, n'en a pas mare de se faire laminé ? Chercherait-elle par hasard, les bras de sa maman ?
- Mireille... Mireille ! Je n'ai jamais vue une fille qui m'a donnée autant du fil à retordre. Tu devrais t'estimer heureuse. Vraiment bravo.
- Alors comme ça, tu ne t'avoue pas vaincu, ma chère cathïde.
- Non, j'aimerais bien voir, jusqu'où tu peux aller. Fait moi voir de quoi tu es capable.
- J'aurais bien voulu, mais tu es tellement faible que tu te caches derrière un écran. Tu n'es pas réellement ce qu'on pourraient appeler une louve. Tu vois, les louves ont tendance à montrer les crocs dès lors qu'une autre femelle s'approche de son loup. C'est vrai, tu montres les crocs, mais ils ne sont pas aiguisées. Je ne vois que des.... Tu vois. Il y'a aucun terme approprié pour décrire avec exactitude ce que tu montres. À oui, le néant.
- Au moins ce moi, je ne me fais pas embrasser langoureusement pour un jeux.
- Quoi ? Mais d'où sors-tu ça ?
- Ça t'étonne ? Je croyais qu'Ulrich t'avait embrassé de sa propre initiative. Hors, hélas, c'était juste pour remplir une stupide conditions.
- Qui te l'as dit ?
- Je vais te donner un petit conseil, ne vends jamais ton corps, pour attribuer une quelconque douleur à une autre personne. Sache que cette personne ne souffrira pas longtemps. Mais toi, en revanche, tu souffriras mentalement, physiquement et, plus personne n'aura de respect pour toi. Sur ceux, tâche de te trouver un mec, et laisse Ulrich tranquille. C'est ma propriété.
- Tu es singlée comme fille. Qu'est-ce qu'il te trouve ?
- Ce qu'il ne verra jamais en toi. Avant que je n'oublie, c'est vraie, je suis une fole. Ne soit pas celle sur qui, je déchaîne ma folie. Je pourrais facilement te tué et faire passer ça pour un instant de folie. Surveil bien tes arrière ma petite Mireille. En passant tu as un très beau prénom.

Visiblement mes menasses à l'aveuglette l'avait fait de l'effet. Dès l'envoie et la lecture de mon message, instantanément, elle me bloqua et sûrement, aurait-elle signaler mon numéro. Du gâchis, et dire que j'aurais bien pû m'amuser encore avec, un cour instant. Je me mise sur le coup, à effectuer ma punitions qui m'avait été attribué par mon professeur principal. Au bout d'une certaine heure, je me levais et constata que la nuit avait eu le temps de bien se lever, vue l'éclat rayonnante de la lune. Je me saisir de mon téléphone, et aperçois qu'il est sept heures de la nuit. Et une notification de message, venant de kiff.

- Bonsoir Cath. J'espère tu n'es pas occupé.
- Non. Pourquoi ?
- J'ai besoin de te voir. C'est important.
- Tu as de la chance, j'ai bien envie de respirer une autre bouffée d'oxygène que celle qui proviennent de chez-moi.
- À notre lieu habituel ?
- Trop loin. Tu sais que je déteste marché en soirée, surtout quand je suis seule.
- J'avais oublié ce petit détail. Disons dans une vingtaine de minutes, à l'école public ?
- Excellent, c'est à deux pas de la maison.

Je referme mes cahiers, et va dans ma chambre, échanger de vêtement. J'opte pour une robe pagne, qui se termine à la naissance de mes cuisses, de courte manches. Vue la chaleur régnante au mois de janvier. Je sors de la maison, sans prévenir où j'allais. Après tout, maman est déjà sous l'emprise de la fatigue, et mes petits frères ne me posent pas de questions. J'arrive à notre lieu de rencontre, et sans que je m'y attende, deux long bras, viennent m'en lassé le tour de taille et m'entraîne dans l'obscurité régnante de ce lieux.

- Tu m'as fait peur.
- Désolé.
- D'accord. Me voici, qu'est-ce qui te tracasse ?
- En fait, pendant les fêtes de Noël, tu as bien constater l'effet que je n'étais pas trop l'ambiance ?
- Oui, mais où tu veux en venir ?
- J'ai eu de sérieux problème avec mon grand frère...
- T'es problèmes familiaux ne me regardent en rien. Je croyais que c'était un truc qui se rapportait directement ou indirectement à moi. Mais là, ça ne me regarde pas. Si ce n'est que ça. Je vais m'en aller.

Je tournais talons, et à moins de temps qu'il faut à un oiseau de battre l'aile, il m'avait rattrapper et fit vivelloter, au point d'être collé à son torse. C'est à cet instant que je me rendis compte qu'il était en grande excitations. Je pouvais ressentir son sexe durcir, au vue de notre proximité. Nos visages étaient parfaitement proche, la distance entre nos regards et nos lèvre n'étaient que de simples nanomètres. Je pouvais ressentir son souffle chaud venir finis sa lancée sur mon front. Il orientait doucement, mais sûrement sa tête, en posture d'embrassage. Je ne disais rien, je ne posais aucun mouvement qui se voulait résistant. Au contraire même, j'adherais, j'étais pour, pour ce premier baisers. Mon tout premier. J'avais pourtant crû et espérer que cela me vienne d'Ulrich. Mais les circonstances actuelles, ne voulait dire qu'une seule chose. J'avais choisi kiff . Ses lèvres viennent tout doucement percutées les miennes, au point de les écrasées par la suite. Il commença presque à me manger la bouche, je restais comme au début. Je n'exerce aucune pression. Je ne m'en donne pas à cet échange. Je ne ressens rien de nouveau, pas même un frisson. Rien. Absolument rien. Aucune émotion, aucun plaisir, ni même de passion ou de désire. Une seule envie le repousser, ce que je fus faire.

- Désolé Cath. Je n'aurais pas dû le faire.
-...

Je ne répondais rien. Je m'en allais tout simplement. Sans aucun mot. Sans aucune articulations. J'arrivais à la maison dans cet même état. Je survole le salon et escales dans ma chambre. Je tombe au lit et ferme les yeux....

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