À l'encre de l'amitié, l'amour frappe à ta porte...
L'évaluation du dit probatoire officiel s'achève ce samedi, avec l'exécution de l'épreuve facultatif, qui peut être, le dessin, l'épreuve travail manuel écrit.
Il ne reste plus qu'une seule heures, pour achever son épreuve.
Nos élèves ont été réparti sur une seule classe, nous étions la seule première C du lycée, et sommes en nombre réduit.
Pour nous, s'est juste un simple examen de passage.
Lorsque la sonnerie retentit son dernier sifflement, nous nous levons et laissons circuler entre les bancs les professeurs qui récupèrent nos feuilles d'examens.
Des ceux-ci terminé, nous sommes libres.
L'année scolaire est achevée.
Au fil du temps, nous avons toujours eux, cette habitude de nous agglutinés en un seul espace, à fin de débattre sur les exercices proposés sur les diverses épreuves qui nous ont été fournis.
Mais, cette énième agglutination, n'est pas en exergue sur un débat de feuilles, plutôt sur nos passe temps, que chacun va effectuer en attendant la proclamation des résultats.
Je ne me suis pas levée de mon siège, j'y suis toujours, leurs regardant au bout de la classe débattre, tout en souriant.
Mon attention première est porté sur Yann.
La probabilité qu'il aille faire ses études de Terminale à Yaoundé est grande, que son désire d'aller retrouver sa bien-aimée peut entaché son jugement de terminer, où, il a commencé.
Je l'admire sans dire aucun mots, je contemple avec dévotion et envie sa beauté, le charme de ses lèvres à chaque fois, qu'elles articulent, je me vois les prélasser dans les miennes, les entrecoupées dans un choc de passion et de désir commun.
Je ne peux plus supporter être relayée au simple rang d'amis.
Je veux plus de lui que de l'amitié, j'aspire à un futur amour communément partager entre nous, je suis tellement submergée par mes pensées adoratrices sur sa personne, que je n'ai pas entendu qu'une personne souffrait de la prononciation répétitif de mon prénom, au point de claquer entre ses doigts pour me faire revenir à la réalité et à donner de l'importance à sa présence.
- Bon sens Cathïde, avoue-le tes sentiments et passe à autre chose, c'est exaspérant de te voir bavé sur lui de la sorte.
- Je n'ai pas envie de gâcher notre amitié, par le simple fait que je n'ai pas pû m'en tenir à l'amour amical qu'il me porte.
- Si tu n l'avoue pas maintenant, tu souffriras éternellement de ne l'avoir dit quant il se faisait encore temps.
Visiblement Siefried a raison, si je l'avoue maintenant , je ne perdrais rien, au contraire, je gagnerais tout en étant fixée sur ses sentiments envers moi, si lui aussi il ressent les mêmes émotions en mon égard, ou simplement il ne voit en moi qu'une simple amie.
Ni plus, ni moins.
Mais, au plus profond de moi, je sais pertinemment, dans la mesure d'une réponse non favorable, je ne pourrais plus aimé.
J'ai aimée au fil du temps, au point d'en perdre mes repères, et vue l'état de mon statut émotionnel, je pourrais n'avoir plus, la faculté d'aimer sans rien demander en retour, je me propulserais dans le monde matérialiste, où, l'amour est une morale d'intérêt.
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AMOUR LYCÉENS
Teen FictionLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...