les études, les rencontres, les déceptions, l'échec, le moralisme, la réussite ! C'est en quelque sorte mon quotidien..
Nous sommes arrivées au lycée et avec le sourire aux lèvres.Restaus-je bouleverser, de leurs amitiés, qu'elle était-ce cette amitié entre ces deux personnages !?
Serait-il possible qu'ils font croire à l'amitié alors qu'ils sont plus ?
Dit-on relation discrète, relation parfaite, appliquent-ils se principe ?
Même si les paroles de Nadie résonnent dans ma tête, essayant de dissuader de penser à une quelconque liaison, de laisser leurs proximité sous un doute cartésien, mais impossible.
Il m'est impossible d'altérer la voix dans ma tête, je veux l'entendre de sa bouche ou de la sienne, je veux qu'elle me témoigne, droit dans les yeux, qu'entre lui et elle, il n'existe rien, qu'il n'y a jamais eu rien et qu'il y'aura jamais rien.
J'ai besoin de cette vérité, j'ai besoin de leurs entendre me le dire, à fin de pouvoir retrouver cette paix intérieure...
- Salut les filles.
Cette salutation à le mérite de m'arracher de mes pensées et je découvre une Fabiola souriante et radieuse devant nous.
- Bonjour. Dis-je à son encontre
- Bonjour ma poupée, intervient à son tour Nadie
- ça va les filles ? Poursuit-elle en nous entraînant sur la véranda
Nous suivons le mouvement et s'installons sur la véranda de notre bâtiment.
Occuper à cogiter sur les déviances de mon cœur, je laisse Fabiola et Nadie se mettre aux parfums des divers potins du lycée.
À un moment donné, je levais la tête vers le ciel, avant de le rediriger droit devant moi, pour apercevoir, celle qui hante mon esprit depuis peu, celle qui est dès à présent, mon obsession secondaire.
Son teint ébène brille sous les rayons lumineuse, elle est lumineuse, les rayons réfracteurs transcrivent la douceur de sa peau, son corps épouse parfaitement sa tenue.
Sa jupe droite bleue bien repassée avec plusieurs plies très beau comme décoration, la chemise sur-mesure, la tête à chevelure minimes, un regard d'ange, un sourire toujours accroché aux lèvres, les yeux d'un marron foncé, les sourcils claies et lise .
Un sac de couleur noir à dos elle est vraiment belle, ça ne m'étonne pas qu'elle pourrait être la petite amie d'Ulrich.
Surtout qu'un mec de sa tranche, ne s'entiche pas de n'importe quoi, elle a tout, où il faut.
Face à moi, c'est indéniable que j'aurais voté pour qu'elle soit reine, si une élection était lieux d'être.
Sa beauté est d'un fait diabolique. Je l'imagine dans dix ans, elle fera tourner la tête des hommes, sans exception.
Mon corps s'exécute, je me laisse dicter par ce sentiment d'infériorité, par cette jalousie gourmande, et cette usure qui m'anime, car j'aimerais être elle, j'aimerais être ce qu'elle est.
Mon mouvement m'oblige à me rapprocher d'elle, et consciemment je la coince avec mon épaule droite.
- Excuses moi. Dis-je en me retrouvant face à elle
- Non c'est rien. Me dit-elle d'une petite voix
Sa voix, aussi douce qu'une mélodie ensorcelle mes oreilles, je suis émerveillée devant une telle souplesse, une telle délicatesse, une telle beauté, un parfum de reine, et ses mots se propulsent en moi comme des balles en plein cœur.
Belle extérieurement, belle intérieurement, un alliage parfait et difficile à trouver et pourtant, ce diamant rare et brute se trouve face à moi et moi, simple caoutchouc de pacotille, je veux rivaliser avec des millions ?
- Attend ! Tu dois être Ange ! Me retient-elle lorsque je voulais m'éclipser
- Oui c'est moi. Dis-je d'une petite voix à mon tour
Tragédie d'intimidation, à l'eau.
- J'ai bien vu comment tu me snobais hier ! J'espère que je n'ai rien fait pour mériter ça.
Même pas capable d'être discrète quand tu jalouse une personne.
-
Non... Excuse si jamais je t'ai paru si ... Peut-être étais-tu sur mon champ visuel. Mais de là à dire que je te snobais ! Non. Essais-je de me justifier
Tu t'enfonces ma jolie
- Ça me rassure. En passant je m'appelle Marie.
- Je sais, Nadie m'a déjà fait part ...
- Je vois, elle ne perds pas de temps. Tu viens ? On va s'asseoir sur mon banc.
- Je te suis Marie.
Vient-elle de m'accorder de l'importance ?
Ne sait-elle pas qu'en guerre, c'est pour la guerre ?
Qu'il y'a pas d'amis sur un champ de bataille ?
Qu'elle ne doit se fier à personne ?
Qu'elle innocence, je la plein. Elle n'est pas si ... Comme mon esprit le pensait.
Ça m'apprendra à me fier à cette version de moi.
Elle nous entraînent sur son banc et à peine avons-nous prise place, qu'une discussion s'en suit.
Les rires et les sourires complices, discrets, fluidités de nos âmes, complicités, nous sommes complémentaires.
L'atmosphère est pleine, je viens de faire de ma rivale ma meilleure amie.
Ça été le plus grand soulagement de ma vie, lorsqu'elle articula mots pour mots
- Ulrich et moi ? Non mais tu plaisantes, jamais. C'est juste un amis et ça restera ainsi, après je dis ça je ne te dis rien, j'ai bien remarqué la façon dont il avait de te dévorer du regard, c'est sûr à mille pourcent que tu l'interesse et à voir ta réaction, y'a un million de chance que toi aussi, il ne te laisse pas indifférent, alors avoue petite coquine, est-ce que Ulrich te plaît ?
Bien-sûr, je lui avais tout compter concernant mes ressentis, les sensations qui s'accompagnent avec et visiblement, elle était ravie pour moi.
Évidemment mon cœur s'apaise, lorsqu'enfin je suis certaine que ni elle, ni Nadie ne le veulent.
Alors il ne reste plus qu'à moi de faire mes preuves, de m'affirmer et de démontrer que la fin du jeu c'est nous deux .
Notre conversation pris fin par l'entrée du professeur de Mathématiques.
Ne voulant pas quitter mon amie de sitôt, Ulrich et moi avons alterné de place, je demeure sur son banc et lui sur le mien.
Le cour se dissipe lentement sous nos oreilles ébahi, nous étudions les divisions euclidiennes, un cour banale que je ne vois absolument pas le but.
Tout le monde d'après moi sais diviser, à quoi bon refaire des pré-requis ? Bien-sûr la répétition reste la mère des sciences, mais à trop répété on finit par atteindre un automatisme et sortie de cette boucle devient un déluge sans nom.
Mais bon, vaut mieux s'accommoder au gouvernement.
À un niveau du cours, je me suis proposée pour la résolution de plusieurs exercices d'applications, démontrant ainsi à Ulrich, que malgré qu'il soit mon fruit défendus, je suis tout de même là pour avoir la première place, car j'aime être au dessus du monde jamais le contraire .
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AMOUR LYCÉENS
Genç KurguLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...