CHAPITRE 55

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" La vie ne tient qu'à un fil... "

Dans le bêcher lycéens, contenant un solvant de tout nouveau lycéens fraîchement sorti du primaire, y incorporer quelques centaines de vétérans lycéens comprenant notamment des bad boys, et bad girls deux substances dont, les contenus sont très contagieux. Homogénéiser le mélange à l'aide des agitations répétées et continues de cette nouvelle génération. La solution obtenue est une génération d'adolescent hâtif. Nôtres abruptement nous poussent à vouloir excédés, même si la témérité que nous possédons n'est encore qu'illusoire. Nous aspirons au delà de l'imagination. Pourquoi ? Simplement parce-que notre jeunesse nous aveugle. On croit à son  éternité, à sa fraîcheur, à sa rayonnante lumière de jeunesse... Oubliant que celle-ci s'évapore à temps plein. Alors pourquoi se précipiter ? Nous demanderais-je  ! Nous sommes jeunes, et en tant que t'elle, j'ai le droit, tu, il, nous, vous auront toujours le droit...

Comme d'habitude, mon quotidien périodique se répétaient. Mon parcours de cinq cents mètres pour le lycée, ma tenue vestimentaire toujours la même qui ne daignait changer, l'élan de mon visage qui affichait toujours de la déception, du mépris envers ma propre personne, les tentations carrestials de Pharel qui se manifestaient régulièrement oubliant le lieu, les regards oppresseurs de mes camarades de banc, les discriminations faites à nos égards mutuelles, les corruptions de ma personne, les vandalismes... Étaient mon quotidien . Je retrouvais toujours les même personnes, les même hypocrisies que je me faisais don...

- Ange, il faut qu'on parle. Garder le silence serait nuit à mes principes.

Nadie avait beaucoup de qualités, tous comme des défauts qui s'accompagnent. Mais celle-ci était l'une des qualités qui m'attire vers elle. Elle arrive à exprimer ses sentiments, à dire ce qu'elle pense quitte à te faire mordre les doigts. Cette faculté qu'elle possède à s'exprimer sans jamais se réorienter encore moins s'y attarder me rendais dingue d'elle. J'aspire à être son reflet...

- Parlons ! Qu'est-ce qui te déplaît ?
- Entre Pharel et toi. Qu'a t'il ?
- Rien, absolument rien !
- Comment peux-tu dire cela ? J'ai remarquée la façon avec laquelle il te dévore du regard, ça séduction envers toi, ses élans de brutalités qui paraissent te propulsé au delà de l'imagination... Son attention, ses attitudes a ta vue, et tout ceci, pour toi, c'est rien ? Dis-tu ?
- Je ne nie absolument rien, c'est vrai que sa brutalité envers moi, peux paraître insensé et démesuré. Mais je ne ressens absolument rien pour lui. Il est juste un passe temps pour moi, je finirais bien par me lasser de lui et trouverais un autre jouet avec lequel je m'amuserais. Il le sait...
- C'est une chose de le savoir, mais encore plus de s'en tenir. Et puis, la personnalité que tu te sculpte me déplaît au plus haut point. Tu es jeune et...
- C'est bien pour cela que je profite de ma jeunesse. Et je ne vois même plus l'intérêt d'aimer. À quoi bon aimée ? Pour être rejetée ? Répudiée ? Traitée comme la pire des espèces ? Non merci, j'en ai suffisamment vue, subit et ressentir. Tes conseils garde-les pour toi.

Brusquement, je me levais, ne prêtant pas attention à l'expression de son visage. Au cours de ma vie, j'avais expérimentée plusieurs sortes de douleurs, le fouet, les paroles, les tortures alimentaires, le mépris... Mais l'amour, se sentiment infâme, maladif, destructeur, égoïste, et donjouant m'avait faite voir de toutes les couleurs. Jamais au cours de mon existence je n'avais eux autant mal, l'amour à détruite le peu d'humanité qui restaient encore dans la personne de Cathïde. Je n'y crois plus, et désormais, avant qu'un mec ne me quitte, je l'aurais déjà entrevue, anticipée, et serais la première à le faire...

Je marchais sans savoir le pourquoi, est-ce que je fuis les paroles de Nadie ? Pourquoi le ferais-je ? Ce sont mes choix, mes résignation, mes actes et actions. Qu'elle se mêle des siennes... Même si, je sais pertinemment qu'elle agir en mes faveurs, qu'elle s'inquiète pour son amie, sa sœur.... Je sentis comme une pression qui m'éveil et m'entraîne dans un couloir moins illuminé par les rayons du soleil. Je reconnais cette stratégie d'attaque, et un sourire perfil se dessine sur mes lèvres.

- Alors je t'ai manqué ?
- Loin du monde ! Je ne te désire pas..

Ses élans de caresses suffisent me faire ravaler mes paroles. Elles étaient intense, se dispersent en moi comme une faille électrique. S'imprègne de mon âme tel un bain divin, se délate de mon être comme une étreinte sensuel. Ses baisers se dissout en moi comme du beurre. Je me retiens, non, j'essaie, il m'oppresse, m'étreinte... Pourquoi moi ?

- Pourquoi moi ? Pourquoi ? Et pas une autre ?
- Simplement parce-que tu es là seule copie dans le monde, et la seule qui me déchaîne de mes chaînes.

Ses carresse atteignaient un seuil des plus incalculables. L'intensité de ses baisers créaient un choc, les circuits surchaufaient, je suffoque, la datation du climat s'élève et il advient à mes lèvres, je ne freine pas sa lancée, je laisse défilé... Mais l'image d'Ulrich, me fit le repousser. Et pris mes jambes à mon cou.

Pourquoi me hante-tu ?

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