AMOUR LYCÉENS

CHAPITRE 4

La jalousie provient de l'incapacité ...

Qu'est ce que cette Marie a de plus que moi ?

Pourquoi préfère t'il être près d'elle ?

Était une façon de me faire perdre la tête ?

Où encore me rendre jalouse ?

Et puis comment peut-il savoir que je suis...

Pourquoi suis-je entrain de m'encombrer l'esprit avec autant de questionnaires ?

Pourquoi il semble m'avoir conquérir sans même avoir entrepris une conquête ?

Je déteste ça !

Encore pire quand...

Au final je sors de la salle de classe, les neurones en pétard, longeant la grande cour de l'établissement, jusqu'au portail.

Toujours dans un débat questionnaires sans sens ni queue dans ma tête, juste me griller les circuits de réflexion bêtement, j'avance un pas devant l'autre.

C'est l'appel répétitif de mon prénom qui m'arrache de ces pensées, je lève le regard et entre en contact visuel sur la personne de Francky me faisant signe de la mains de les rejoindre, je presse le pas et arrive à leurs hauteur.

- Ange. Tu viens ? Me questionne Franklin

- Oui patientez-moi. Juste le temps d'acheter deux trois petits friandises,

- Retrouve-nous sous le manguier. M'indique Franky avant de disparaitre avec Franklin

Non mais sérieusement, je ne suis qu'à mon premier jour, et ils pensent que je maîtrise déjà les coins et recoins de cet établissement ?

Mis à part, j'ai bien entendu parler de ce fameux manguier.

D'après les dires de mes potos c'est le repère de tout un chacun, masculin comme féminin.

C'est un endroit spécial pour les garçons, car de là ils pouvaient admirer et repérer les jolies filles passées et leurs prochaine proies.

Mon nouveau lycée est envahit par la nature, cette coloration de vert et cette sensation de fraîcheur me paraît être en pleine forêt.

Bien que ma ville soit en fait un petit village fondé par le peuple origine Dualla

L'une des plus de deux cents cinquante ethniques qui peuplent le Cameroun.

O

n s'y sens très bien, la nature nous offre d'énormes avantages et facilite ainsi les réinsertion des personnes citizés tel comme moi.

Ce petit village, mérite son scandale de beauté.

- Tu n'es pas encore parti ? Me questionne Ulrich

- Je... Vais y aller, j'achète juste deux ou trois petites friandises.

Les signes astrologiques se sont-ils enfin souvenus de mon existence ?

M'a-t-on enfin donner le libre arbitre ?

J'ai rêvé ou, je viens réellement d'aligner de façon cohérente et existente des mots ?

Littéralement une phrase !?

Je peux sentir mes poumons  s'en brasiers,  mon cœur va lâché tellement il bât, mes intestins s'entremêler et mes lèvres se gèlent tellement il a de l'emprise sur moi.