CHAPITRE 33

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" L'amour n'est qu'un sentiment infâme, maladif et addictif ! Et que dire de la passion ... ? "

Après m'avoir vachement excitée, il s'en va sous le prétexte que je ne veux pas de lui ! L'homme est un spécimen très imprévisible, mais faut reconnaître, il a vraiment des ressources pour faire plié une femme .

- ( Nadie ) Ange , mais où vas-tu ?
- Je rentre, je ne me sens pas bien ! Je suis comme à l'étroit, je n'arrive plus à respirer, c'est trop pour moi !
- ( Fabiola ) C'est quoi concrètement ? Tu es malade ?
- ( Tores ) Pharel t'a fait un moment plan ?
- ( Marie ) Tu es fâchée contre nous ?
- ( Farida ) Qu'est-ce qui se passe ? Vas-tu parler bon sens ! Tu nous mets dans l'embarras ! Parle...

J'étais pressée de faire mes affaires, je ne les écoutaient pas se plaindre, je n'arrivais plus à supporter cette situation, j'étais dans un état d'estrade ! Mon amplob sexuelle était totalement à jour, mes hormones jouaient la finale France Vs Angleterre ! C'était trop, trop d'émotions pour un si jeune corps, une petite fille à peine émancipée qui ne maîtrise pas encore le fonctionnement et les différents repères de  son corps ! Non, je ne resterais pas plus d'une minute auprès de ce pervers !

Il s'approcha de moi, lentement, très lentement, il glissa sa main autour de ma taille, avec une brutalité sans complexe, il me ramena près de lui. Cette fois-ci, je n'étais pas au murs, non, j'étais près de lui, je ressentais son corps sué contre le mien, il regarda ma chemise qui était légèrement ouverte, il s'amusait à sourire et à me lancer des signaux avec son regard charmeur, séduisant et irrésistible. Je fondais littéralement en lui comme du beurre sur une poêle chauffante.

- ( Pharel )  Tu t'en vas déjà ? N'est ce pas toi  qui voulais que nous terminons notre exposé ?
- Si, mais tu peux me lâcher ? Nous sommes au lycée, retiens toi de garder tes pulsions sexuelles au plus profond de toi !
- ( Tores ) Pharel, laisse l'enfant tranquille, il faut qu'elle grandisse, ne suce pas la mangue qui n'est pas encore mûre !
- ( Pharel ) Moi je la trouve assez appétissante avec se caractère de sauvage ! Elle me plaît bien,
- La mangue sauvage, te demande de la foudre la paix, et je te rappelle que j'ai un mec, donc retiens toi de glisser tes salles pâtes sur moi !

Je le repulse avec l'ultime force que j'avais en moi, et continue de  réaménagement mes affaires dans mon sac à dos !

- Maintenant, j'y vais ! Pour ce qui est de l'exposé, on continuera ça se soir, passer une bonne fin de journée.
- ( Nadie ) Attend moi, on y vas !
- ( Pharel )  Aurevoir ma toute belle, rassures- toi je t'aime.
- Moi pas ! Donc que... Tu peux oublier. Nadie dépêches- toi, j'ai un programme à respecter.
- ( Nadie ) Oui, j'ai finis, bon les garçons à demain, les filles je vous aimes, et à demain...

On s' en allaient, en cour de chemin, elle me relatait le résumé de sa relation avec Bobo, j'étais très jalouse, car au moins, elle, oui elle, elle avait la possibilité, l'occasion de démontrer à Bobo à quel point elle tenait à lui, mais moi, mon amour ! Où était-il ? Que faisait-il ? Avec qui était-il ? Aucune réponse ! Juste des interrogations totales !

Aussi loin que je m'en souvienne, il n'avait certifié, que même si la distance venait t'inter-poser entre nous, il serait aussi amoureux de moi, alors pourquoi ces doutes cartésien ? Pourquoi doutais-je de son amour ? Étais moi, moi qui étais la cause ? Suis-je réellement amoureuse de lui ?

Tous le long du chemin, mon esprit recherchait une réponse, mais ou était cette réponse ? Je rentrais, présente de corps, mais absente d'esprit ! Et soudain, je reçue un message de Bobo ...

- Salut ma toute belle, alors ta journée ?
- Plutôt bien et la tienne ?
- Quel message sec ! Mais bon elle était plutôt sympa, malgré que j'aurais bien voulu la passée avec toi mon ange .
- Tu es sérieux ?
- Oui, en fait je t'aime

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