117- La Novice

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             J'étais abasourdi par la voix de Carlos qui  résonnait dans la salle de boxe. Les mains ganter , les poings devant , mon legging était taché sur ma peau en sueur. l'eau qui dégoulinait de  mon front faisait  descendre les  mèches De mon chignon  sur mon visage toute trempés.

CARLOS: Tu dois visé le centre  du sac de frappe allez  le centre du sac !!

                Je cogna au centre.

CARLOS: Plus  rapide !

            Je cogna fort avec une vitesse inéluctable.

CARLOS: J'ai dit Plus  fort  Nabila !

MOI:  Je fais de mon mieux Carlos ! Plaignais je

                 De toutes mes forces  Je rentra trois coup de  poings dans le centre du sac de frappe mais  en voyant la tête qu'il faisait il parait que Monsieur n'était toujours pas satisfait.

CARLOS: Je te l'ai répété une centaine de fois pour cogner avec force  tu ne dois pas arrêtez de  tourner tes hanches Nabila...Tes coups de poing sont comme de la pâte a modeler tout molasse et tu veux te battre.

NABILA:  Je n'ai pas la  même force que toi ! Et s'il te plaît arrête de crié...je n'arrive pas à me concentrer .


CARLOS:  tu fais beaucoup plus d'effort quand il s'agit de de me cogner  !  Tu veux te battre comme un homme alors sois  comme un Homme dit il en me tapotant fortement le dos ....si tu veux abattre ton adversaire Cogne  encore plus FORT !



       



      

                                         —2—








                Je visais le  menton de Carlos prêt à lui faire un uppercut en suivant ses  instructions pendant que j'étais sur le Ring.

CARLOS:  le  coude être   à l'intérieur et le  bras semi-fléchi à 90°.

                     J'obtempéra.

CARLOS: Maintenant frappe moi .

               Je pris mon élan lui envoya mon poing mais Il l'esquiva en me donnant un coup de pied qui me  fit tomber sur le Ring a plat le dos.

MOI:  Tu fais exprès  Carlos.

CARLOS: Tu n'as pas maintenu la distance minimale de  sécurité.

MOI: T'as pas le droit de me frapper t'as oublié.

CARLOS: Tu veux apprendre à te battre et tu ne veux pas qu'on te frappe. Dans un combat il ne peut y avoir de sentiment encore moins de considération me morigéna  t-il  en me  longeant la main...Nous ne sommes plus Mari et Femme.

    
                   L'abrutis !

       L'air contrarié je décida  de me relever tout seul en refusant sa main.








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             Il m'avait demandé de lui rejoindre dans les bois de chênes  et m'attendait le chronomètre à la main.

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant