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   2 semaines ont passées.

Je sors du tribunal, avec une victoire, une fois de plus. A cet instant, je suis fière de moi. J'oublie mes soucis et savoure cette événement.
Depuis la visite de youness, mon monde n'existe plus. Alors j'essaye de profiter de chaque occasion pour ne pas y penser.

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Je suis dans mon bureau. Il est presque 19 heures lorsqu'on tape brutalement ma porte.
Sans que je n'eu le temps de repondre, Enzo se tenait face à moi. Je souffle fort d'agacement, la je n'ai ni l'envie, ni l'humeur à me prendre la tête. Il est énervé en plus. Monsieur ose s'énerver ? Laissez moi rire.

Enzo- t'as un souci avec moi ?
- moi, un souci ? Non.
Enzo- t'as quoi là à me faire la désirée j'tenvoie mes excuses par tous les moyens tu fais la star

Je ne pu m'empêcher de rire. Un fou-rire dont je ne voyais pas la fin. J'essayais de me calmer mais en vain...

Enzo- tu te fou de ma gueule en plus ?
- non tu me fais juste trop rire Enzo
Enzo- ah oui ?
- ah ouais carrément. T'es culotté j'ignorais ton côté la
Enzo- de quoi tu parles ?
- Mh.... Comment elle s'appelle déjà.... Punaise je l'ai vu au début du mois au Resto en bonne compagnie. Ah oui ! Louisa, Ca ne te dis rien?

Il est devenu blanc, il cherche ses mots.

Enzo- c'est juste une connaissance
- je me doute bien évidemment ...
Enzo- ah tu m'as fait peur je croyais que tu pensais que je fricotais avec
- eho je sors pas de l'œuf Enzo. Je t'ai vu avec elle. J'ai tout entendu. Ét tu sais quoi ? Je suis contente. Contente de le savoir à quelques jours de nos fiançailles. Ca m'aura certes, fait mal, mais Ca m'aura au moins permis s'évite la plus grosse erreur de ma vie !

Ses sourcils se froncèrent, il s'approcha de moi, me plaqua contre le mur, avec une main sur mon coup en serrant et me lâcha des mots glaciales "ouais j'ai baiser avec tous les soirs et tous les jours. Mais toi et moi c'est pas fini tu verras tu vas pas assumer"

Kais.

Plus qu'un mois et chui libre. Plus sa approche, plus le temps me paraît long. Mon co (ladé) est sorti avent hier, chui seul. J'ai le telephone j'suis sur Facebook a parler avec mes femelles qui n'attendent que que je sorte. J'ai pas de nouvelles d'irina et c'est mieux comme ça. Sì elle a fait sa vie c'est qu'on devait pas être ensemble c'est le mektoub. Je mentirai si je disais que ça me touche pas, mais j'ai trop fais le canard et franchement j'ai trop lâcher mes arrières pour une femme, qui au final n'est pas mienne. Je sais que je compte pas arrêter pour le moment mes affaires. De toute façon que je le veuille ou non, j'y suis obligé. C'est moi le patron. Sì J' pars c'est comment ? Tu crois que je pourrai arrêter lundi, ét vivre penard mardi ?
Tu rêves. Sì j'arrête lundi, sans assurance, mardi y a un prix sur ma tête, mercredi on butera ma femme, ou mon fils. Ét jeudi on fumera ma tronche. Chui un batards, mais pas un batards égoïste. J'veux pas faire une famille, et la rendre malheureuse. J'pense a Ca tout l'temps. Ça me casse la tête, vraiment. J'me demande si j'aurai le droit au bonheur ? Mais J'pense déjà connaitre la réponse...

Irina.

J'étais sur mon canapé avec soso, on parlait avec nos tiramisu telle des vaches.
Il était presque 1h du matin, ét on était en plaine forme. Je lui confiais mes contraintes par rapport à l'homme que je devais épousé.

Soso- tu sais ce que j'en pense irina. C'est un moins que rien. Lever la main sur une femme, la menacer, l'insulter... Ét quoi encore?
- je sais mais je t'ai dit, je pense qu'il y a quelque chose derrière se changement soudain
Soso- ou alors tu découvre juste sa vraie personne avec le temps

J'ai pas eu le temps de répondre.
Nous aurons réponses à nos questions bien plus vite que je ne le pensais.
Ma sonnette retentit. Il est plus d'une heure du matin, soraya se lève, ouvre, ét a l'instant où la porte s'ouvre, elle se retrouve projeter a l'autre bout. Je sent que la soirée est loin d'être finie

* Amour contradictoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant