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                                   Youness.

J'ai parler a irina, je lui ai dit que Enzo était un problème, qu'il n'était pas celui qu'elle croit être, qu'il ment. Elle n'y croit pas. Je ne lui ai pas dit tout ce que je sais, elle ne me croirait pas. Je vais d'abord retrouver son fils, le plus tôt possible ét faire bouffer le béton à se fils de chien. Je sais que son père est derrière l'incarcération de Kais. Ne sait t il pas que la vérité remonte toujours ?

                                Irina.

Enzo était la, complètement bourré, a gueuler tel un ivre mort, des phrases incompréhensibles. Il avait assommé soraya en l'envoyant à l'autre bout de la pièce. Ét a vrai dire, plus il s'approchait, plus je commençais à avoir peur. Jamais je ne l'ai vu comme ça, ét jamais il ne m'a fait autant peur.

Enzo- alors comme sa tu vas voir ton ptit pd en prison dans mon dos et tu mfai surveiller ptite pute hein
- t'es complètement bourré tu dis n'importe quoi Enzo stop la
Enzo- tu vas voir Sì chui un pd moi tu me connais pas
- non t'as raison je te connais pas. Ét j'veux pas te connaitre d'avantage. Dégage.
Enzo- très drôle !

Il s'approche et bloque mon coup fermement, décidément, il a l'air d'être habitué.
Il caresse mes cheveux, descend jusqu'à mon coup, il continu à descendre sur le côté de mon corps et pose sa main sur mes fesses. J'avais envie de vomir. Ses gestes me donnent la gerbe. L'odeur d'alcool n'arrange rien.
Il remonta sa main avant d'agripper une bonne poignée de cheveux, de tirer ma tete en arriere, ét de me donner deux violents coups, un sur la joue, l'autre sur le nez qui j'en suis sur, c'est cassé. Soraya arriva vite, sonnée, mais elle parvient à lui ordonner de partir.

Ma vision se trouble, mes émotions sont confuses, mon corps me lache d'une telle vitesse que je ne pu comprendre ce qu'il m'arrive.

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Je me réveille, ét m'aperçois doucement que la pièce où je suis est une chambre d'hôpital. Il n'y a que soraya à mes côtés, j'en conclus que ce n'est donc pas un cauchemars.

- Ca fait longtemps?
So- 2 heures. Il t'a cassé le nez ina
- putain... Mais que lui arrive t il ?
So- j'en sais rien. Ét je veux rien en savoir. J'ai prévenu personne pour t'éviter les problèmes mais tu vas vite me le rayer de ta vie.
- ouais ...

Je n'avais aucunement envie de parler. J'étais Sì mal, comment ai-je pu tomber dans le panneau ?

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2mois plus tard.
Kais.

Dans 2 jours je sors j'suis refait ma gueule ! J'ai déjà tout préparer !
Mais youness a des choses à me dire apparement ... Pas de bonnes choses. Mais bon merlish j'ai la liberté c'est déjà savoureux.

Irina.
1mois avent.

Je n'ai aucune nouvelles d'enzo. Je suis en arrêt de travail. J'ai changé de numéro. Mais aujourd'hui, je reçois un courriel, une lettre venant de lui

"Irina, l'idée que tu m'abandonne me ronge de l'intérieur. Ce soir la, j'ai bu, beaucoup trop bu. Ét comme chaque seconde, t'étais dans ma tête. Je te demande pas de me pardonner. Juste de me rejoindre à 19heures sur le quai du bateau de mon père."

Je savais pas si je devais le croire ou non. Dans tous les cas il est clair qu'il était complètement bourré mais je pardonne pas aussi facilement.

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Je décide d'aller à son rendez vous. Pour voir ce qu'il a à me dire. Je m'habille très simplement. Une robe longue et des sandales.
Je me rends au point du rendez vous donné ét le voit vêtu d'un costard. Ok mec chelou, costard sur un bateau. Bref.
Il vient à ma rencontre surpris sûrement que je sois venu, il me complimente et m'aide à monter sur le bateau. Je comprends très vite pourquoi il a sorti le costard: bougies, repars chandelles, il a sorti le grand jeu. Mais malheureusement ça ne marche pas comme ça.

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Nous étions assis au bord de cette table remplie de bonnes chose mais l'ambiance n'était présente.
- alors que veux tu ?
Enzo- irina... Irina ... Mh, par ou commencé ?
Déjà je dois t'avouer quelques petites choses sur moi...
- c'est à dire ?
Enzo- je ne suis pas avocat. Je m'appelle en réalité pas Enzo, mais Stephano. J'ai 30ans, mais t'as vu, ma peau bien entretenu trompe. Ensuite, je ne suis pas fils d'un riche entrepreneur mais fils d'un voyou.

J'en ai perdu tous mes mots. La, mon souffle est saccadé.

- c'est pas drôle
Enzo- oh, c'est pas une blague tu sais. Mais ce que tu sais pas aussî, c'est que tu vas te marier avec moi, que tu le veuilles, ou pas.

* Amour contradictoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant