Shoot

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Je grimace, oui, je sais ce qu'il a vus, j'ai sentis. On m'a tirer dessus, ça ne doit pas être beau à voire.

« -Calme toi, appelle juste les pompiers et la police, je n'ai presque rien, je te le jure. »

Je me force à grimacer un sourire au travers mes dents serrer et il disparaît, se jette sur le combiner et commence à hurler, à pleurer, il a peur mais je ne peut pas bouger. Je m'allonge sur le carrelage de plus en plus poisseux de sang. Ça me brûle, l'air me pique comme de l'acide, à porter de main il y a l'arme tombée au sol. Malgré son état déplorable je la reconnais tout de suite :un Luger Po8, mon agresseur aussi je l'ai reconnus.

« -ALLÔ !!? ALLÔ !!? C'EST MON MARIS, ON LUI AS TIRER DESSUS !! ........ Oui. .... Darling, t'es toujours là ?

Je vais bien je te dit.

Oui, il est conscient. L'agresseur ? Je sais pas, il est ... On dirait qu'il respire plus ... Il y a du sang partout mon dieu ... .... .... ... Oui oui, ça va mieux, j'habite aux .... »

Alors que mon brun panique au téléphone une vague de haine m'envahit, une haine comme jamais auparavant, je me retourne vers le corps du vieille homme en amont. Ordure, tu étais prêt à tirer sur mon maris hein ? Tu t'en fichais de qui ouvrirais la porte tant que tu pouvais le buter, connard ! Le temps me semble long, vraiment très long, j'ai mal allonger par terre comme ça. Mon état ne doit pas être si grave puisque je ne sent pas mes forces me quitter, au contraire, l'adrénaline pulse dans mes veines et me donne envie de me relever pour terminer le salopard qui m'a tirer dessus. Mathéo revient et me voix à même le sol, il devient livide et tombe à genoux :

« -Oh mon dieu, mon dieu ...

Mon cœur, j'ai rien, c'est superficiel.

Il t'as tirer dessus ... Il y a du sans partout ...

J'ai rien, je te promet.

Philippe ...

Je vais bien, tu es tout pâle là, tu me fais peur. »

Je ne peut pas bouger, la douleur est trop forte, mais bientôt ça ira mieux : j'entends les sirènes arriver. Sourit Phil, ne tombe pas dans les pommes ... Ça va aller ... Je vois un peu flou mais un pompier arrive et commence à me parler. Il veut me maintenir conscient ? Dans ce cas autant déblatérer dans le vide pendant qu'il découpe mon pull et mon T-shirt. Ils sont foutus de toute façon :

« -Comment il va ?

Qui ça monsieur ?

Mon maris, Mathéo, le brun qui était là. Il va bien ?

Mieux que vous je ne vous le cache pas. Qu'est-ce-qu'il s'est passé.

Je sais pas vraiment, j'ai ouvert la porte et la il m'a tirer dessus.

Si ça peut vous rassurer je ne vois pas d'entrée de balle, il ne vous as pas tirer dessus. En revanche les brûlures de poudres sont sérieuses.

C'était une vieille arme, la balle à dût se coincé dans le canon. Le tout lui as exploser dans les mains je ne vois que ça.

Vous connaissiez l'arme ?

Un Luger Po8 ... Faites voir ... Je le savais, il est 4 fois raillé aux canon .... »

Immuable (tome 1, 2 et 3)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant