Sombre, car même une fleur à besoin d'obscurité pour évoluer.
Mes démons intérieurs
Le Luxe de s'offrir une relation ne s'accorde pas à tous.
Juger en croyant connaître, se prête à ces personnes qui mènent une vie indéniable de fait.
Croire à ce que l'on entend, croire à une amitié fidèle, se livré à une personne qu'on juge de coffret, est tout simplement un faux.
Personne n'est digne de confiance et de confidentialité, on se laisse juste berné par cette facette amicale et soutenable qu'elle laisse paraître.
Au départ, tu crois être sa priorité, tu t'ouvres sans retenu et le lendemain, tu te retrouves dans un faussé à double tranchant.
Car la vérité, aussi blessante et alléchante qu'elle soit, finis par trouver la marche d'ascenseur.
Mon bonheur, dépend de la persuasion de mon cœur.
Si mon cœur trouve refuge où le tiens se ravitaille en source, devrais-je être condamner ?
J'ai fois en la cruauté de la race humaine, mais jamais je ne n'aurai crû, que l'homme soit la vertu de la crasse.
Aimer un être, plus de huit milliards sur terre, et il a fallu que ça tombe sur toi.
Un toi, que j'aurais dû jamais regardé, un toi, qui ne m'aurait jamais dû faire flancher, là je me sens conne, conne d'avoir crû et bizarrement, aussi complexée que je le suis, je continue à y croire, à croire que mon bonheur ne dépend et n'a jamais dépendu des allégations des autres.
Aujourd'hui, face à mon miroir, je n'ai pas de dégoût, non, car j'ai compris, qu'être utilitariste, n'est pas une peine en soi.
Trouver son bonheur dans celui d'un autre, réfère une pratique antérieure, bien vielle, datant avant ma conception.
Ton bonheur actuel a été malheureux d'une autre, ton malheureux d'hier, est bonheur d'autrui au jour d'aujourd'hui.
Présentement, tu dois te dire que je suis folle, folle de trouver des solutions réellement, pour exprimer ce qui est pétrifié par la douleur de ton cœur.
Mais rassure toi, je n'ai pas été celle qui viendrait gâcher ton bonheur, dans un sens tout comme dans un autre, j'ai juste été l'élément déclencheur d'une rupture en sourdine.
Depuis quand ?
La question est de savoir, quand l'illusion aurait-elle pris fin ?
Parce que, en amour, il existe un commencement, un développement, et une fin, et la tienne, n'a été que l'avènement de notre présentation.
Je suis disposé à être traité de la pire des pourriture, après tout, je suis une crasse depuis ma conception, aujourd'hui, une insultes de plus ou en moins, n'ébranlera jamais la fille blessé que je suis.
Ai-je des sentiments pour lui ?
Cette question me taraude l'esprit, car sincèrement, cette attraction, cette attirance, cette intensité de vouloir homogénéisé nos corps, m'obsède autant que lui.
Peut-être n'est-ce sincèrement pas de l'amour, peut-être regrettons nous déjà ce choix, peut-être suis-je juste la pute que l'on dit de moi ?
Pute
Fille facile
Aucun honneur
Ces synonymes qui, dans la norme, devraient me rabaisser plus que terre, me font sourire à vif poumons.
Aujourd'hui, la pute c'est moi, aujourd'hui je suis celle qu'on montre du doigt.
Aujourd'hui,
Aujourd'hui,
Aujourd'hui
Qu'est-ce que j'étais hier ?
Une chaudasse ?
Une chatte en ébullition ?
Un vagin qu'il faut remplir ?
Voyez-vous, l'homme est un spécimen des plus emblématiques, quand il est utile, il devient le surmmun d'un intérêt collectif, et lorsqu'il advient à démontrer, un soi tant peu d'intérêt, drastiquement, il en vient à être le paria d'une société idéaliste altruiste par leurs émotions.
Mieux faut un visage à découvert, qu'une brise de mascara, d'une somptueuse divinité.
L'histoire enseigne, les paroles se perdent, les écrits demeurent, l'âme perdure, le vécu se détériore, la pensée se bercé d'illusions et l'adhésion devient une ancienneté.
Je fais face au dilemme de ma vie peut-être ?
Un dilemme, je ne l'aurais jamais vue de cette façon, j'aurais compris, j'aurais accepté, j'aurais délaissée, s'il n'y avait jamais eu ce sentiment.
Ce mélange d'interdits et de passions qui vous entraîne dans une demences à double tranchant.
Les pulsions, sont les seuls égards d'un homme.
Ressentir vous opprime.
J'ai ressenti et je suis rejeté.
J'ai désiré et en fin de compte, je suis devenue une paria.
J'ai eu ce besoin irrépressible et aujourd'hui je suis répressive aux yeux de tous.
Quand ?
Dit-on qu'on s'est égaré dans le brouillard des ressentir ?
À quel moment, sentons-nous cette chute inévitable ?
Pourquoi, n'est-ce maintenant que les remises en question début ?
Au départ, avions-nous été conscient ? Où ne l'avions-nous jamais été ?
Damné.
Ressentir.
Aimer
Chérir
Désirer
Perdre
Actuellement, je me demande, et si le choix m'est redonné, aurais-je jouer à ce jeu ?
Honnêtement...
Je crois que...

VOUS LISEZ
AMOUR LYCÉENS
Teen FictionLe LYCÉE ! Un univers de folie, de dingueri. Et surtout se sont les années qui nous rappellent nos peines et nos tristesses. C'est le seul endroit où tout nos rêves les plus fous ont vu le jour. Du moins c'est le cas de cathïde. Alors qui peut pré...