chapitre 61

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Sebastian ouvre et me regarde dubitatif.

"- Je peux savoir ce que tu fait là, Gwen?" Il me demande.

Super, vive l'accueil glacial, c'est pas l'accueil que j'aurais espérée mais je m'y attendais un peu. Je ne me laisse pas démonter pour autant. J'y suis! J'y reste! Je suis prête à me battre pour arranger les chose. Je me plante sur mes deux pied et tente de pas me laisser intimidé par la froideur de Sebastian. Il passe une main dans ses cheveux d'un geste las et agacé à la fois. Il a l'air épuisé et je ne peux pas résister à l'envie de le toucher. Tout naturellement je réduis la distance qui nous sépare et pose une main sur son avant bras.

"- Tu pense bien que si ce n'était pas important, j'aurais choisi un autre jour pour venir." Je lui dis.

Le regard de Sebastian me parcourt de haut en bas, comme s'il venait juste de s'apercevoir à quel point j'ai l'air pitoyable.

"- Rentre, tu vas attraper un pneumonie!" Il me dit.

Il me tourne le dos, n'attendant aucune réponse de ma part, et je lui emboîte le pas. Au moins il ne m'a pas claqué la porte au nez... encourageant... Enfin je crois... Dans le salon, je vois des papiers et des calepins au sol. Je vais fait profil bas pour moment, j'ai pas envie qu'il me mette à la porte. Soudain c'est le noir complet. Sebastian vient de me recourir la tête avec une serviette et me frictionne vigoureusement.

"- Aie!" Je grogne.

- Arrête de râler et laisse moi faire!" Il me dit.

Je ne le vois pas mais je sens de l'amusement dans sa voix, ce qui me fait sourire. Lorsque Sebastian me libère, il éclate franchement de rire. Mes cheveux doivent ressembler au plumes d'Isabella tout à l'heure, mais je m'en fiche. Sebastian à retrouver cet éclat au fond des yeux que j'aime tant. Sans réfléchir que je me le love dans ses bras après lui avoir voler un timide baiser.

"- On est capable de faire mieux ma belle..." me dit Sebastian.

Il me serre dans ses bras nous glissons au sol en nous embrassant avec la passion et le désir retrouver.

Le lendemain matin, je cligne plusieurs fois des yeux quand le soleil passe à travers les rideaux de la chambre de Sebastian. Des mains s'égarent le long de mon dos, me donnant de doux frissons. Des lèvres chaudes et douces goutte ma nuque avec délectation, et je laisse échapper un soupir de plaisir. Quel rêve exquis!

"- Ma douce, réveille-toi!"

Ok, c'était pas un rêve! J'ouvre à nouveau les yeux et le soleil m'éblouit.

"- Désolé ma belle. Il est encore tôt mais je voulais profiter de toi avec de partir à la fac. Me dit Sebastian.

- Si c'est comme ça, tu peux profiter de moi autant que tu veux!" Je réponds.

Je dois avoir l'air d'un cruche mais je m'en fou royalement. Je suis dans le lit de Sebastian, uniquement recouverte d'un drap après une nuit dont le je que je garderait des sequels. Je suis crevée , la nui à été très courte et j'ai des courbatures de partout. Et Sebastian m'a laisser quelque traces de son passage dans le cou, je vais devoir sortir le foulard aujourd'hui. Je me colle à lui et enfui ma tête dans son cou, ses bras se referme autour de moi. Je me sens tellement en sécurité avec lui, tout le reste me parait loin, même si la réalité va nous rattraper rapidement.

"- Je me suis inquiété quand je t'ai pas vu à mon cours hier. Il me dit.

- Je n'étais pas trop en état... Je réponds.

- Je l'ai bien compris. Mais j'ai réalisé à quel point ta présence me manquait et je me suis vraiment senti comme le derniers des cons.

- J'ai eu du mal à accepter ton attitude. Tu étais très aphatiyque devant le doyen, et ensuite cette dispute... Je suis vraiment navrée pour ta sœur, tu sais. En plus je te l'ai pas dit, mais elle et moi on se connait déjà. Je dis.

Sebastian et GwenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant