UNKNOWN : LE STALKER [SOUS CONTRAT CHEZ BLACK INK]

CHAPITRE 35 - DELKO

Coucou !
Avant de vous plonger dans cette lecture j'ai plusieurs choses à vous dire:

D'abord, sachez que j'écris cette histoire au feeling, en fonction de l'imagination qui me vient.
Quand j'ai commencé à écrire, je savais où je voulais aller mais je n'avais rien de précis en tête.
Maintenant, c'est bon !
J'ai toute la suite et la fin de cette histoire, et forcément des détails que je n'avais pas en tête lorsque j'ai commencé et qui aurait dû être au début, sont apparu ! C'est pourquoi, je vais procéder à une réécriture des chapitres, un peu en parallèle des écritures des prochains chapitres, pour rajouter des détails et des éléments qui concordent avec ce qui va se passer ensuite dans l'histoire et qu'il n'ai pas d'incohérence.
C'est pourquoi, à chaque fois, je préviendrais lorsque je modifierai un ancien chapitre et je vous inviterez donc à aller le lire pour éviter les éventuels incompréhensions. Mais ce n'est pas obligatoire

Voilà !!
Bonne lecture ♥️

***

C'est un risque que je prends en me glissant sous la douche avec elle, et complètement vulnérable. Mais l'envie de l'avoir tout contre moi, nue - pour la première fois - dans un endroit aussi intime et restreint, était trop tentante.

J'observe ses courbes dénudées avec avidité, ses épaules frêles parsemées de gouttes et quelques-unes de ses mèches brunes - presque noires sous le jet d'eau. Ses cheveux qui tombent gracieusement dans son dos et leurs pointes qui flirtent avec la cambrure parfaite de ses reins. Je réprime un grondement de satisfaction lorsque mon regard tombe sur la rondeur de ses fesses.

Elle me sent tout près d'elle et je la vois tressaillir. Dans la surprise et la précipitation, elle s'apprête même à se retourner, mais je l'en empêche en glissant mes bras autour de sa taille, pressant mon torse entre ses omoplates, et nichant mon visage dans son cou. Ses mains rejoignent les miennes sur son ventre et nos doigts se mêlent tandis qu'elle se relâche brusquement dans mes bras. Son corps s'emboite parfaitement avec le mien, comme si elle avait été façonnée exclusivement pour moi, dans le matériau le plus tendre et le plus doux qui n'ait jamais existé sur cette planète. Elle n'attendait plus que son socle...

Et me voilà.

Comme si elle avait suivi mon cheminement de pensée, elle se laisse aller contre mon buste dans un soupir d'aise et mon corps ne trouve rien de mieux que d'y répondre en remuant la queue pour se nicher entre ses fesses.

Elle glousse.

— Excuse-moi... Tu m'as surprise.

J'embrasse sa tempe, avant de rassembler ses mèches mouillées sur une épaule pour dégager son cou. La tête penchée sur le côté, elle se laisse bercer par mon étreinte. Et je la becte à en prendre haleine, aspirant chaque goutte d'eau que la vapeur dépose sur sa peau en une fine pellicule luisante, avant qu'elles ne dévalent sa poitrine.

— Tu étais passé où  ?

Parti sauver ton honneur, princesse.

Je n'ai rien fait en particulier, à ce vieux pervers - pas en plein jour -, mais je n'ai pas hésité à broyer son téléphone et toutes les photos qu'il aurait pu prendre avec. Il s'est simplement enfui, terrorisé. Je regrette presque de ne pas en avoir terminé avec lui, comme avec tous les autres.

Je ne lui dis rien, bien sûr.

Je pose mes lèvres derrière son oreille et l'embrasse encore, pour détourner son attention. Je la sens frissonner sous ma bouche, et voit ses tétons se tendre. Je ne peux m'empêcher d'envelopper ses seins de mes mains.