UNKNOWN : LE STALKER [SOUS CONTRAT CHEZ BLACK INK]

CHAPITRE 62 - DELKO

N'hésitez pas à me donner vos avis au niveau de l'écriture, j'aimerai savoir si c'est bien écrit ou si c'est mieux si je raccourcie et enlève quelques description trop longue ?

***

Agenouillé, je la surplombe de tout mon corps. Mon gland palpite d'impatience entre ses cuisses, comme s'il savait déjà quoi faire - où aller.

- Prends-moi... Elle murmure.

Mon bas-ventre se tord et fait tressauter ma queue en l'entendant me dire ce qu'elle veut.

Je saisis ses cuisses et les écarte largement pour moi.

Elle parcourt mes tatouages du regard ; des dents acérées qui recouvrent les brûlures de mon cou, aux crânes qui cachent celles de mon bras gauche. Son souffle s'accélère lorsqu'elle voit ma bite pointer dans sa direction. Un éclat d'inquiétude traverse son regard.

Ça va aller.

J'attrape mon sexe douloureusement tendu et le fait glisser entre ses lèvres mouillées. Mon gland la titille, du clitoris jusqu'à l'entrée de son sexe et je me recouvre de ses sécrétions pour lui faciliter la pénétration. Ses hanches se meuvent contre moi, suivant le rythme que je lui impose. Ses yeux se ferment chaque fois que son clitoris est sollicité et son souffle s'accélère lorsque je me place à l'entrée de son vagin.

Lorsque je glisse mes premiers centimètres en elle, ses yeux roulent dans leur orbite, et elle gémit, de douleur et de plaisir mêlés, en se mordant la lèvre.

Je serre les dents pour ne pas juter tout de suite devant la vision de mon gland enfoui entre ses lèvres, étouffé dans sa chaleur et baigné dans son humidité.

Quand son regard plonge dans le mien et m'invite à continuer, je la pénètre plus loin. Je la remplis, à tel point, qu'elle semble former un garrot autour de ma queue tant elle est serrée. Ses sourcils se froncent et sa respiration devient hachée lorsqu'elle plaque une main sur mon ventre pour m'arrêter.

Mes abdominaux se contractent sous son toucher.

- Delko... Elle souffle.

Pardon Chaton.

Je reste immobile quelques longues secondes, la laisse s'habituer à mon diamètre, et masse son clitoris pour faire disparaître la douleur.

Chaton est loin d'être vierge, et lui faire mal est d'autant plus satisfaisant. Jamais personne ne la remplira autant que moi. Comme personne ne l'a jamais rempli autant avant moi. Je le sais ; elle n'aurait pas été inquiétée, si ça avait été le cas.

Son visage se détend progressivement à mesure que je la touche. Lorsque ses hanches se mettent à se mouvoir, haletante, je la prends plus profondément. Les dents serrées, je me délecte du nid brûlant que forme sa chatte autour de ma bite. Elle se contracte autour de moi, m'aspirant plus fort en elle, et je dois me faire violence pour ne pas exploser.

Bordel, Skylar.

Je ne suis pas complètement enfoui lorsque je bute au fond de son intimité. Ses cuisses se mettent à trembler contre mes hanches et elle gémit, à la fois de douleur et de plaisir, quand mon gland s'écrase contre son col.

- Putain... Delko. Elle jure dans sa langue maternelle. T'as une queue énorme.

Je sais.

Je ne peux empêcher un sourire carnassier d'étirer le coin de mes lèvres. Féroce. Et ma queue tressaute de satisfaction dans son ventre.

J'adore les chattes. Je les aime toutes. Leurs formes, leurs goûts, leurs odeurs, leurs couleurs. Mais la sienne... La sienne est ma préférée. La plus belle et la plus délicieuse d'entre toutes.

Je lâche ses cuisses et me penche au-dessus d'elle en prenant appui sur mes coudes, de part et d'autre de son visage. Mes doigts se perdent dans ses mèches éparpillées sur le tapis, lorsqu'elle agrippe mes flancs de ses petites mains chaudes pour m'attirer contre elle.

Nos lèvres se frôlent, nos ventres se touchent, et nos corps s'emboîtent comme si nous étions fait l'un pour l'autre.

Lorsque je commence à me déhancher en elle, je me retire pour mieux y retourner.

Sa bouche s'ouvre quand elle inspire. La douleur la fait haleter. Et je lui caresse les cheveux en frottant mon pubis contre son clitoris, à chacun de mes coups de reins. Ses yeux s'embuent chaque fois que je m'enfonce en elle et les larmes s'accumulent au coin de ses yeux pour dévaler ses tempes et se perdre dans ses cheveux.

- Delko !

Elle a mal. Ma queue la fait souffrir.

Elle me subit plus qu'elle ne m'accepte.

Et ça m'excite à mort.

Elle plaque les mains sur mon buste, tentant de me faire ralentir, et ses ongles s'enfoncent douloureusement dans mes pectoraux en y laissant leurs empreintes.

Mais elle est trop bonne pour ralentir maintenant.

Et j'accélère.

Elle s'agrippent à mes bras comme à la vie, et hoquette à chacun de mes coups de rein.

Je la prend comme un connard, un putain d'animal.

Elle halète, chaque fois que je m'écrase sur son col. Nos corps en sueurs claquent l'un contre l'autre à mesure que je la pilonne.

Doucement, son souffle haché par l'effort se mue en gémissement.

Ouais, c'est ça...

Son regard se voile progressivement de plaisir en sentant mon sexe la ravager de l'intérieur, écarter ses parois et la remplir plus que de raison.

Je souffle comme un buffle au-dessus d'elle et gémis doucement contre ses lèvres.

Ses mains quittent mes bras pour se perdre dans mon dos et m'attirer plus près encore. Je manque de m'écraser sur elle. Dans cette position, mes coups de reins sont plus profonds et je pousse progressivement dans son fornix.

Ses lèvres remuent, tentant de dire quelque chose. Je m'approche pour les embrasser.

- Encore... Encore... Elle ahane contre mes lèvres. J'aime te sentir...

Un grondement m'échappe en l'entendant prononcer ces mots et je la pénètre des derniers centimètres qui me restent. Ses yeux s'arrondissent en me sentant derrière son col, enfouis profondément dans son fornix, et ses yeux s'embuent de larmes.

Prends tout Chaton... Putain, prend tout.

Elle secoue la tête, me fait comprendre que son corps refuse d'en recevoir autant. Mais je glisse les mains derrière son genou, un après l'autre, et relève ses jambes sur mes épaules, en la prenant plus fort.

Pliée sous moi, ses mains se perdent dans mes cheveux et m'attirent contre sa bouche.

Le plaisir me saisit progressivement à m'en tordre le ventre.
Je frotte mon nez contre le sien, sans cesser de l'embrasser, voulant faire durer ce moment plus longtemps.

Je veux la sentir encore. La faire trembler autour de ma queue jusqu'à la rendre bleue.

Je ralentis la cadence en me perdant dans son regard.

Elle me renvoie tout ce qu'elle ressent à la gueule. Complètement éprise, elle me chérit et l'éclat dans ses yeux me promet des choses...

Elle... Putain, Chaton...

Ça me prend aux tripes et ça me fout à l'envers.

Bordel de merde.

Lorsque je sens les parois de sa petite chatte se contracter autour de moi, je me remets à accélérer et je l'empale plus fort.

Brusquement, elle tourne la tête en direction du canapé. Son corps se tend, ses muscles se crispent et elle se recroqueville sous moi, comme une petite souris.

Je cesse de remuer en elle en suivant son regard et, je ne réalise que maintenant la lumière dans la cuisine...