Article de presse

TOME 2 Chapitre 58

Chapitre 58: ⭐️Point de vue d'Oli⭐️

Elle entre dans la pièce et se fige devant les lettres lumineuses, c'est exactement la réaction que j'espérais . Les lettres indique « Lila, veux-tu m'épouser ? », classique et pourtant tellement indémodable. Tout se passe à la perfection, j'ai retiré mon pull et suis donc en chemise blanche, c'est le moment où tout se joue, le moment qui me flanque la boule au ventre depuis plusieurs minutes. Va-t-elle dire oui ? Je chasse mes peurs, c'est probablement le plus beau moment de ma vie. Je pose un genou à terre, sort la boîte avec la bague de ma poche et attends qu'elle se retourne. Ce qui, évidemment, arrive. Quand elle me voit, elle pousse un cri de surprise puis rigole de bonheur à travers ses larmes.

Moi : Lila... Je... Tu veux bien devenir ma femme ?

Elle saute, probablement de joie, puis se calme. Elle plonge son magnifique regard dans le miens, le moment que je redoutais tant, c'est maintenant.

Lila : oui !! Évidemment que oui !!!

Mon souffle devient court, mes jambes se mettent à trembler. Oui. Elle a dit oui.
Je pousse un soupir de soulagement et un sourire que je ne contrôle même pas se forme sur mon visage. C'est trop beau !
Je lui passe la bague au doigt et tout semble disparaître autour de nous, nous sommes enfermé dans une bulle d'amour et de bonheur incomparable et nous ne sommes pas décidé à en sortir. Elle m'attrape les mains et me relève. Elle ne me laisse pas le temps de reprendre mes esprits qu'elle me saute au cou. Je sens ses larmes couler dans mon cou et c'est étonnement agréable. Les larmes coulent désormais sur mes joues aussi. Je suis tellement heureux. Je pose mes lèvres sur les siennes avec plus de douceur que jamais. Notre baiser s'éternise, nous n'avons plus d'air mais on s'en fout, on pourrait mourir maintenant que ça ne changerait rien : on mourrait ensemble plus heureux que jamais.

Lila : Oli... Je... Je t'aime tellement fort.

Moi : moi aussi je t'aime mon amour.

On se regarde amoureusement, on se toise, on se fixe et la même idée nous traverse l'esprit.

Moi : On le teste ce lit ?