Article de presse

TOME 3 Chapitre 17

Chapitre 17 :⭐️ Point de vue d'Oli⭐️

Quand on arrive au restaurant de l'hôtel, je m'émerveilles devant tant de nourriture.

Moi : Un buffet à volonté ? Trop bien !

Lila sourit, vu comment elle est maigre, j'espère qu'elle va manger autant qu'elle le peut.

Lila : Des...des fruits, des yaourts, des crêpes !

Les gens nous regardent bizarrement, on a l'air de deux enfants dans un magasin de bonbons mais on s'en fout, Un bonheur rempli nos cœurs et nos esprits.

Moi : Mange tout ce que tu veux mon cœur, t'en as besoin !

Lila : toi aussi tu en as besoin, tu le ne montre pas mais je peux lire dans ton sourire que t'as jamais eu aussi faim de ta vie.

C'est dingue, elle lit en moi comme dans un livre ouvert, elle ne laisse rien au hasard et interprète mes moindres faits et gestes. J'aime bien. On mange comme jamais, je prends toutes sortes de gâteaux, de sodas et choses diverses. Lila aussi mange pas mal de choses, ce qui me marque le plus c'est les fruits. On voit que ça lui fait vraiment du bien de manger de tout cela.

Moi : c'est quoi qui t'a fait le plus plaisir ?

Elle me regarde avec sa tête de hamster, elle me fait trop rire !

Moi: Mais AHAHAH ! T'as vu ta tete ? Tu crois que tu peux en mettre plus dans ta bouche ?

Lila: Je crois que je suis à mon maximum...

Gwen: Vous êtes  mignons.

On finit le repas dans une bonne ambiance, les soucis nous poursuivent toujours, c'est impossible d'oublier tout ça en un claquement de doigts mais nous profitons de l'instant présent. On monte dans notre chambre avec Lila et on s'allonge sur le lit.

Lila : Je t'aime Oli.

Moi : Moi aussi je t'aime.

On commence à se câliner, nos baisers deviennent fougueux et passionnés, on était tous les deux en manque de l'autre, en manque de ce contact doux. On ne comprend toujours pas ce qui nous lie mais clairement on ne cherche pas, on s'oublie dans les bras de l'autre, on sourit au moindre contact, à chaque fois que nos corps se frôlent. On aime à en crever, à rendre fou, on s'aime à un point que les autres ne comprennent pas. On s'aime tellement.