La Nature Dangereuse et Passionnelle 4/8 🍋 ✔️

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Leurs lèvres entamèrent un ballet enfiévré où leurs langues devenaient les danseuses solitaires de la soirée

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Leurs lèvres entamèrent un ballet enfiévré où leurs langues devenaient les danseuses solitaires de la soirée. Seules dans leur cocon d'intimité, protégées de la pluie battante à l'extérieur, elles se taquinaient, jouaient ensemble dans une ronde exaltante. Les mouvements de Jaya gagnaient en assurance, en finesse, montaient en puissance, dévoilant toute la sensualité de sa signature corporelle si singulière. Elle éclosait littéralement dans sa bouche.

Pas de préliminaires pour elle, la belle frondeuse était punie.

En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, les derniers vêtements gênants gagnèrent le parquet de la chambre. Toujours juchée sur lui, Jaya abandonna sa bouche pour explorer l'épaule de son séduisant partenaire, le tétanisant de plaisir. Elle remonta doucement vers sa clavicule, déposant un baiser au creux de son cou. Sa délicatesse était pour lui une source incommensurable de bien-être et de frissons. Jamais il n'avait été embrassé de la sorte... Pas même par Aube. Jaya, elle, s'immergeait davantage dans le charme de cet instant et touchait chaque point sensible avec une justesse involontairement stupéfiante.

Oh oui, ce petit cœur tendre allait s'assombrir lorsqu'il libèrerait ses fantasmes féroces de leur cage.

Ses grandes mains se plaquant autour de sa gorge fragile, il renversa la situation plus passionnellement en dévorant sa mâchoire au point d'y abandonner des traces rougeâtres. Ses respirations sourdes s'écrasaient contre cette chair exquise. Elle balança sa tête en arrière pour lui laisser plus de terrain à explorer et en savourer toute l'intensité. Il glissa sa langue affamée entre ses seins jusqu'à remonter à son cou pour ensuite recommencer, s'attaquant à ses alléchants boutons enflés et durcis qu'il aspira avec ferveur. Leur rebond sous sa fougue était son obsession malsaine.

Il introduisit sa main entre eux deux pour atteindre son entrée minuscule qu'il caressa et stimula pour l'attiser un peu plus. Elle était déjà si humide qu'il n'avait rien besoin de rajouter.

Après cette torture, il empoigna à nouveau sa chevelure et l'obligea à lui faire face. La profondeur de sa voix rauque lui fit le même effet que la fessée qu'il lui donna et qu'elle accueillit avec un hoquet : le rouge lui monta rapidement aux joues, comme au postérieur.

— Regarde-moi... Ne me quitte pas des yeux.

Se posant sur un coude, Vadim prit la main de Jaya qu'il coula le long de son torse gravé dans la roche. Lentement... très lentement, passant au crible chacun de ses abdominaux, jusqu'à atteindre la limite interdite au plus bas de son ventre. Elle effleura une pointe dure et inconnue du bout de ses doigts tremblants ; elle baissa les yeux dans l'urgence, droit sur la virilité exposée au grand jour. Imposante, inébranlable, elle se dressait là, au milieu des cuisses de la jeune femme, telle une flèche pointée vers le ciel. Son extrémité brillait dans la lumière tamisée de la bougie, comme recouverte d'un étrange film liquide.

Elle déglutit.

Quelle drôle de sensation...

— Ne me... quitte pas... des yeux.

𝐋𝐄 𝐂𝐑𝐈 𝐃𝐄 𝐋'𝐇𝐈𝐕𝐄𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant