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Perdus dans la chaleur de leur étreinte, le monde tangua et s'enflamma pour les deux amants

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Perdus dans la chaleur de leur étreinte, le monde tangua et s'enflamma pour les deux amants. Enfoncée dans les plumes de son oreiller, Jaya enroula le cou de Vadim et l'attira à elle pour lui voler un nouveau baiser. La main du prince cajola toute la longueur de ses courbes, jusqu'à sa cuisse si douce qu'il ramena contre lui. Là, entre elle et sa jumelle, il trouva sa digne place.

Chaque effleurement procurait à Jaya une sensation électrisante, faisant naître en elle une profonde féminité. Chaque caresse sur le bout de ses seins était un langage intime entre eux, renforçant cette connexion qu'elle avait appris à aimer. Elle réalisait alors à quel point il était enivrant et surprenant de se sentir autant désirée par un homme.

Mais bientôt, elle se sépara de lui, créant une distance qui permit à leurs regards de se croiser. Les yeux turquoises dégageaient le feu du désir. Un sourire doux jouant sur ses lèvres, Jaya porta ses doigts sur la sculpture fine de sa bouche, la caressant doucement, comme pour graver le souvenir de leur baiser à l'infini.

Amusé par ce geste, Vadim lui rendit sa moue en embrassant ses phalanges.

— Pourquoi souris-tu ? lui murmura-t-il, d'une voix rauque.

— Je pensais à ce que tu m'as fait avec ta bouche, hier... ton baiser au paradis...

— Tu aimerais que je recommence ? Tu ne dois pas avoir honte de me le demander, ou de me le faire comprendre. Te combler est mon souhait le plus cher.

Le cœur de Jaya fit un bond. Ses yeux, auparavant fixés sur Vadim, se baissèrent timidement, comme si elle cherchait à cacher l'émotion qui la submergeait.

— Je suis encore peu à l'aise avec tout cela...

— Ça viendra. Avec moi, tu y prendras goût rapidement, crois-moi.

Elle gloussa.

— Je te crois. J'ai confiance en toi, tu es un bon enseignant.

Flatté, il étira à nouveau ses lèvres en une forme énigmatique.

— Alors laisse-moi te montrer quelques petites choses.

Alors qu'il se redressait, à genoux entre ses jambes écartées, Vadim commença à se déshabiller lentement. Son souffle s'accélérant, Jaya était captivée par son effeuillage alors qu'il retirait son gilet, puis sa chemise, dévoilant son torse sculpté dans la roche la plus pure. Chaque muscle était taillé avec une grande précision, témoignant de son dévouement à entretenir ce physique de combattant. Il avait dû travailler si dur pour l'obtenir.

Ses bras, striés de veines sublimes, donnaient à la jeune femme envie de le toucher. Le caresser. Sentir sa peau et la fermeté de ce corps tigré.

Mais ne s'y osa pas, en premier. Simplement bouger aurait brisé la magie de cet instant.

𝐋𝐄 𝐂𝐑𝐈 𝐃𝐄 𝐋'𝐇𝐈𝐕𝐄𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant