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Mars 2006, Brive la Gaillarde [NALA PETIJEAN]

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Mars 2006, Brive la Gaillarde
[NALA PETIJEAN]

Nabil est venu chez moi pour qu'on puisse réviser les cours d'économie gestion pour le gros DST qui nous attend dans une semaine. Autant j'ai des facilités pour le droit et le marketing, autant la gestion, et notamment la gestion financière, c'est vraiment ma bête noire.
Je soupire en levant ma tête vers le plafond, bloquée sur la première question de l'exercice depuis une bonne vingtaine de minutes.

-c'est pas dans mon décolleté que tu vas trouver la réponse. Je souris doucement quand je sens qu'il dévie son regard, le replaçant sur l'énoncé

Nabil: c'est pas au plafond non plus, tu sais. Je lâche un petit rire

-bah alors on fait quoi ? Parce que l'un comme l'autre, on a pas la réponse

Nabil: j'ai bien ma petite idée... il commence à enfouir sa tête dans mon cou, et à parsemer ma peau de baisers

-on est pas seuls Nabil... je mords ma lèvre pour ne pas laisser s'échapper des petits soupirs de ma bouche, et mon ventre s'embrase quand sa main glisse sur l'intérieur de ma cuisse, et remonte jusqu'à frôler mon intimité

Nabil: on peut toujours essayer de faire ça en silence... sa tête descend vers ma poitrine, et sa main glisse sur mon flanc, puis sur mon ventre. Je penche ma tête sur le côté pour lui faciliter ses mouvements, puisqu'il tente de baisser la bretelle de mon débardeur, et je sens ses doigts tenter de se faufiler sous l'élastique de mon jogging, pour titiller mon entrejambe à travers le tissu de mon tanga. Mais on toque à la porte, et on se remet vite en mode travail

-oui ? Ma grand mère ouvre légèrement la porte, et passe sa tête dans l'espace

Manou: je vais faire des courses, tu as besoin de quelque chose ?

-attends, je vais t'attraper ma liste. Je me lève, et prends soin d'éviter le regard de Nabil. Si nos yeux se croisent, nous sommes morts tous les deux. Mais sans que je puisse le contrôler, mes yeux tombent sur son bassin, et sur le petit renflement. Oups, on a peut-être un peu trop dérapé. Tiens, je lui tends, et lui offre un franc sourire

Manou: parfait. Elle embrasse mon front. Travaillez bien. Elle referme la porte, et je reste plantée devant, jusqu'au moment où le moteur nous annonce que la voie est libre. Aussitôt, deux mains se posent sur mes hanches, s'en emparent, et me poussent sur le lit

Je rigole quand mon débardeur vole à l'autre bout de la pièce, et que les dents de mon copain partent à l'assaut de la peau fine de ma poitrine. Ma main passe dans ses cheveux, et je prends l'initiative d'enrouler mes jambes autour de son bassin pour le faire venir au plus proche de moi.
Nos bustes sont collés, et se mouvent à une vitesse de plus en plus rapide, à cause de notre excitation grandissante. Je sens le désir que Nabil ressent pour moi sur mon bas-ventre, et ce dernier cherche à me rendre folle, puisqu'il frotte son bassin contre moi.

[N.O.S] 𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐁𝐑𝐔̂𝐋𝐀𝐍𝐓𝐄𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant