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Le soir même, Marbella [NALA PETIJEAN]

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Le soir même, Marbella
[NALA PETIJEAN]

J'ai essayé d'inviter Nabil à danser, mais il a refusé. Alors, comprenant que la méthode douce ne fonctionne pas, je passe au niveau supérieur. La jalousie.

Je fais légèrement remonter ma robe sur mes cuisses, et roule du bassin comme je sais si bien le faire. Olivia me rejoint, et commence le même petit numéro, collée à moi. Elle aussi a envie de rendre jaloux quelqu'un apparemment.

Sauf que moi, mon mec me regarde faire, le regard noir, et je sais que dans pas longtemps, le tour sera joué. Alors que de son côté, Solann n'en a rien à faire d'elle. Alors, qui est-ce qu'elle essaie de rendre jaloux ?

Je tourne la tête pour récupérer mon verre au comptoir, et un torse se colle à mon dos, tandis qu'un bras entoure mon cou, comme pour m'emprisonner. Ses lèvres se promènent sur mon visage, avant de mordiller mon oreille

Nabil: tu tentes de me faire vriller ou quoi ? Sa voix grave commence à me faire tourner la tête. L'arroseur arrosé

-pas du tout mon cher Simba. Je souris, et, en exagérant ma cambrure, je reprends le même jeu que tout à l'heure. Mais peut-être que là... une de ses mains glissent sur mes côtes, puis sur le creux de ma taille, et on entame un collé-serré plus que chaud et je me retourne pour le regarder. A travers son regard, je devine les pensées perverses qui traversent son esprit, et j'ai à peu près les mêmes. Alors, autant jouer le tout pour le tout.

J'attrape sa main, et tire dessus pour l'emmener vers les toilettes de la boîte. Mon copain semble comprendre l'idée que j'ai en tête, et il se colle un peu plus à moi tandis que j'avance, visiblement pressé et très excité. Son souffle s'échoue dans ma nuque, et ses mains se font plus baladeuses et très insistantes, tandis qu'il me pousse vers la première cabine de libre. Il la verrouille derrière moi, et tente de glisser sa main entre mes cuisses, mais je l'arrête.

-ce soir, c'est moi le prédateur et toi la proie. Je souris de manière aguicheuse, tandis que son regard s'assombrit

Nabil: Nala putain. Il grogne quand je défais sa ceinture, et commence à déboutonner son jean

Durant tout le temps que je l'ai en bouche, je ne cesse de le regarder droit dans les yeux. Je vois ainsi mon copain perdre peu à peu pied, et se mordiller la lèvre pour ne pas geindre trop fort. A un moment, il passe une de ses mains derrière mon crâne pour essayer d'avoir le dessus sur le moment, mais force est de constater qu'il ne contrôle plus rien, et ce, depuis plusieurs minutes

Nabil: arrête 'bé, je vais venir. Je ne l'écoute pas et continue, alors que je le vois tenter de penser à autre chose pour essayer de durer plus longtemps. Putain. Il grogne un peu plus férocement, en basculant sa tête en arrière. Je remonte une de mes mains sur son ventre, la fais passer sous son polo, et la glisse au niveau de ses côtes, là où je fais de petites caresses du bout des doigts. 'Bé je plaisante pas, je vais cracher là. Il semble un peu paniqué à l'idée de savoir qu'il va jouir dans ma bouche, mais d'un regard je lui fais comprendre que je sais ce qui va arriver. Quelques secondes plus tard, un râle sort de ses lèvres, tandis que je reçois sa semence dans la bouche. Je plante mes yeux dans les siens, encore une fois, et déglutis. Son regard noircit, et ses mâchoires se serrent.

[N.O.S] 𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐀𝐑𝐌𝐄𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐁𝐑𝐔̂𝐋𝐀𝐍𝐓𝐄𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant