Reine Nassïma et ses dires

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Mon esprit était constament ailleurs, et en plus j'étouffais,
malgrès la grandeur du Palais,
je me sentais encombrée,
j'avais juste une envie, c'était monter à cheval et partir,
je ne sais où.

Je mens,
je savais très bien là où je voulais aller, j'aurais voulu être au côtés d'Hussman et de mon frère.
La simple pensée de les imaginer tout les deux, entrein de chevaucher le désert du Nefoud,
ou bien l'intégralité du Hedjaz,
m'émouvais.

Cela fesait six mois qu'ils étaient partis et étaient sans doute déja arriver, ce qui m'inquiétait encore plus :
Si Oncle Ahmed et ses hommes étaient les ennemis,
le combat se ferait rude,
ils se battaient de la même manière.

Quand à Sûria,
il est vrai que malgrès la haine que nous éprouvions l'une
envers l'autre,
on avait trois points en communs :
On était toutes les deux mariées
à Hussman, un mari que nous aimons.
Il était le père de nos ou notre enfants et franchement,
nos deux coeurs étaient remplit
de chagrin.

Malgrès cela, notre "relation"
se dégradait de jours en jours,
on ne se cachait même plus,
pour s'embrouiller, s'injurier
et parfois même devant les petits.

Je ne sais pas ce que voulait concrètement cette femme,
était-elle stupide ou le fesait-elle exprès ?
Quel était son réel but ?

Le pire c'était qu'on était tous là,
entre guillements " coincé", dans le même Palais, constamment obligé de se supporter.
Mon seul plaisir était de voir Elïjah, Ziyad et Yasmine,
jouaient ensembles,
ils étaient si inoncents, ignorants de la situations, malgrès leur chagrin commun,
le manque de leur Père, ils gardaient la tête haute et restaient solidaires.

[...]

Tout les gardes s'étaient préciptés vers le grand portail,
par sécurité Sûria et sa fille étaient restées dans leurs appartements et les garçons et moi, dans les nôtres, au moins nous étions un peu plus protéger.

Nous avions de la visite.

À cause du nombre d'hommes positionner devant le portail,
je n'arrivais pas vraiment à voir, qui était la personne qui venait faire éruption dans le Palais.

Au bout de quelques minutes,
je fus beaucoup plus soulagée,
il n'y avait pas de cris ou de bruits de nimchas qui se cognaient,
il y avait plus particulièrement une odeur imposante de Jasmin,
qui dominait le Palais.

Je ne pris pas longtemps pour deviner de qui il s'agissait,
j'entraîna les enfants dans mon élan, et dévalisa les escaliers,
puis courra à toute vitessse.

Elïjah :
Yemma, c'est qui ?!

Ziyad :
Oui,
qui est la personne qui vient polluer notre Palais, avec son Jasmin ?!

Elïjah et Ziyad,
me fesaisnt penser à Père et à Asmar, ils étaient impatients et légerement arrogants, et surtout n'avaient pas leurs langues dans leurs poches.
C'était bien mes petits princes !

- La Reine Nassïma,
la femme de mon Oncle Ashraf, elle était venue vous voir lorsque vous étiez tout petits.

Ils avaient par la suite, directement compris qu'elle régnait sur l'Iran, ils voyaient déja qui elle était, ils conaissaient presque toutes les principautés,
j'étais tellement fière d'eux.

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