Escapade

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[...]

- Quittons, l'Italie, Tyler !

Tyler: On ne peut pas, Azmïnah.

- Bien évidemment qu'on le peut,
mais tu ne le veux pas.

Tyler :
Et qu'elle en serait ma raison ?

- Ça, je ne le sais pas encore.

Tyler :
Nous allons quitté, l'Italie.

- Enfin, tu as retrouvé la raison. !

Tyler :
Mais nous n'allons pas la quitté pour New York, mais pour Paris.

- Mr.Lewis, ne m'a pas contacté,
malgrès que nous sommes coéquipiers, il se doit tout de même de me faire part, d'une éventuelle nouvelle mission.

Tyler :
Il ne m'a pas contacté non plus,
seulement, je suis allé chercher un éventuel courrier à la réception et dans une lettre, il y avait deux billets d'avion, mais pour Paris.

- Hors de question que je me relance dans une aventure avec toi !

[...]

Paris était une ville, éblouissante,pour ma part, je préferais l'admirer la nuit, les lumières la rendait plus belle

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Paris était une ville, éblouissante,
pour ma part, je préferais l'admirer la nuit, les lumières la rendait plus belle.

J'ai toujours aimé voyager,
le vent du soir effleurait ma peau,
j'en avais même des légers boutons semblables à la chaire de poule.

Les yeux de Tyler brillaient,
il était dans sa bulle, plus personne ne pouvait perturbé celle-ci, on aurait dit un petit garçon.

On était livré à nous même,
aucuns signes de l'agence :
Pas de voiture aux vitres teintées, ni d'hommes en costard-cravatte portant des lunettes de soleil,
nos téléphones portables ne contenaient aucuns messages de Lewis, c'était à la fois inquiètant puis au final, soulageant.

Quand j'y repense, à ma vie antérieure, je me dis que jamais, je n'aurais pensé qu'existait, une ville comme celle-ci, jamais.

On passait tellement de temps à jouer le couple amoureux en vue de notre mission, que part habitude nous, nous tenions bras dessus, bras dessous.

Et pourtant, nous avions l'occassion de loger séparément,
je ne manquais pas d'argent,
et surment pas lui, mais devant la salle de réception de l'établissement quatre étoiles,
lorsque la réceptionniste nous avait posé la célèbre question :
" Une chambre pour deux personnes ? "

Instantanément, nous avions confirmés l'affirmation.

On parlait de tout et de rien,
sans vraiment se confier,
notre point commun était notre travail mais outre cela,
c'était que nous avions un passé difficile, une vie pleine d'aventure,
qui n'est pas terminée.

De toute manière, on le sait tous,
lorsque nous sommes agents de la C.I.A, c'est elle qui nous embauche et nous l'inverse,
et en général c'est notre profil qui l'intéresse, suite à toutes nos aventures, dans cette précédente vie, que nous essayions tant bien que mal, d'en dissimulé les séquelles.

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