Pulsion

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La nuit était tombée,
et cela fesait deux heures que j'avais trouvé le sommeil, malgrès, le lieu angoissant où je me trouvais.

Soudainement, la lumière en provenance d'une lampe s'alluma,
mettant le mettant en valeur,
il était assid sur une chaise.

" Pourquoi voulais-tu, rejoindre l'Iran. "

J'allais répliqué mais il me coupa la parole.

" Et ne me dis pas que c'était pour des vacances ou pour rejoindre de la famille, car, sinon tu y serais aller en avion ou en train, mais jamais nous, ne t'aurions retrouvé dans se désert. "

Plutôt mourir,
que de mettre en danger mon fils,
si je révélais la raison de ma venue, il serait capable de demander son exécution, juste pour m'anéantir.

" Rendors-toi, je ne sais même pas pourquoi je suis venu te poser la question. "

Et il referma la porte.

[...]

Ce n'était que deux jours plus tard, que je pus rejoindre les autres femmes, seulement en journée.

Je fus tout de même contente,
de revoir Sabrina, même si elle me paraissait avoir maigrit.

Toutes les femmes me regardaient, m'analysaient,
tentant de regarder si mon état était normal et si il n'y avait pas de blessures apparantes.

Cela devenait invivable,
Sabrina et moi restions à l'étage,
on ne pouvait plus se permettre de passer du temps en bas avec les autres femmes, elles pourissaient,
c'était bien le cas de le dire,
certaines vomissaient, sans oublier les droguées, et celles qui se noyaient dans le chagrin,
je n'avais jamais vu une aussi grande misère.

Sabrina m'expliqua,
qu'elle appartenait à l'un des djihadistes, qui était actuellement en Syrie, il avait demandé à ce que l'on la laisse à l'étage, pour ne pas qu'elle soit dans un sale état à son retour.

Elle savait qu'à son retour,
les malheurs recommenceraient,
elle serait à nouveau violée, battue et humiliée.

Elle m'expliqua aussi que si j'étais avec elle en haut, c'était parce que l'homme qui m'avait sequestré durant deux jours, avait des soupçons sur moi, et aussi parce que je risquerais de lui être utile,
lorsqu'il se lassera des autres femmes.

D'ailleurs, elle m'apprit aussi, que l'homme en question, se nommait Mehdi.

Je faillis sursauté lorsque l'on congna à la porte, c'était les hommes qui débarquaient,
j'entendais leurs cris, et les pleures des femmes qui étaient anxieuses.

" Laquelle d'entre vous, possède un téléphone ?! "

Personne ne répondît,
alors il tira une balle en l'air.

" Tout le monde dehors ! "

Il hurlait, j'en tremblais même,
on comprît que nous aussi devions sortir.

À nouveau, nous étions alignées,
face à eux.

Trois hommes avançaient vers nous pour pratiquer une fouille,
il se pouvait, qu'ils en profitent,
pour passer leurs mains sous les vêtements de certaines, parfois les mettant à nu, pour les humiliées.

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