AZMÏNAH

Ultimatum

[...]

5 mois plus tard,

Tyler :
Tu cuisine parfaitement bien, la gastronomie indienne, Chérie.

- Merci, ce n'est pas trop épicé, j'espère ?

Un instant de silence.

Tyler :
Azmïnah ?

- Oui, Tyler ?

Tyler :
Dans trois mois, viendra au monde notre enfant. Ne penses-tu pas que l'on devrait s'ouvrir l'un à l'autre ?

- Pourquoi, persistes-tu, à vouloir savoir mon passé, alors que nous devons vivre le moment présent,
tout en pensant à notre futur ?

Tyler :
Pourquoi ne m'as tu jamais dis que tu étais mariée ?

- Je ne me considère plus comme telle.

Tyler :
Peut m'importe, et pour être franc, que tu es été mariée, je m'en fiche, mais par contre, que tu l'es été avec Hussman Afdal Soueïda, là ça me dérange.

J'eus comme un pincement au coeur, comment le connaissait-il,
de plus c'était un nom que je ne voulais plus entendre.

- Comment... tu... je ne comprends pas.

Tyler :
J'étais chez Zayn, et tout d'un coup, on ne sait pas comment, sa télévision c'est allumée... et devine ce qu'elle affiche ? Un homme, à la faciale maghrébine, avec un acoutumement semblabe à celui d'Ali baba, qui nous demande, ou plutôt ordonne de poser ton cul dans un Jet Privé te ramenant directement en Arabie Saoudite, sous peine, de l'explosion de l'établissement de la C.I.A.

Je ne savais vraiment pas quoi répondre, j'étais abasourdie.

Tyler :
Sauf que le petit problème,
c'est que tu es enceinte de six mois, ce qui peut désormais ce voir à plusieurs kilomètres à la ronde, et vu qu'il n'est pas con, il va vite comprendre que l'enfant que tu portes, n'est pas le siens mais le miens.

Tout se mettait en ordre dans ma tête, assez pour que cela devienne claire, je venais enfin de comprendre, les grands risques qui pourraient y avoir, si je retournais en Arabie Saoudite, et pourtant ce continent avait changé, bien qu'une partie était semblable à il y a cinq ans, c'était tout de même le continent le plus riche, attirant des milliers voir millions de touristes chaques années, mais seuls les habitants se rendaient compte de la réalité, puisque la monarchie ne c'était pas aboli, les rivalités étaient encore présente, même si au vingt-et-unième siècle, elles se fesaient moins voir.
C'était sur un autre continent, qu'a travers les journaux et internet, que je tentais, de m'informer des changement du continent, mais ce n'était pas suffisant, généralement, il n'y avait que des choses positives, puisqu'il fallait être sur place, pour voir la réalité des choses.

Hussman n'était pas roi d'Arabie Saoudite, mais c'était un homme très respect là-bas, il était quasi grandement respecté dans tout le Moyen Orient, et c'était une chose terrible pour moi, puisque si je m'y rendais, il aurait sans doute le dessus sur moi, usant de ses milles et un contacts, pour me stalker.

Je ne me voilais pas non plus la face, les hommes et cela depuis la nuit des temps, étaient arrogants,
et très possessifs, associant parfois leurs femmes à des objets, leurs objets, alors bien qu'il est déja fait un enfant avec une autre, je doute très fortement qu'il puisse accepté, une infidélité de ma part, et encore moins son fruit.
Je ne serais vous dire de quoi il est capable, puisque je n'ai jamais vu Hussman, de la même manière que les autres le décrivaient :
À mon égard, c'était un homme patient, qui savait me gâté et qui était à l'écoute et surtout malgrès une infidélité, un bon mari.

Je me retrouvais donc dans une impasse, soit comme il le voulait, je rentrais en Arabie Saoudite, ou soit je ne cédais pas à sa demande et prennais le risque,
de mettre en danger, la C.I.A,
Seul Dieu sait ce qu'il serait capable de faire.

Il était hors de question que je part, maitenant, l'enfant n'était pas encore né, alors je proposa à Tyler et Mr.Lewis, de ralentir la procédure, et passer un "arrangements avec Hussman", pour trouver un commun accord qui serait satisfesant, qui stimulerait que je serais en capacité de m'y rendre, après les trois ans de mon futur enfant,
bien évidemment ils prétexteraient une autre excuse, sans parler, bien évidemment de mon futur enfant.

[...]

En soit, Tyler n'était pas impressionné par Hussman, seulement il s'inquiètait, il ne voulait prendre aucuns risques, qui pourraient nuire à notre futur enfant.

Des galères, des mafieux, il en avait fréquenté pas mal dans sa vie, d'ailleurs ses parents, eux même en étaient.

Il ne me raconta pas toute son histoire, mais m'ouvra entre guillement une brèche, on en apprît un peu plus sur l'un et l'autre.