chapitre 24

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Pour une femme sans fard,ni rouge aux lèvres,ni fer aux cheveux,rien au cils ni aux paupières. Elle est juste d'une grande beauté,mais alors de plus grande. Cette clarté frappante à laissé tout le monde sans voix. Une incroyable transformation. On aurait pu à rien la comparé tellement qu'elle est invraisemblable.

- waouw! (Dis le docteur.) Alhamdulillah ! Là il n'y a rien à dire.

- oui docteur ! On Peux dire que c'est bien réussi. Réplique l'infirmière. Quant à moi, j'avais perdu ma langue.

- Madame votre opération est bien réussi ! Est-ce que vous voulez vous miré pour voir.

Elle ne répondait pas et fixe comme toujours les yeux d'un seul point.

L'infirmière a apporté le miroir et le mit devant t-elle pour qu'elle se look.

- regardez madame c'est vous. Votre visage n'a plus de brûlure. Vous n'êtes pas contente?

- Mademoiselle mbow mettez lui la pommade sur le visage et laissez-la se reposer un moment. Monsieur Ndiaye, quand pensez-vous du travail que nous avons fait.

- euh! Je veux juste vous remercier pour avoir sauver sa vie. Rien en dire. Merci beaucoup !

- ne me remerciez pas c'est mon travail. Allez venez dans mon bureau je dois vous dire quelque chose.

- est-ce qu'il y a un problème ?

- Non ne vous inquiétez pas. Ce n'est rien de grave.

- d'accord ! Accordez-moi un moment je dois passer un appel.

- ne t'inquiètes pas. On se voit tout à l'heure.

ILs sont parti et je suis resté avec la femme.

- je ne sais pas si vous m'entendez ou pas. Je ne sais pas ce que tu as du vivre avant que de te croisé dans ma route. Mais je peux lire dans tes yeux que tu as sans doute beaucoup souffert. Mais..... la vie continue. Ne laisses pas le passé définir ta vie. Retournes dans ton présent et engendres le futur..... Je veux juste que tu saches qu'à partir de maintenant tout ira bien. Tu n'es pas seule....
Je reviens tout de suite.

Je suis sorti dehors pour passer un appel. Je compose un numéro et attendant qu'on décroche. Je vois qu'on sort un lit sur lequel est allongé une personne couvert de drap blanc. Une dame,un petit garçon et une jeune fille de l'adolescent autour entrain de pleurer,sans doute cette personne doit être morte. Tout le monde les regarde,certains sont entrain de pleurer aussi j'imagine qu'ils ont été toucher par ce triste tableau. Ils veulent suivre le cadavre mes les médecins les empêchent d'entrer dans la salle où ils  amènent le lit,la direction du morgue.

- Maman ils amènent papa. Maman stplait demande leurs de ne pas amener papa je t'en prie maman. Sniff ! Qu'est-ce qu'on va devenir Maman? Disait-la fille dans les bras de sa mère.

Mon cœur s'est resserré. J'ai voulu allé les voir et les consolé. Mais un homme et une femme s'est dirigé vers eux. J'ai alors rebrousser le chemin. Je regarde mon téléphone et évidemment maman avait déjà décroché l'appel. J'ai recomposé le numéro. Ça sonne dans le vide. J'ai décidé alors d'attendre plus tard et d'aller voir le docteur. Quand je suis venu il y avait quelqu'un à l'intérieur alors j'ai dû un peu attendre que la personne sorte.

Quand je suis entré,il m'invita à prendre place sur l'une des deux chaises. Ce que je n'ai pas tardé à faire.

- Alors monsieur Ndiaye tu es là,je suis désolé de vous prendre du temps.

- non ne vous inquiétez pas. Dîtes-moi, est-ce que tout va bien.

- Rassurez-vous il n'y a rien à s'inquiéter. Je voulez vous dire que la patiente se porte bien maintenant. Toutes les analyses montre qu'il n'y a rien à s'inquiéter à partir son problème  de fertiliter. Mais depuis qu'on a fait une annonce dans les médias il n'y a personne ni aucun membre de sa famille qui s'est présenté. Et nous pensons qu'il est temps qu'elle quitte l'hôpital au plus tard après demain. C'est pourquoi nous avons décidé de l'envoyer dans un foyer d'accueil.

Assiatou (A Quand Le  Bonheur?)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant