La richesse du porte feuille ne sert à rien quand le cœur est pauvre.
Je voudrais dire merci à tous ces filles qui me lisent et qui me considère comme leur Maman. À chaque fois que je reçois vos messages où vos appels wallay j'ai l'impression d'être la plus chanceuse au monde.,🙈 Vous me donnez envie d'écrire même si j'écris du n'importe quoi. Lool! Pas seulement vous mes à tous mes lecteurs aussi. Il suffit que je lise vos commentaires pour que j'oublie toute ma tristesse.Que Dieu vous bénisse.🤲
Mes Amours😚❣️Sokhna Assistou Thiam*****
Il faisait un froid de canard dehors. Je n'avais pas porté des habilles lourds quand je suis sortie ce matin pour aller acheter les médicaments à la pharmacie que docteur Zallé m'avait prescris hier quand je me suis rendu à la clinique "CAS" sous l'insistance de Cheikh Tidiane. J'ai un peu duré,car il y avait une file d'attente un peu long. Chacun des visages présentent dans cet endroit exprimait la tristesse,le désarroi. Tout le monde est malade. Peu de personnes se baladent en bonne santé maintenant. À mon tour d'acheter. On me dit que les deux médicaments que je dois acheter coûte en tout 9650f. C'est trop cher pour moi. Je n'ai que 10000f dans ma poche et Maman Moussoucro m'avait demandé de prendre un taxi en rentrant pour éviter le soleil sur la peau de mon fils. À présent il ne me restait que 350f. Impossible de payer un taxi . Je me suis résignée à prendre le car rapide ou le tata à la place. En sortant de la pharmacie,j'ai entendu la voix d'une femme. Elle parlait d'un ton triste à l'une des apothicaires qui refusait de lui vendre les médicaments parce qu'elle n'avait pas la somme exacte pour les obtenir. Malgré,les supplices de la dame à ces vendeurs, personne n'a voulu prendre en compte ses états d'âme. Elle disait :
"Guirr yalla diapalé dama néw dolé té sama dôme mogui si diguenté doudou ak deih hôpital ba. Guinaw Yalla guarabe bi rek moko meuna teuyé... " pour l'amour de Dieu aidez-moi je vous en supplie. Je suis pauvre et mon enfant et entre la vie et la mort à l'hôpital. Hormis Dieu il n'y a que ce médicament pour lui sauver la vie.
Le médecin m'a demandé de l'amener en urgence je n'ai pas assez d'argent et j'ai personne pour m'aider. Ayez pitié de ma fille et donnez moi ce médicament.Je me suis stoppé face à ces paroles émouvant.
Elle pleurait en parlant à ces gens qui semblaient n'avoir aucune sensibilité face à sa désespoir.
_ apothi 1( femme): madame ce n'est pas la peine de perdre votre temps ici. Je vous prie de libérer la voie et de partir d'ici. Revenez quand vous aurez la totalité de l'argent.
_ ma fille je peux vous garantir que je reviendrai vous payer jusqu'à là dernière centime de ce que je vous dois. Je risque de perdre mon enfant si je rentre sans ce médicament. Svplait Accepter ces 3000f comme avance et je reviendrai vous payer le reste dès que j'en aurai trouvé. Je vous le promets.
_Si vous n'avez pas l'argent,vous n'aurez pas les médicaments. Qui y a t-il de difficile à comprendre ?
_ apothi2(homme): Madame vous feriez mieux d'aller chercher comment complété votre sommes maintenant. Là vous perdez vraiment du temps et vous nous empêchez de travailler aussi.
_ Je vous les dis, c'est très urgent. Ma fille soufre de cardiaque et au moment où je vous parle, elle a piqué une crise. Son père n'est pas là et je n'ai personne pour m'aider. Je vous en prie aidez-moi à la sauver. Je ne veux pas qu'elle meurt,elle est tout pour moi.
Je n'ai pas pu m'empêcher de m'en mêler en voyant cette femme qui aurait probablement l'âge de ma mère pleuré aussi désespérément pour la vie de sa fille.
_ pourquoi ? Pourquoi ne peut-elle donc pas avoir ces médicaments ? Quel genre de personne êtes vous ? N'avez-vous pas entendu que sa fille était entre la vie et la mort? Est-ce que l'argent est plus important que la vie d'une personne ? Ces médicaments sont là pour sauver des vies, alors pourquoi ne pas faire preuve de compréhension pour cette femme?
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Assiatou (A Quand Le Bonheur?)
General FictionMon âme porte le poids d'une grande faiblesse, Chaque battement de mon cœur est empreint d'une tristesse persistante. Le bonheur, tel un étranger, semble m'oublier, Je me débats dans une existence dépourvue de couleur, où les jours se succèdent, ter...