Hello mes bébés ! Comme vous avez manqué. 😭😢 Impardonnable, c'est tout ce que je suis. Mais J'avais une très bonne raison de disparaitre comme ça. C'était pour ma santé. j'étais incapable d'écrire une phrase complète. Fallait vraiment que je m'éloigne un peu de tout. Maintenant je suis là, je vais bien alhamduliilah. Si mes lecteurs sont toujours là, c'est avec plaisir que je vais reprendra la plume. Je vais essayer de me rattraper, insha'allah.
Ndeye Fatou Gueye!!
Aujourd'hui c'est samedi! Je ne suis pas allée au travail,car j'ai fais croire à papa que j'étais malade. Il fait mauvais temps et de gros nuages roulent leur bosse dans le ciel. Alors,il m'a demander de rester à la maison et de me reposer. En réalité,je me sens parfaitement bien, c'est juste que je dois faire un travail dont je ne veux pas qu'il soit au courant,du moins,pas pour le moment. Je dois me rendre à mon rendez-vous avec cette satanée sorcière de Ndoumbé Hane. J'ai accepté de faire l'échange de nos deux maisons. Afin, c'est ce que je lui ai fait croire. Mais,je ne suis pas aussi idiote comme elle le pense. Je vais aller, faire en sorte qu'elle me rende les papiers de la maison de mon père et à mon tour, je ne lui donnerai rien. C'est ce que j'avais prévu de faire.
_ Cette vieille mégère pense être là plus intelligente sur terre mais elle ne sait pas que j'ai plus d'un tour dans mon sac. Je vais lui montrer l'acte de propriété de sa maison mais elle ne mettra jamais sa main là-dessus. Mon père sera très content de voir que j'ai récupéré la maison qu'il s'était donné corps et âme pour sa construction.
J'ai pris un taxi pour me rendre à l'endroit que Ndoumbé m'a envoyé. Ça se trouve un peu en dehors de la ville et cela fait plus d'une heure que le chauffeur roule. Je reçois l'appel de mon père dans la voiture et le fais croire que je suis toujours à la maison. Je sais qu'il sera fâché contre moi,s'il découvre que je lui est menti,mais c'est pour une bonne cause,donc,il finira par me pardonner.
Quelques minutes encore,me voilà à destination. Reste à chercher l'adresse de la maison et pour cela,il faut que je l'appelle pour qu'elle me guide.
Ceci faite. Je lui ai donné mon emplacement et elle m'a demandé de rester sur place et d'attendre qu'un certain isac vienne me chercher. Ce que j'ai fait.Quelques minutes plus tard,un homme se présenta devant moi:
_ vous êtes madame ndeye Fatou Ndiaye ?
Je lui réponds ;_ oui c'est moi. Êtes-vous....
_ isac! Je suis celui que madame Thiam a envoyé pour vous chercher. Elle est occupée c'est pourquoi,elle m'a envoyé à sa place.
_ dans ce cas allons-y.
Nous marchons,lui devant et moi derrière. J'ai pas du tout confiance alors,je fais attention à ses moindres gestes.
La maison se trouve en face d'un vieil atelier de mécanique où les moteurs ezt voitures en réparations traînent dans la poussière. Il n'y a pas beaucoup de monde et je me demande pourquoi il a fallu qu'elle fixe notre rendez-vous dans un milieux aussi reculé et déserte en plus. Pour mesure de sécurité, Je décide alors d'envoyer un message à mon ami Alex pour lui donner mon emplacement au cas où les choses tourneraient mal. Je sors mon téléphone._ oh mince! Je n'ai plus de batterie. Mais à quoi je pensais ? Pourquoi est-ce que je n'ai pas pensais à recharger avant de sortir ? Ndoumbé Hane est une femme très rusée,elle peut être imprévisible. J'aurais dû au moins avertir Alex pour qu'il vienne avec moi. Mais,je ne veux pas non plus l'impliquer dans ces genres affaires. Ça pourrait lui mettre en danger. Mais bon,ce n'est pas grave car je sais me défendre.
C'est avec cette pensée que je me suis procuré le courage de franchir le Seuil de la maison. Et une fois à l'intérieur,mon cœur commença à battre à la chamade. Je m'accrocha fermement du petit sac autour de ma taille et qui contenait l'acte de propriété.
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Assiatou (A Quand Le Bonheur?)
BeletrieMon âme porte le poids d'une grande faiblesse, Chaque battement de mon cœur est empreint d'une tristesse persistante. Le bonheur, tel un étranger, semble m'oublier, Je me débats dans une existence dépourvue de couleur, où les jours se succèdent, ter...