En quittant la clinique,je me suis engagé vers la route qui menait au rond-point Magic Land de Keur-Massar. Je pensais trouver refuse dans cet endroit en regardant les enfants jouer. J'ai laissé chez-moi deux enfants toutes aussi adorable que ceux qui viennent dans cet endroit,mais je ne voulais pas me présenter face à eux avec une tête d'enfer.
J'étais triste par ce que venait de me dire Assiatou. Qui se sentirait bien quand la femme qu'elle aime vient lui dire qu'elle va se marier avec un autre homme ? Autrement dit, qu'il l'a perdu à jamais. Dans quelques jours je n'aurais plus le droit de la regarder par un autre œil que celui de l'amitié que j'ai crée pour rester près d'elle. Est-ce que j'ai eu tord d'abandonner aussi facilement,de n'avoir pas lutter pour la garder près de moi? Si je n'ai pas insisté, c'est parce que je ne veux pas qu'elle soit gênée ou qu'elle se sente forcer. Ne dis t-on pas que l'amour,c'est vouloir le bonheur de l'autre? Lorsque je la vois si bien avec Alioune,je perds le courage de toute tentation.
Décidément je n'ai pas de chance en amour,ce n'est pas fait pour moi. je ferai mieux de me concentrer sur ma famille et mon travail. J'ai ma mère,ma sœur,mon frère et mes deux enfants qui m'aiment énormément,mes amis sont toujours là pour moi. Dieu ne m'a jamais abandonné ; alors que demander de plus? Je m'efforcais de me convaincre par cette raisonnement. Mais à vrai dire,cela me rassurait médiocrement. Malgré ma positivité,mon cœur ne pouvait s'empêcher de ressentir une pincée de douleur quand je pense à toi out cela. Dans la parc,j'ai vu une famille qui s'était occupée à jouer au cheval. Un homme et une femme aidaient un enfant à monter sur l'esplanade des chevaux. Je me suis vu à leur place moi et mes filles accompagné de Assiatou et son fils. On faisait le tour dans la joie. Des éclats de rires fictives raisonnaient dans mes oreilles. C'est la sonnerie de mon téléphone qui m'a sorti de mes rêveries. C'était la secrétaire général de la clinique.
_ Oui mademoiselle Faye! Qu'est-ce qui se passe ?
_ monsieur Aïdara excusez-moi si je vous dérange,mais il y a un petit problème ici et nous avons besoin de vous.
_ quoi? Dites-moi quel est le problème ?
_ l'état du patient de la chambre 22 est en entraîn d'Empirer et il y a une femme qui est entrain de faire une scène. Elle exige au médecin remplaçant de lui laisse amener le petit garçon. Je pense que c'est sa mère. Vous êtes le seul à pouvoir lui donner cet autorisation et si vous ne faites pas quelque chose,il risque de nous apporter des ennuis.
_ mais il fait tard,je suis en route pour rentrer. Vous ne pouvez pas gérer ce problème ? Où est passée Brise Zallé et docteur Sall?
_ monsieur Brise est occupé et docteur Sall a tout fait mais la femme n'arrête pas de crier. Elle ont et déterminé Ay faire sortir l'enfan. Moi même j'ai tout fait pour la convaincre,mais elle est incontrôlable. Elle menace de porter plainte contre la clinique.
_ d'accord,d'accord ! J'arrive tout de suite. Quoiqu'il arrive,ne laissez pas le patient sortir. Il est sous notre responsabilité et s'il lui arrive quelque chose,c'est notre clinique qui sera blâmer. Peut importe qui est cette femme,on ne badine pas avec la vie des patients. Essayez de la retire,je reviens dans quelques minutes.
_ d'accord,on vous attend monsieur Aïdara.
J'ai raccroché et j'ai rebrousser le chemin. Quand je suis entrée dans la clinique,j'ai entendu de loin une voix qui n'arrêtait pas de vociférer ;
_ pourquoi vous ne pouvez pas signer cette autorisation ? Je dois amener mon fils avec moi,il n'a pas besoin de cette clinique pour aller mieux ! Vous n'êtes qu'une bande d'incapable,peu professionnel ! Dîtes-moi qui est votre responsable,il va m'entendre !
VOUS LISEZ
Assiatou (A Quand Le Bonheur?)
Ficción GeneralMon âme porte le poids d'une grande faiblesse, Chaque battement de mon cœur est empreint d'une tristesse persistante. Le bonheur, tel un étranger, semble m'oublier, Je me débats dans une existence dépourvue de couleur, où les jours se succèdent, ter...