De retour !!!!!
As'salamou aleiykoum warahmatullah ! J'espère que vous vous portez très bien mes amours,moi,je dis alhamdulillah au ! Après tout ce temps en absence,je suis enfin de retour,en bonne santé et beaucoup plus sereine, grâce à vos prières et à votre amour inconditionnel ...💗❤️
Je ne saurais vous dire à quel point je vous suis grandement reconnaissante,wallah! Dès l'instant que j'ai lu vos commentaires,je peux dire que je me suis sentie soulagé. Qu'Allah vous rétribue tous autant que vous êtes et qu'il ne vous fasse pas connaître les mauvaises passes de cette vie. Grand grand Mercie à ma chérie,ma meilleure DjoumDiallo......cette perle qui ne s'est pas lassé de moi. Elle s'inquiétait comme une véritable sœur. Mercie pour ton soutien. T'es un ange ma belle. 💗❤️😘Je ferai tout pour rattrapper mon retard Insha'Allah.
Bismillah🙏De la même façon que je suis entrée dans la chambre de mon père,je suis ressortie de l'hôpital en courant. Bouleversé par les révélation et accusation de ma tante. J'étais là responsable de la maladie de papa et même de sa vie menacée. Existe-t-il un châtiment plus dur que de vivre en ayant sur la conscience que son propre père est au point de mourir à cause de soi ? Non je ne pourrai jamais me le pardonner si jamais je perds mon papa,encore moins,si cela devait arriver par ma faute.
Je revois encore l'image de cette homme autrefois pleine de vie, allongé sur son lit,branché par des machines,et incapable de ressentir ma présence. J'essaie de ressentir sa douleur,de comprendre ce qu'il traverse,et par cette moyen,j'arrive encore à oublier qu'il est l'homme qui m'a fait le plus mal,en me reniant en tant que sa fille. Mon papa! Mon cher papa me manque tellement,ses câlin,sa sourire,ses bon conseils que je bénéficiais quand j'étais encore au dessous de mes 9ans. Parfois, j'aimerai retourné à l'âge où je n'étais encore qu'une petite,tout mettre en pause et revivre l'enfance,juste m'arrêter le temps d'un instant et remettre la chronologie d'avant mais je sais que tôt ou tard il me faudra affronter le présent. Faire ce retour vers le passé n'est pas la meilleure solution. Il me faut serrer les dents et supporter ma réalité telle qu'elle est,ma réalité est que je suis là pour encaisser et contrer dignement les coup de cette vie qui m'est destinée,que ce soit les membres de ma famille,les inconnus ou même moi,je ne me laisserais pas abattre aussi facilement. Chaque coup, chaque bourrasque ne me rendra que plus fort,plus tenante... Si je dois avoir du répit qu'il soit ne soit pas fictif mais bien réel,de cette façon, j'aurais su rester debout pendant la Tempête jusqu'à regagner ce que la vie m'a arraché...
Étourdie par les pensées,je m'en gouffre dans le bus que j'ai attendu pendant au moins une trentaine de minutes. C'était déjà pleine, alors,je suis restée debout appuyer contre le chaise d'en côté. Pour chaque arrêt, certains descendaient et d'autres montaient. De plus en plus le bus se remplissait de monde. Derrière moi,se tenait un homme assez grand. Je pouvais ressentir son souffle passé sur mes épaules. À chaque fois que le bus se secouait,il se projetait sur moi et me disait par la suite désolée madame. Je me suis dit que c'était parce que le bus était plein,qu'il n'avait sûrement pas d'équilibre. J'ai avancé devant en lui laissant d'espace. Quelque minutes après,je l'ai vu à nouveau derrière moi,pour ma plus grande surprise. Cette fois-ci il était collé à moi et tout d'un coup j'ai senti une main baladeur sur mes fesses. Mon esprit alerté,je me suis retournée en le regardant,puis il a détourné le regard comme si ce n'était pas lui. Il y avait une femme à côté de moi qui a assisté à toute la scénario. Elle a compris ce qui se passait et m'a dit :_ sokhna si bus bi daffa khate deih. Moytoule bou baax. Madame le bus est plein,fait bien attention.
_ Ne vous enfaite pas Madame,je vais gérer la situation.
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Assiatou (A Quand Le Bonheur?)
General FictionMon âme porte le poids d'une grande faiblesse, Chaque battement de mon cœur est empreint d'une tristesse persistante. Le bonheur, tel un étranger, semble m'oublier, Je me débats dans une existence dépourvue de couleur, où les jours se succèdent, ter...